26/03/2015
Ukraine : la guerre des oligarques fait rage !
Ukraine/Donbass :
La guerre des oligarques fait rage,
Kolomoïsky destitué
La guerre dans le Donbass touche désormais directement les intérêts des oligarques et de leurs soutiens occidentaux.
Le président kiévien Petro Porochenko a signé un décret portant sur la démission de l’oligarque Ihor Kolomoïsky (photo) du poste de gouverneur de la région de Dniepropetrovsk.
Il y avait été placé en mars 2014, suite au putsch antidémocratique du Maïdan. Il s’agit d’un nouvel épisode des affrontements internes à la junte qui déstabilisent un peu plus le pouvoir kiévien, alors que le réchauffement de la ligne de front se confirme.
Depuis plus d’un an, le pays s’appauvrit inexorablement et afin de préserver leurs dividendes, les oligarques et les représentants du pouvoir ukrainien sont obligés d’entrer en conflit. Et le niveau de confrontation va très rapidement s’accentuer dans les mois qui viennent.
« Les luttes politiques en Ukraine se doublent maintenant, comme c’était prévisible, de luttes économiques. Maïdan qui devait apporter au peuple ukrainien la démocratie et la ‘prospérité européenne’ n’aura finalement été qu’un immense jeu de chaises musicales », analyse Virgile Thomas dans le journal en ligne Agoravox (source).
Note de K : Le chien... meilleur ami des VRAIS hommes !
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Kolomoïsky, maître de Dniepropetrovsk, destitué
La lutte des oligarques est un nouvel épisode de la lente descente aux enfers d’un pays qui a succombé aux sirènes cyniques de l’européisme et de l’atlantisme. L’Ukraine béhachélisée est en proie à une guerre économique sans précédent mettant aux prises les principaux oligarques du pays. Un bras de fer s'est engagé entre le président Petro Porochenko et l'ologarque Ihor Kolomoïsky, gouverneur de Dniepropetrovsk, deuxième fortune d'Ukraine et fourrier des pires unités répressives qui ont pignon sur rue depuis le coup d'état du Maïdan : les bataillons d'extrémistes néobandéristes et néonazis de "Azov", "Aydar", "Donbass", "Dnepr-1 & 2", les 3 bataillons d'islamistes tchétchènes et le "bataillon OUN".
Les effectifs de toutes ces unités sont de 15.000 hommes, et il y a quelques jours Kolomoïsky a donné l’ordre d’en tripler leurs effectifs. En juillet 2014, un tribunal de Moscou avait délivré un mandat d’arrêt par contumace contre Kolomoïsky, accusé par la justice russe « d’organisation de meurtres » et « d’utilisation de méthodes et moyens de guerre prohibés » contre les populations du Donbass. La Fédération de Russie avait par la suite demandé à Interpol de lancer un avis de recherche international à l’encontre de l’oligarque ukrainien, mais cette requête a été rejetée. Résidant en Suisse, l’individu dispose de puissants appuis en Occident…
Comme nombre d’observateurs avertis le font remarquer, les enjeux entre les différentes parties de ce conflit interne à l’Ukraine « pro-européenne » sont énormes et vont de toute façon déboucher sur la disparition à plus ou moins court terme de l’Etat ukrainien tel qu’il existe encore aujourd’hui, au moins sur le papier.
L’oligarque douteux possède un atout majeur : la plus grande banque privée d’Ukraine, le groupe Privat, et l’effondrement d’un tel géant pourrait être fatal à l’économie du pays. Kolomoisky a aussi des atouts dans l’industrie pétrolière et gazière. La semaine dernière, le Parlement a modifié la loi sur les sociétés par actions faisant perdre à Kolomoisky le contrôle d’Ukrnafta et d’Ukrtransnaft. Dans la foulée, Porochenko a réussi à remplacer le directeur général de la société qui était un pion de Kolomoïsky, par un homme à lui (source).
Ce fut un premier coup dur pour Kolomoïsky, qui considère ces structures d’État comme siennes, d’autant qu’un changement de direction devait inévitablement l’obliger à rendre des comptes sur les multiples abus dont il s’est rendu coupable depuis des années (les préjudices atteindraient plusieurs milliards de dollars – source).
Guerre d’alliances
L’oligarque a immédiatement répliqué en utilisant des éléments de son « armée privée », qui sont intervenus dans les locaux de l’entreprise pour en reprendre le contrôle. La situation serait, à l’heure actuelle, gelée, grâce à l’intervention des Américains.
Mais, la crise s’est néanmoins poursuivie : dans la journée de dimanche 22 mars, l’administration régionale kiévienne de Dniepropetrovsk a annoncé l’arrestation de paramilitaires de la garde nationale suite à l’assassinat d’un officier du Service de sécurité de l’Ukraine à Volnovakha, par des éléments du « bataillon Dnepr-1 ». Le 21 mars, cet agent du SBU a été abattu dans Volnovakha en essayant d’arrêter trois camions de contrebande. Le principal mis en cause dans cette affaire est un paramilitaire de 36 ans, Denis Gordeev, paramilitaire de « Dnepr-1 », il est aussi membre de Praviy Sektor. Il s’agissait à l’évidence d’un premier signal adressé par la présidence à Kolomoïsky.
Ces affaires, comme d’autres précédemment, ont mis en exergue l’abus de pouvoir permanent exercé par l’oligarque ukraino-israélo-chypriote qui s’appuie sur ses groupes armés.
D’ailleurs, à Dniepropetrovsk, deux « bataillons » de la garde nationale de l’Ukraine sont désormais stationnés en permanence dans la ville, officiellement pour la protection de l’ordre public et sous le contrôle du ministère des Affaires intérieures. Or, de facto, ces unités sont aux ordres du « gouverneur » de l’oblast. De plus, ce dernier semblait avoir jusqu’à présent le soutien du « parti de la guerre », à savoir le Premier ministre Arseniy Yatseniuk, son ministre des Affaires intérieures, Arsen Avakov, le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense, Oleksandr Turchinov, et l’Américano-ukrainien Valentin Nalyvaychenkole, patron du SBU, la redoutable police politique du régime. Ce dernier a appelé hier soir les « groupes armés impliqués dans l’opération militaire dans l’est du pays », à rejoindre « les forces de sécurité ». Comprendre : les « bataillons » financés par l’oligarque doivent se soumettre à l’autorité de Kiev.
Si Kolomoïsky réussit à maintenir ces alliances d’intérêts, il l’emportera tôt ou tard contre Porochenko, à défaut son empire s’effondrera, entrainant dans sa chute tout ou partie de ce qui reste du pays. Les derniers déroulements de cet imbroglio montrent que l’oligarque véreux vient de perdre des points.
Pour l’heure, Kolomoïsky encourage l’agitation dans sa région et mobilise ceux qu’il a promu à la Rada dernièrement, tout en laissant courir le bruit qu’un hypothétique séparatisme de l’oblast de Dniepropetrovsk serait envisageable. Un groupe de députés qui appuient le gouverneur fraichement destitué a appelé à un rassemblement public à Dniepropetrovsk à 18 heures ce mercredi ; un appel qui semble étrangement similaire à ceux qui ont déclenché le mouvement séparatiste dans le Donbass. Mais, là encore, Washington devrait bientôt avoir son mot à dire sur cette étrange crise. Car il n’est pas évident que la destitution de Kolomoïsky amène à un recul de l’influence des « bataillons » répressifs et de leurs pendants politiques à la Rada ou dans la rue (Praviy Sektor…) au sein du pouvoir kiévien.
Détérioration de la situation sur la ligne de contact
Éléments de la brigade « Prizrak » sur le secteur nord
(poste 31 au nord de Frunze et au nord-ouest de Lugansk)
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Le 23 mars, sur l’ensemble du territoire du Donbass, on notait une accentuation de la détérioration de la situation militaire, constatation confirmée le lendemain. Si le secteur au nord et au nord-ouest de Lugansk reste encore assez agité, les forces ukrainiennes ont essentiellement intensifié leurs tirs d’artillerie sur Gorlovka et Donetsk (notamment la zone aéroportuaire et sur Peski), faisant de nouvelles victimes parmi les civils. Suite à des tirs sur le district de Petrovsky à l’ouest de l’agglomération de Donetsk, une petite fille de 10 ans a été tuée, et dans la zone de Gorlovka, un garçon de 14 ans a trouvé la mort. En outre, cinq miliciens ont été blessés.
A l’est de Mariupol, la ligne de front vers Shirokino est encore sous tension. Les accrochages se succèdent aux tirs de mortiers et de pièces lourdes ukrainiennes, la milice y répondant au coup par coup. Les paramilitaires ukrainiens continuent de recevoir des renforts à l’ouest du village, dans le but de donner l’assaut sur la petite agglomération. En tout cas, les FAN s’attendent à une attaque dans les heures qui viennent.
Sur la zone ouest de Shirokino, à quelque 500 m des hauteurs qui dominent le village et sur Berdyanskoe (village côtier au sud-ouest de Shirokino), les positions du « régiment » (sic) « Azov » ont été filmées par des drones républicains une partie de la semaine dernière. On y distingue clairement des positions fortifiées, avec tranchées et abris, des pièces d’artillerie, des véhicules, y compris des blindés (dont 1 BTR et des KrAZ) et même des automoteurs d’artillerie 2S1, preuve que l’accord de Minsk n’est toujours pas respecté sur cette zone (source).
Ces documents, partiellement mis en ligne (pour des raisons bien compréhensibles), montrent que :
1/ sur Berdyanskoe, une compagnie motorisée d’ « Azov » tient le village, dans des positions fortifiées disposées en hérisson, à 300 m au sud-ouest de Shirokino ;
2/ sur zone, l’appui-feu d’ « Azov » se compose de mortiers de 120 (section mortiers lourds de l’unité) et d’une batterie réduite de 122 mm 2S1 Gvozdika (4 automoteurs de l’armée ukrainienne) ;
3/ une autre compagnie sur KrAZ Raptor tient une position défensive au nord de Berdyanskoe, à 600 m à l’ouest de Shirokino ;
4/ contrairement aux allégations de la propagande d’ « Azov », l’unité est à bonne distance du village de Shirokino.
Poste de commandement avancé d’ « Azov » juste au sud immédiat de l’ulitsa Tsentralnayia (rue centrale) au centre-ville de Sopino (plus de 3 km à l’ouest de Shirokino). On y distingue plusieurs véhicules légers, des KrAZ Spartan ou Kuguar, un BTR-80 revalorisé, des blindés chenillés 2S1 Gvozdika (armée ukrainienne), des camions bâchés et découverts (KrAZ, ZIL et Kamaz)…
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On note donc que les forces de Nouvelle Russie connaissent parfaitement les positions exactes de l’unité néonazie, renseignements qui, nous n’en doutons pas, seront utilisés à bon escient le moment opportun.
Jacques Frère, pour NationsPresse.info, le 25 mars 2015.
Pour consulter l’article originel, cliquez sur :
http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-la-guerre-des-oligarques-fait-rage-kolomoisky-destitue?pfstyle=wp
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Ukraine/Donbass :
La tentation d’une guerre civile totale !
La Douma pourrait répondre à la demande du Congrès américain suggérant à Obama de faire parvenir officiellement des armes au régime de Kiev, en autorisant une nouvelle fois Poutine à intervenir militairement dans le Donbass si nécessaire. Nous n’en sommes pas là, mais le message a le mérite d’être clair. Par contre, un front intérieur vient de se former avec l’affaire Kolomoïsky qui pourrait faire basculer l’ensemble du territoire ukrainien dans une guerre civile totale et des plus sanglantes. Washington tente de recoller les morceaux et de sauver ce qui peut l’être encore, alors que l’agence financière Moody’s a abaissé mardi la note de l’Ukraine à un cran du défaut de paiement.
Une vague d’arrestations de hauts-fonctionnaires à travers toute l’Ukraine sous contrôle kiévien vient d’être lancée. Officiellement, il s’agit de lutter contre la corruption, dans les faits, il s’agit de consolider le pouvoir présidentiel de Porochenko bien mis à mal ces derniers temps. Mais l’essentiel se jouera dans les semaines qui viennent avec les choix que devront prendre les « bataillons » répressifs d’extrémistes que Kolomoïsky a financés et développés depuis un an. Où ils se rallieront, ou bien ils devront affronter les unités de la garde nationale sous contrôle de Kiev.
Kolomoïsky sur la touche, l’extrême droite kiévienne et Washington inquiets
A Kiev, le siège du gouvernement ukrainien a été assiégé par environ 500 manifestants qui exigeaient la démission du Premier ministre Arseny Yatseniuk, suite à l’éviction du poste de gouverneur de la région de Dniepropetrovsk, Ihor Kolomoïsky.
Parmi ces manifestants, on reconnaissait des activistes de Praviy Sektor et de Svoboda.
Les radicaux du régime kiévien sont inquiets de la tournure des événements de ces dernières heures, d’autant que l’éviction de Kolomoïsky n’a pu se faire que grâce à l’aval de Washington.
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Les premiers Hummers fournis à Kiev par Washington viennent d’arriver…
Les Etats-Unis tentent de sauver les meubles et cherchent à tout prix à éviter une guerre civile dans la guerre qui mettrait définitivement à bas tout espoir de contrôle du pays par Washington et les intérêts mondialistes colossaux qui accompagnent l’hyperpuissance US.
Dmytro Yaroch, « Führer » de Praviy Sektor,a été élu grâce à Kolomoïsky à la Rada,
comme des dizaines de chefaillons néonazis et néobandéristes.
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La crise est grave pour l’extrême droite néobandériste et néonazie qui voit son principal soutien oligarchique mis au ban du régime « proeuropéen ». Les fameux « bataillons » punitifs se verront bientôt réaffectés vers une structure centralisée qui dépendra soit de l’armée, soit du ministère des Affaires intérieures. L’accepteront-ils ?
Si on prend par exemple le cas du « bataillon Dnepr-1 » ou « Dnipro », Kolomoïsky a investi plus de 10 millions de dollars pour cette unité de quelque 800 paramilitaires politisés, commandés par Yuriy Bereza, soit à sa botte. N’attend-il pas un retour sur investissement pour la dizaine de « bataillons » sponsorisés par son groupe Privat depuis un an ?
En tout état de cause, cela signifie désormais moins de moyens pour certaines unités comme « Azov » qui se sont dernièrement développées grâce à l’oligarque ukraino-israélo-chypriote (par exemple les blindés KrAZ et les BTR-3E et 4E flambants neufs auraient été payés par Kolomoïsky, de même que les équipements individuels ; le financement du recrutement de « volontaires » à l’étranger, comme les deux douzaines de Croates néo-oustachis, sortirait aussi des fonds de la galaxie Kolomoïsky). D’ailleurs, ces moyens conséquents ont bien mal été employés depuis leur affectation : l’offensive à l’est de Mariupol, lancée il y a un mois déjà, se heurte toujours à un tout petit village côtier…
Cela signifie sans doute aussi que le fameux commandement opérationnel bis qui devait être dirigé de Dniepropetrovsk par des individus aussi peu recommandables que Semenchenko ou Yaroch, devrait de facto disparaître. Il faut également s’attendre à ce que la pression sur l’état-major général des forces armées soit quelque peu diminuée.
Bien sûr, Kolomoïsky peut encore sévir et user de son influence politique au travers d’individus douteux qu’il a faits élire à la Rada, même si cela semble pour le moment se limiter à un simple groupe de pression.
Pour autant, les nervis des bandes armées du Maïdan devraient toujours servir de base de recrutement pour les sales besognes du régime. D’ailleurs, le chef du SBU, l’américano-ukrainien Valentin Nalyvaychenko, prépare ce qu’il appelle « la prochaine étape de l’opération de lutte contre le terrorisme dans la région d’Odessa pour son complet nettoyage ».
On va donc avoir besoin de bras pour rafler, tabasser, torturer et même éliminer physiquement tout ce qui peut ressembler de près ou de loin à un « opposant » ou à des « Moskali », et quoi de plus efficace que les abrutis qui forment les gros bataillons des Patriotes ukrainiens, de l’UNA-UNSO, de Svoboda ou de Praviy Sektor pour mener à bien les saloperies du régime ?
Ils viennent d'ailleurs de recevoir la bénédiction du chef de « l’Église orthodoxe ukrainienne » (la secte uniate, en fait) pour qui le meurtre de civils innocents dans le Donbass : « n’est pas contre les commandements de Dieu » (source).
Tout ceci promet un joli génocide en perspective…
Et, si besoin, pour finir par se convaincre de la bassesse et du niveau d’insanité mentale du régime de Kiev, on pourra lirele témoignage de Thierry Laurent-Pellet, un de nos compatriotes français détenu par le SBU et torturé par des sbires de Praviy Sektor lors de son dernier séjour en Ukraine.
Donetsk et Shirokino : deux gros points chauds de la ligne de front
Des tirs ont été entendus dans le centre de Donetsk, sur l’avenue Lénine, où un accrochage a opposé des forces républicaines et une unité ukrainienne infiltrée (semble-t-il). Trois voitures ont été atteintes par des tirs, deux ont été incendiées. Selon des rapports non confirmés, deux personnes ont été tuées.
Dans la zone de Spartak (nord-ouest de Donetsk) plusieurs accrochages ont eu lieu ces dernières 48 heures, occasionnant trois blessés dans les rangs républicains. Dans l’après-midi, Spartak a même été pilonné par l’artillerie lourde kiévienne à partir d’Avdeevka.
Les affrontements sur le village de Peski se poursuivent depuis la semaine dernière : une compagnie de Praviy Sektor (3-DUK) et une autre du « bataillon OUN » ont repris les hostilités contre les positions républicaines sur une partie de Peski et sur l’aéroport.
Militia recon UAV footage :
UAF heavy armament spotted in Peski, in violation of Minsk agreements
that imply withdrawal of all heavy armament from the contact line.
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Dans la zone de Shirokino, à l’est de Mariupol, un milicien a été blessé hier suite à des tirs de mortiers de 120 de la section de mortiers lourds d’ « Azov ». Plus de 70% des civils des villages à l’ouest de Shirokino sont partis, la plupart des habitations dans Berdyanskoe et dans Sopino (PC tactique d’ « Azov ») ont été soit les pillées, soit endommagées.
Le caniche préféré de Washington
Dans son édition anglophone, l’AFP note que désormais « la France remplace le Royaume-Uni comme allié militaire principal des États-Unis. La France a joué des coudes pour devenir le partenaire clef européen de l’armée américaine à la place de la Grande-Bretagne. Les liens croissants entre les deux armées ont été mis en évidence ce mois-ci lorsque le plus haut gradé français, le général Pierre de Villiers (frère de Philippe de Villiers, ndlr), a accueilli son homologue américain, le général Martin Dempsey, à bord du porte-avions de la France, le Charles De Gaulle.
Le fleuron français, qui est arrivé dans le Golfe en février pour participer à des frappes aériennes sur le groupe État islamique, opère sous commandement américain – une grande première pour les forces navales françaises. »
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Laurent Fabius, chef de la diplomatie hollandienne, en grande discussion à Kiev avec le chef de Svoboda, le 20 février 2014, quelques jours avant le putsch du Maïdan : Oleg Tyahnybok, un antisémite notoire, admirateur des collaborateurs galiciens du IIIe Reich et dont le programme politique prévoit de lancer une frappe nucléaire sur Moscou…
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Comme le souligne le Réseau Voltaire :
« Depuis la réintégration de la France dans le commandement militaire de l’OTAN, la France a participé activement à la destruction de la Jamahiriya arabe libyenne et à la tentative de destruction de la République arabe syrienne. En outre, elle combat au sol les touaregs du Mali et a offert au Pentagone son porte-avion Charles-De-Gaulle pour intervenir en Irak. »
On ajoutera que notre pays, par la voie de la hollandie, a toujours été depuis deux ans et demi en pointe pour soutenir, sinon parfois précéder, toutes les initiatives les plus bellicistes de l’hyperpuissance US, y compris en ce qui concerne le soutien au régime putschiste de Kiev et à ses sbires néonazis et néobandéristes.
En France, on n’a pas de pétrole, on n’a pas la moindre idée à la tête du pays, mais on y a de bons larbins…
Jacques Frère, pour NationsPresse.info, le 25 mars 2015.
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Poroshenko accuses "cynical Banderas" of killing SSU officer not far from Volnovakha ;
Obviously a part of attack on Kolomoyskiy. [Traduction & eng subs by Kazzura]
[eng subs] Footage from the trophy UAF quadrocopter.
NAF forces made it to down UAF UAV over their positions and captured it. In its memory they've found videos revealing UAF positions around Donetsk airport area (near Spartak settlement).
16:50 Publié dans Cartouches, Historica, Monde en perdition | Lien permanent | Commentaires (0)
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