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30/04/2014

Artes Belli : la faucille

 

D’autres vidéos Artes Belli, ici :

http://www.youtube.com/user/ArtesBelli

 

Découvert via « La Canne et l’Épée » :

http://lacanneetlepee.tumblr.com/

21/04/2014

HAKUJA - Legacy

HAKUJA : « Legacy »

( Ré-édition de la démo de 2007 au format LP / Japon )

 

Projet solo du sieur Hakuja, de Funeral Elegy, ce Legacy m’a fortement fait penser à…

FUNERAL ELEGY !?!! (Héhé!)…

Ben ouais… riffs « épiques » à la KRISTALLNACHT, vocaux écorchés à la BURZUM tout y est (la plupart des titres sont d’ailleurs de nouvelles versions de titres de FUNERAL ELEGY !!!).

Mais bon… une petite touche à la fois « racée et éthérée » (à la CELESTIA quoi… m’étonne pas que cet album soit chez Drakkar !?!!), presque slave, par moments (comme sur « Amakakeru ») vient faire son apparition, et rend l’Art Noir d’HAKUJA à la fois plus mélancolique et hmmm… disons « raffiné » que ce que pouvait produire, en son temps le plus martial FUNERAL ELEGY.

La rencontre de F.E, K’NACHT et CELESTIA au pays du soleil levant !…   

DRAKKAR / LP limité à 250 exemplaires !!!

( 250 en vinyl noir – celui qu’on vous propose / 250 en vinyl transparent… en fait )…

 

Sobre mais très beau layout ( inspiré par l’art japonais ) / 7 titres – 35 mns. 

12 €uros. / Disponible. (Attention : plus qu'un seul exemplaire en stock !)

 

 

 

http://www.myspace.com/hakuja

 

 

Formé sur les cendres de FUNERAL ELEGY par son ancien leader, HAKUJA sort en 2007 une démo auto-produite. Heureusement pour nous, cette démo, intitulée Legacy, tape dans l'œil de Noktu, qui la rééditera un an plus tard sous Apparitia Recordings, à un pressage plus en adéquation à la qualité de cet opus. Malgré cela, HAKUJA reste encore aujourd'hui dans l'ombre. Ce Legacy est pourtant bien un petit joyau de l'underground.

La musique présente sur ce Legacy se compose de riffs très influencés par la scène française, de CELESTIA aux Légions Noires, en passant par les groupes toulonnais. Un black metal mélodique aux riffs classieux, sobres et mélancoliques, mais pour autant toujours très efficaces. Les rythmiques, tantôt mid-tempo, tantôt plus rapides, sont toujours lancinantes et simples, le blast étant une constante dans la musique d'HAKUJA, à l'image d'un certain DARKTHRONE ( dans la forme uniquement ). Le travail au niveau des cordes est vraiment parfait : la basse et la guitare se répondent constamment ; d'un côté une guitare un peu en retrait aux riffs percutants et simples, de l'autre une basse puissante, très mélodique et plutôt complexe pour le style, qui apporte un grand plus à la musique d'HAKUJA par rapport aux autres groupes du genre.

Chaque riff semble encore plus génial et plus entêtant que le précédent, à l'image de l'énorme « Dew Of Blood » qui me hante depuis la toute première écoute. Cela dit, la qualité est constante sur tout l'album, l'excellence et la perfection étant de mise pour tous les titres de Legacy. Et si tous les riffs sont très mémorables, on ne tombe pour autant jamais dans l'ennui - même après des dizaines d'écoutes, mon attrait pour ce black metal classieux et riche en émotions n'a jamais baissé d'un poil. Le son est raw et puissant, juste ce qu'il faut pour ce type de black metal ; tous les instruments ont une place adéquate, la batterie et la basse étant beaucoup mises en avant, sans que la guitare en pâtisse. La voix est typée black depressif, mais n'en fait jamais trop, à l'image de la sobriété de la musique du groupe.

HAKUJA remporte pour moi la palme du meilleur groupe de black français joué par des Japonais. Malgré ces influences gauloises que revendique le one-man band, il a quand même une identité et un son propre, qui me font adorer ce groupe encore plus que les « originaux ».

 

( Jankowitch / http://www.postchrist.com )

14/04/2014

Cliquez sur l’image…

Cliquez sur l’image… et partez en voyage !

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11:27 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mister.k

09/04/2014

STURMGEWEHR 666

STURMGEWEHR 666 : « Challenging CrossReich Cowards »

 

( CD 2009 / Pologne )

 

Violent and Antichristian War Black-Death Metal from Poland…

Quelque part entre BLASPHEMY, TERRORIZER et INFERNAL WAR… si vous êtes à même de vous représenter ce que pourrait donner la bestiale et métallique copulation de ces 3 ignobles créatures !?!?!!! ( J’aurais tout aussi bien pu vous la faire « rencontre entre IMPIETY, BOLT THROWER et MORTICIAN » mais non… je trouve mon premier cocktail si parfaitement dosé que je ne vais rien y ajouter d’autre !!! Héhé! )…

Du War Death Metal impie et bien lourd empruntant tout autant aux grands noms de la scène Death polonaise qu’aux légendes fondatrices du War Metal… avec une grosse grosse louche d’ASPHYX et de TERRORIZER dedans !!!!!!…

Old Cemetery Records / 11 titres – 31 mns.

>>> 9 €uros. / disponible.

 

 

04/04/2014

12 mètres... et de retour en France !

Le plus sulfureux des manuscrits de Sade, de retour à Paris.

 

C'est l'épilogue d'une bataille judiciaire de vingt-cinq ans. Le sulfureux manuscrit des Cent Vingt Journées de Sodome, écrit par le marquis de Sade à la Bastille en 1785, a été caché, volé, vendu, disputé en justice en Suisse et en France, racheté pour 7 millions d'euros, est revenu à Paris pour l'année du bicentenaire de la mort du « Divin Marquis ».

« Ce manuscrit exceptionnel, volé en 1982, signalé à Interpol, et disputé par deux familles, est enfin de retour en France, au terme d'une histoire rocambolesque. Mais il m'a fallu trois ans d'âpres négociations », avoue à l'AFP son nouveau propriétaire, Gérard Lhéritier, président fondateur d'Aristophil et du Musée des lettres et manuscrits, un établissement privé.

L'homme d'affaires a « déboursé au total 7 millions d'euros » pour cet original très convoité, qui devient l'un des trois manuscrits les plus chers conservés en France. Il est désormais assuré 12 millions d'euros par les Llyods.

 

Le rouleau autographe de cette œuvre mythique, catalogue de perversions sexuelles d'une violence inouïe, rédigé à l'insu de ses geôliers par un Sade « embastillé », vient tout juste d'être rapatrié de Genève. Dans un état de conservation parfait, il sera présenté au grand public à l'Institut des lettres et manuscrits à partir de septembre.

L'histoire du manuscrit est à la hauteur de ce texte, le premier mais aussi le plus extrême rédigé par Sade. Incarcéré en 1777 à Vincennes puis à la Bastille pour les traitements infligés à plusieurs jeunes filles, le marquis croupit en cellule depuis huit ans quand il se décide à faire œuvre littéraire. Seul et privé de ses fantasmes, ou plutôt de leur satisfaction, il se rattrape à travers ses héros : quatre hommes de 45 à 60 ans, enfermés en plein hiver dans un château de la Forêt-Noire, avec quarante-deux filles et garçons livrés à leur pouvoir absolu, ils font subir pendant quatre mois, aux jeunes oies blanches, une succession de six cents perversions.

 

Insoutenable pour la plupart (même Georges Bataille jugeait sa lecture pénible), génial pour quelques-uns, le texte a de quoi choquer. Meurtres, tortures, humiliations : le texte n'épargne ni Dieu, ni les hommes, ni même les bêtes. Pour ne citer qu'un extrait, choisi par l'écrivain Chantal Thomas en exergue du chapitre consacré aux Cent Vingt Journées dans son livre Sade (Le Seuil, 1994) : « Il encule un cygne en lui mettant une hostie dans le cul, et il étrangle lui-même l'animal en déchargeant. »

En 1785, le détenu Sade ne risque qu'une chose : la confiscation. Les feuilles de brouillon prennent trop de place. Du 22 octobre au 28 novembre, à raison de trois heures par jour, il couvre donc, d'une écriture minuscule, les deux côtés de petits feuillets de 12 centimètres de largeur. Il assemble ensuite les folios en un rouleau de 12,10 mètres de long, qu'il dissimule entre les pierres de sa cellule. Le document y restera plus de trois ans. Jusqu'aux fameuses journées de juillet 1789.

Lire aussi son histoire : Caché, volé, racheté, l'histoire folle d'un manuscrit de Sade

L'épisode est resté célèbre : dès le 2 du mois, Sade est à la fenêtre. De derrière les barreaux, il harangue la foule, lui intime de brûler la prison. L'administration royale le déplace à l'asile de Charenton. La légende le décrit nu au cours du transfert. Il laisse en tout cas derrière lui ses effets, dont le précieux manuscrit. Lorsque la Bastille est détruite, le rouleau et ses brouillons partent en fumée. Du moins, c'est ce dont le marquis est convaincu. Jusqu'à sa mort, en 1814, il regrettera la perte de son chef-d'oeuvre, affirmant avoir versé « des larmes de sang ».

En fait, le fameux rouleau a été récupéré lors de la destruction de la Bastille et vendu au marquis de Villeneuve-Trans. La famille le conserve pendant trois générations, puis le vend à la fin du XIXe siècle à un psychiatre berlinois, Iwan Bloch, qui en publie en 1904 une version comportant de nombreuses erreurs. En 1929, Charles et Marie-Laure de Noailles, elle-même descendante du marquis de Sade par sa mère, rachètent le manuscrit et en publient une édition limitée aux « bibliophiles souscripteurs » pour éviter la censure.

 

Puis leur fille, Nathalie de Noailles, confie en 1982 le précieux rouleau à son ami l'éditeur Jean Grouet, qui souhaite l'étudier, de même que la partition originale des Noces de Stravinsky. Quelques mois plus tard, et à sa demande, il lui restitue le coffret. La légende — encore une — évoque un écrin de forme phallique. Il n'en est rien. L'étui en cuir présente la forme banale d'un parallélépipède. Surtout, il est vide. Jean Grouet a vendu le rouleau le 17 décembre, pour 300 000 francs, au Suisse Gérard Nordmann.

S'en suit une féroce bataille judiciaire. La France tranche en juin 1990 : le manuscrit a été volé et doit être restitué à la famille de Noailles. Nordmann a acquis légalement le document, sa « bonne foi est constituée », conclut de son côté le tribunal fédéral helvétique en mai 1998. Finalement, les héritiers de Gérard Nordmann, disparu en 1992, décident de vendre ce trésor bien encombrant.

« L'important, c'est que le manuscrit revienne en France et que son statut soit clarifié », estime-t-on à la Bibliothèque nationale de France (BNF), qui ne désespère pas de l'accueillir plus tard dans ses collections.

 

AFP / Le Monde.fr, le 03 avril 2014.

(Crédits photos : AFP - Martin Bureau)

 

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01/04/2014

Poisson(s) pour tout le monde !

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Le premier avril, c'est poisson(s) pour tout le monde !

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