10/07/2014
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16:57 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mister.k
03/06/2014
Sir Christopher Lee
Une petite pause musicalo-publicitaire… avant d’entamer un mois de juin tout entier consacré aux promotions (diverses et variées) et à nos fameuses « boîboîtes façon DUKE » ! (Nous en avons déjà préparé une bonne trentaine, et maintenant que nous sommes lancés… ).
Sir Christopher Lee !!!!!
15:33 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : christopher lee, metal knight
30/04/2014
Artes Belli : la faucille
D’autres vidéos Artes Belli, ici :
http://www.youtube.com/user/ArtesBelli
Découvert via « La Canne et l’Épée » :
11:17 Publié dans Détente, Historica | Lien permanent | Commentaires (0)
14/04/2014
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11:27 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : mister.k
01/04/2014
Poisson(s) pour tout le monde !
17:10 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : poissons, premier avril
28/03/2014
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09:55 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : kamarg
14/03/2014
Live in Japan
Ouais… bon… j’ai bien conscience que c’est un peu "facile"…
Mais que voulez-vous, avec l’autre "Live in Japan" juste en dessous,
je n’ai pas pu résister !
Mr.K.
10:17 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (2)
10/03/2014
The Sensational Alex Harvey Band : "Hammer Song" (1972)
17:24 Publié dans Détente | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : alex harvey, the sensational alex harvey band, hard rock, seventies
14/02/2014
Des Lupercales A La Saint-Valentin.
( Source )
Ah, la Saint-Valentin ! Fête commerciale, destinée à vendre du chocolat et des fleurs aux pauvres malheureux qui s'imaginent avoir besoin de ça pour célébrer leur amour ! Oui, je sais : ça sent la célibataire frustrée !!! Mon point de vue changerait peut-être si l'on m'offrait, à moi aussi, du chocolat et/ou des fleurs… Il n'empêche que, de l'avis général, voilà encore une de nos fêtes qui provient directement de l'antiquité romaine. Alors, avec ou sans cœur en chocolat, je ne pouvais pas laisser passer ça.
Notre Saint-Valentin serait en effet issue des Lupercales (Lupercalia), fête annuelle célébrée à Rome entre le 13 et le 15 Février (15 jours avant les calendes de Mars). Donc à l'origine à la fin de l'année, puisque avant l'instauration du calendrier julien, celle-ci débutait le 1er Mars. A Rome, cette période était l'occasion de rituels d'expiation des fautes commises envers les Dieux et de purification (februum - d'où le mot "Février") : on nettoyait les maisons de fond en comble et on aspergeait le sol de sel et de blé.
UNE CÉLÉBRATION AUX ORIGINES CONFUSES.
Les historiens divergent quant à l'identité du Dieu que l'on célébrait lors des Lupercales. La plupart pensent qu'il s'agissait en toute logique du dieu Lupercus, que l'on assimile aussi au dieu Faunus(équivalent du Dieu grec Pan.) Lupercus était le dieu de la fertilité, des bergers, et le protecteur des troupeaux. Mais d'autres avancent qu'il pourrait s'agir de Mars, Junon, Lycaeus, Bacchus ou Februus. Pour ma part, je me rangerai à l'opinion la plus communément admise : puisque ce sont les lupercales, restons-en à Lupercus !
Étymologiquement, le mot se rapporte au latin lupus ("loup"). Traditionnellement, on considérait que les lupercales avaient été instituées par Romulus et Remus, lors de la fondation de Rome (753 avant J.C.), en hommage à la louve dont la légende rapporte qu'elle les aurait recueillis et nourris alors qu'ils étaient encore enfants. En réalité, cette fête était vraisemblablement bien antérieure - peut-être une transposition d'une cérémonie grecque en l'honneur de Pan Lycéen (du Grec Lykaion, "loup"). Il est donc probable que le nom en soit directement dérivé, ou bien qu'il fasse référence à la sauvagerie du loup, animal redouté par les bergers.
Tout cela, on le voit, demeure assez confus.
Une des particularités de cette fête tenait à ce que, contrairement aux autres célébrations, elle n'était rattachée à aucun temple. Il faut dire que les Romains eux-mêmes n'étaient pas certains du Dieu qu'ils étaient supposés honorer : tout comme nos historiens, les auteurs latins hésitaient entre Faunus, Lupercus ou Inuus ! Peu importe, car cela n'a jamais empêché de célébrer cette grande fête populaire. Son épicentre était la grotte du Lupercal sur le Palatin où, selon la légende, la fameuse louve avait allaité Romulus et Remus. En passant, la grotte en question aurait été découverte en 2007, au-dessous du palais d'Auguste - bien que certains archéologues demeurent sceptiques, et ne voient dans la caverne mise au jour qu'un nymphée du palais impérial.
LE RITUEL DES LUPERCALES.
Les rites étaient dirigés par les luperques, institués soit par le Roi Evandre, soit par Romulus et Remus. Ils étaient divisés en deux collèges sacerdotaux – les Quinctiliani et Fabiani, d'après les gens Quinctilia et Fabia, vieilles familles patriciennes romaines auxquelles appartenaient leurs membres. En 44 avant J.C., un troisième collège, les Julii, fut créé en l'honneur de Jules César, avec Marc Antoine à sa tête. A l'origine chasse gardée des patriciens, ce furent le plus souvent des chevaliers qui remplirent la fonction à l'époque impériale.
La fête en elle-même comportait trois temps forts : les sacrifices, la course des luperques et un grand banquet.
Tout débutait donc avec le sacrifice, peut-être par le dialis flamen. Je dis "peut-être", car les sources sont contradictoires : bien qu'il soit cité comme officiant, les mêmes textes disent qu'il n'avait pas le droit d'être en contact avec les boucs et les chiens… Allez comprendre ! Bref, on immolait deux boucs et un chien dans la grotte du Lupercal. Deux jeunes luperques, vêtus uniquement d'un pagne en peau de bouc, étaient conduits jusqu'à l'autel, et le prêtre sacrificateur leur marquait le front avec le sang du sacrifice. Le couteau utilisé pour le rituel était essuyé avec de la laine trempée dans du lait, après quoi les jeunes gens étaient obligés de rire.
On découpait ensuite des lanières dans la peau des boucs sacrifiés, et les luperques couraient à travers Rome, totalement nus, en riant et en éclusant du vin.
Cicéron s'en indigne d'ailleurs à propos de Marc Antoine :
"Vous-mêmes, après les Lupercales, vous n'avez pu croire qu'Antoine fût consul. En effet, le jour où, sous les yeux du peuple romain, nu, dégouttant d'huile, abruti par l'ivresse, il harangua la multitude, et voulut poser le diadème sur la tête de son collègue; ce jour-là, il a renoncé non-seulement au consulat, mais à la liberté."
(Cicéron, "Les Philippiques", III - 5.)
Nous reviendrons sur cette histoire de diadème… En attendant, nous ignorons pourquoi les luperques étaient nus, mais Plutarque émet une suggestion dans sa "Vie De Romulus" :
"Caïus Acilius raconte qu’avant la fondation de Rome, Romulus et Remus égarèrent un jour quelques troupeaux : qu’après avoir fait leur prière au dieu Faune, ils se dépouillèrent de leurs habits pour pouvoir courir après ces bêtes sans être incommodés par la chaleur ; et que c’est pour cela que les luperques courent tout nus."
(Plutarque, "Vie De Romulus", XXVII.)
Après avoir fait le tour du Mont Palatin, ils parcouraient la ville en fouettant de leurs lanières tous ceux qu'ils rencontraient, et les femmes en particulier. Celles qui désiraient avoir un enfant se pressaient sur leur passage, car le rituel était sensé assurer la fertilité, prévenir la stérilité et soulager les douleurs de l'enfantement.
"On célébrait la fête des Lupercales, qui, selon plusieurs écrivains, fut anciennement une fête de bergers, et a beaucoup de rapport avec la fête des Lyciens en Arcadie. Ce jour-là, beaucoup de jeunes gens des premières maisons de Rome, et même des magistrats, courent nus par la ville, armés de bandes de cuir qui ont tout leur poil, et dont ils frappent, en s'amusant, toutes les personnes qu'ils rencontrent. De nombreuses femmes, même les plus distinguées par leur naissance, vont au-devant d'eux, et tendent la main à leurs coups, comme les enfants dans les écoles ; elles sont persuadées que c'est un moyen sûr pour les femmes grosses d'accoucher heureusement et, pour celles qui sont stériles, d'avoir des enfants." (Plutarque, "Vie De César", LXI.)
Avant le banquet qui se tenait pour clore les festivités, on organisait une sorte de loterie amoureuse, placée sous les auspices de Junon : les jeunes filles inscrivaient leur nom sur une tablette qu'elles déposaient dans une jarre, et chaque jeune garçon tirait au sort le nom de celle qui l'accompagnerait tout au long du repas.
ÉVOLUTION DES LUPERCALES VERS LA SAINT-VALENTIN.
La dimension sexuelle de la fête des lupercales est flagrante. Outre les luperques entièrement nus, les femmes mariées elles-mêmes se dénudaient partiellement pour être flagellées.
Auguste y mit cependant le holà : il exclut du collège des officiants les jeunes hommes imberbes, considérés comme trop séduisants et, pour que la cérémonie devienne un peu plus décente, il fit garder aux luperques les pagnes en peau de bouc. Au cours du IIème siècle après J.C. enfin, les vénérables matrones restaient habillées, et tendaient simplement leurs mains aux fouets.
Dans les premières années du christianisme, l'empereur romain Claude II fut confronté à un problème : plusieurs de ses soldats étaient des hommes mariés, et ils refusaient d'abandonner leur doux foyer pour partir régler leur compte aux barbares. Claude II prit donc des mesures, et il interdit formellement de marier les militaires. Or, un prêtre ne l'entendit pas de cette oreille, et il estima qu'il était légitime que les soldats puissent se marier si cela leur chantait. Partisan du mariage pour tous (en tous cas pour les légionnaires), il célébra donc des mariages chrétiens en secret. Ce qui devait arriver arriva, et le prêtre fut arrêté et emprisonné, avant d'être décapité à la veille des lupercales de 270. Il s'appelait Valentin…
Les lupercales étaient si populaires qu'elles survécurent à l'implantation et au développement du christianisme, bien que les dignitaires chrétiens – on s'en doute ! – n'appréciassent guère cet étalage de nudité, ces flagellations obscènes et ces sacrifices païens. Ceux-ci eurent beau être interdits en 341, cela n'y changea rien : on célébrait toujours les lupercales, et plusieurs Papes s'y cassèrent les dents. Cela dit, les lupercales n'avaient plus rien de commun avec la fête originelle et, en lieu et place des nobles luperques nus, c'était désormais toute la racaille (habillée, elle !) qui en profitait pour mettre la pagaille dans les rues. Ce fut finalement le Pape Gélase (494 - 496) qui tapa du poing sur la table : il rédigea une longue diatribe contre les lupercales et décida de leur interdiction pure et simple. Toutefois, la fête fut célébrée à Constantinople jusqu'au Xème siècle.
Certains auteurs affirment que Gélase remplaça les lupercales par la "Fête de la Purification de la Bienheureuse Vierge Marie", fixée au 15 Février ; d'autres prétendent qu'il y aurait substitué la célébration du martyr de ce Saint Valentin dont nous avons déjà parlé, saint patron des fiancés et des amoureux, le 14 Février. Rien ne permet de privilégier l'une ou l'autre de ces hypothèses. Toutefois, le lien entre les lupercales et la fécondité, la coutume appareillant les convives lors du banquet et surtout le martyr de Saint-Valentin permettent d'envisager un rapprochement entre Lupercales et notre fête des amoureux.
SYMBOLISME DES LUPERCALES.
Les origines des lupercales semblent être multiples, et il en va de même pour leur signification. Pour commencer, d'où pouvait bien venir cette idée étrange de fouetter les femmes avec des lanières découpées dans la peau d'un bouc ?! Une légende étiologique semble apporter la réponse : après le rapt des Sabines, il s'avéra que celles-ci étaient stériles. Ce qui posait un sacré problème, puisque c'était précisément pour assurer leur descendance que les Romains les avaient enlevées !
C'est alors qu'une voix s'éleva dans le bois sacré : "Qu'un bouc pénètre les femmes italiennes !" Consternation des Sabines (du moins, j'imagine !?!), mais heureusement pour elles, un devin sut interpréter l'ordre divin et il fit découper dans la peau d'un bouc des lanières dont on fouetta les jeunes femmes - qui vécurent heureuses, et eurent beaucoup d'enfants !
(Source : Encyclopedia Universalis)
Donc, si la fête des lupercales est une fête de purification, c’est aussi une fête de la fertilité. Le rire des luperques qui succède au sacrifice est en lui-même le symbole de l'affranchissement des contraintes sociales, d'un retour à la sauvagerie de la nature, sensée raviver la fécondité. Ce qui explique que l'on rattache le plus souvent la fête à Lupercus ou Faunus, maîtres des forces naturelles sous leur forme la plus spontanée. Faunus était représenté avec des cornes, la partie inférieure de son corps était celle d'un bouc, et j'ai déjà indiqué que l'on sacrifiait des boucs et des chiens. Les premiers sont des symboles de sexualité et de fécondité, et Plutarque avance plusieurs explications quant au sacrifice des seconds :
"Quant au chien qu’on sacrifie, si cette fête est réellement un jour d’expiation, il est immolé sans doute comme une victime propre à purifier. Les Grecs eux-mêmes se servent de ces animaux pour de semblables sacrifices. Si au contraire c’est un sacrifice de reconnaissance envers la louve qui nourrit et sauva Romulus, ce n’est pas sans raison qu’on immole un chien, l’ennemi naturel des loups ; peut-être aussi veut-on le punir de ce qu’il trouble les luperques dans leurs courses." (Plutarque, "Vie De Romulus", XXVII.)
Ainsi, puisque la flagellation était supposée assurer la fertilité, elle représentait sans doute l'acte de pénétration – une pénétration symbolique, un symbole de fertilité (lanière en peau de bouc) marquant la chair.
F.L / La Toge et le Glaive (x)
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Le 15 février à l'aube, à Rome, deux groupes de jeunes gens, appartenant respectivement aux gentes des Fabii et des Quinctii, se réunissaient au Lupercal, cette grotte au pied du Palatin, où la louve de la légende avait allaité les jumeaux fondateurs. Après avoir sacrifié une chèvre dont ils découpaient la peau en lanières, ces luperques, vêtus d'une simple peau de bouc, se lançaient dans une course folle autour du Palatin et fouettaient de leurs lanières tous ceux qu'ils rencontraient, les femmes en particulier. Il suffit de décrire brièvement cette fête étrange pour constater qu'elle contredisait aux règles ordinaires de la gravitas romaine et aux convenances sociales les plus élémentaires.
Le nom de luperques est certainement apparenté à celui du loup, lupus ; moins sans doute en raison de la louve de la légende que de la sauvagerie dont cet animal était le symbole.
Cicéron (Pro Caelio, 26) évoque ainsi cette confrérie : « La sodalité sauvage, toute pastorale et agreste des frères luperques, dont le rassemblement sylvestre a été institué avant la civilisation humaine et les lois. »
Une légende étiologique permet d'entrevoir la signification de la fête : après le rapt des Sabines par Romulus, ces femmes se révélèrent stériles, au grand désespoir de leurs ravisseurs qui en espéraient précisément une descendance. Alors se fit entendre dans un bois sacré une voix mystérieuse qui proclamait : « Qu'un bouc pénètre les femmes italiennes ! »
Un habile devin sut interpréter cette injonction divine de façon à sauvegarder l'honneur de ces dames : il fit découper dans la peau d'un bouc des lanières dont on fouetta les Sabines ravies (aux deux sens du terme), qui, de ce fait, eurent beaucoup d'enfants.
Au terme de l'année religieuse, la fête des lupercales était destinée à raviver la fécondité de la société humaine en libérant les puissances vitales de la nature de toutes les contraintes de la civilisation. Aussi bien le dieu de la fête était-il Faunus, le maître des forces naturelles de fécondité sous leur forme la plus spontanée. (…)
http://www.universalis.fr/encyclopedie/lupercales/
19:01 Publié dans Détente, Eros über alles, Historica, Yggdrasil | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : lupercus, lupercales, faunus, pan, paganisme, fêtes païennes, saint-valentin
08/02/2014
Skinny Puppy v/s Guantanamo
Leur musique sert de torture à Guantanamo, ils réclament des royalties.
Après avoir appris que leur musique était utilisée pour torturer les prisonniers à Guantanamo, le groupe d'électro-rock canadien Skinny Puppy réclame 666.000 dollars (environ 500.000 euros) d'indemnités au département de la défense américain, rapportent le "Guardian" et la BBC.
"Nous leur avons envoyé une facture pour nos droits musicaux car nous considérons qu'ils sont allés trop loin en utilisant notre musique comme une arme sans notre accord", dénonce l'un des musiciens du groupe, Cevin Key, à l'antenne de CTV News, avant de souligner : "Non seulement je refuse qu'ils utilisent notre musique pour torturer quelqu'un mais en plus ils le font sans aucune autorisation." Un porte-parole de l'armée américaine a de son côté déclaré à la BBC qu'aucune facture n'avait été reçue.
Les Skinny Puppy disent avoir été prévenus par un garde de Guantanamo, "choqué" par l'instrumentalisation de la musique dont il était témoin. "Parce que notre univers musical est dérangeant, notre musique est détournée dans un mauvais sens. Mais on n'est pas d'accord avec ça", a insisté le groupe dans une interview au "Phoenix New Times", déclarant ne pas faire ça pour s'enrichir et envisager un procès en justice.
Les Skinny Puppy ne sont pas le seul groupe dont la musique a été utilisée durant les interrogatoires des terroristes présumés et "ennemis" des Etats-Unis dans la base cubaine. Les musiques de Metallica, Rage Against the Machine, Queen, Eminem et David Gray, diffusées à un volume sonore maximal, auraient servi aux mêmes fins, rapporte (aussi) le "Guardian".
Big Browser | 07.02.2014 à 16h38 (source)
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Note de Kurgan : O.K pour Metallica, Queen ou Skinny Puppy, ça roule. Mais putain, ne pas parler lorsque l'on vous balance du Eminem à fond 24 heures sur 24… alors là, respect ! Ils m'épatent les "barbus" (ou pseudo-barbus… parc'qu'avec ces abrutis de ricains, on ne sait jamais, ils ont très bien pu embarquer un ou deux popes en les prenant pour des imams !?!).
14:39 Publié dans Détente, Monde en perdition | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : skinny puppy, guantanamo, royalties