16/11/2015
Attentats de Paris et de Saint-Denis / Syrie.
Attentats de Paris et de Saint-Denis : l’enquête progresse, au moins une équipe jihadiste toujours dans la nature.
Chaque jour, les éléments que nous arrivons à glaner et à recouper confirment ce que nous affirmons depuis le début : les équipes opérationnelles qui ont réussi ces attentats sans précédent sur notre sol sont le fait de plusieurs groupes opératifs composés de « Français » ou de francophones issus des banlieues de l’islam, délinquants multirécidivistes radicalisés, ayant été formés à l’étranger dans les rangs jihadistes (al-Qaïda ou Daech), puis revenus clandestinement sur notre sol au nez et à la barbe des « services ».
Ces équipes étaient secondées par des opératifs étrangers infiltrés parmi les « migrants » qui leur ont fourni tous les moyens pour agir avec une efficacité redoutable. Nous affirmons de surcroît que plusieurs de ces équipes de tueurs sont encore dans la nature.
L’enquête avance, lentement. Il est évident que les autorités ne disent pas tout. Pour, bien entendu, protéger le plus possible les investigations et se prémunir de fuites pouvant profiter aux tueurs, mais aussi parce que le pouvoir en place a décidé de taire certaines choses. Au plus au sommet de l’Etat, on était au fait que des attentats de cette ampleur pouvaient se produire très bientôt. Mais on a préféré laisser faire, par bien-pensance et par lâcheté. Car on n’ose pas imaginer une quelconque duplicité afin de forcer une opinion à accepter d’entrer en guerre en Syrie contre l’intervention russe, justement au moment où cette dernière vient d’affaiblir considérablement les bandes jihadistes…
(…)
Depuis des mois, le pouvoir en place avait été prévenu que l’Etat islamique préparait des attentats d’une ampleur inédite sur le territoire français et visait même des lieux hautement fréquentés. Depuis des semaines, ce même pouvoir présidé par François Hollande était parfaitement informé, de la part notamment des services britanniques et de la sécurité d’Etat russe, de l’infiltration de terroristes islamistes parmi la vague d’immigrés clandestins en provenance du Proche et du Moyen Orient.
Nous savons aussi par le journal serbe Blic que la BIA (service de sécurité serbe) avaient averti Paris de l’arrivée de jihadistes par les Balkans, fondus dans la masse des « migrants ». A l’évidence, malgré ces avertissements fondés, rien ne semble avoir été fait pour éviter la dramatique soirée du 13 novembre. Pire : comme il abandonna ses compatriotes à leur propre sort dans les minutes qui suivirent l’attentat au Stade de France, François Hollande a laissé depuis des mois (si ce n’est des années) ses concitoyens totalement démunis face à la menace islamiste. La lâcheté est un trait de caractère majeur chez le locataire de l’Élysée et elle est particulièrement bien ancrée au sein des élites qui nous dirigent, qu’elles soient de droite ou de gauche. Et il n’y a que les naïfs, les sots et les crapules à s’en étonner ou à refuser de voir les choses en face.
-----------------------------------
Le moment où Hollande apprend par sa sécurité que sa politique mène au chaos…
Dans quelques secondes, il fuira par hélicoptère le Stade de France,
laissant ses concitoyens à leur sort… La lâcheté, c’est maintenant !
(…)
Sept personnes de l’entourage familial d’Ismaël Omar Mostefaï sont en garde à vue. Son père et son frère de 34 ans ont été placés en garde à vue dès samedi en début de soirée. Les enquêteurs de la police judiciaire soupçonnent un des corps des islamistes retrouvé déchiqueté au Bataclan d’être celui d’un autre frère de Mostefaï. Plusieurs perquisitions ont eu lieu à Chartres (à La Madeleine) et à Courcouronnes dans l’Essonne ces dernières heures. Selon les informations du Monde, Mostefaï s’est absenté quelques mois de La Madeleine pour un séjour en Syrie. Une trace atteste de son passage par la Turquie à l’automne 2013, le régime islamiste d’Ankara qui soutient le terrorisme en Syrie, a donc joué un rôle essentiel dans ces attentats du 13 novembre. Puis les services français de renseignement ne retrouvent sa trace qu’au printemps 2014, en observant un petit groupe de salafistes à Chartres, à la mosquée de Lucé exactement. Il était alors considéré comme un simple membre d’un groupe salafiste que le pouvoir en place ne semble pas avoir jugé nécessaire de neutraliser.
(…)
Il y a quelques mois, nous apprenions que des explosifs, justement du TATP (ou peroxyde d’acétone) comme lors des explosions dans Paris et au Stade de France, avaient été dérobés sur un site militaire français. Depuis, plus de nouvelles de l’enquête concernant ce vol…
Plusieurs équipes de jihadistes opèrent en toute impunité, semble-t-il, sur notre sol.
D’après le général Aleksandr Vassilievitch Bortnikov, directeur du FSB de Russie (sécurité intérieure russe), « les attentats de Paris de cette ampleur sont un échec total des renseignements et du ministère de l’Intérieur français : nous avons prévenus à plusieurs reprises nos collègues européens, dont la France, que des éléments terroristes s’infiltraient sous couverture de ‘réfugiés syriens’. Nos services ont donné des éléments qu’on avait de nos informateurs. Mais apparemment, ils n’ont pas voulu en tenir compte ! » a-t-il affirmé hier sur Pervy Kanal.
Mais bon, comme depuis le 26 juillet 2014, l’Union européenne l’a interdit de visa (dans le cadre des sanctions occidentales à l’encontre de la Fédération de Russie concernant la crise ukrainienne), les avertissements fondés du général Bortnikov ont certainement été considérés avec le plus grand mépris par les plus hauts sommets de l’Etat français.
--------------------------------
Encore un jihadiste engagé en Syrie, puis invité en Europe.
Si nous avons réussi à nous procurer ce type de document,
on imagine bien les renseignements dont disposent nos « services » d’Etat…
Et ils ne font rien pour empêcher de nouveaux attentats ?…
* * * * *
Selon la presse serbe, un des auteurs des attentats de Paris et de Saint-Denis serait un certain Ahmed Almuhamed, 25 ans, dont l’itinéraire migratoire passé par la Serbie le 7 octobre, après avoir séjourné en Grèce dès le 3 octobre, puis aurait pris la direction de la France via la Croatie, la Slovénie, l’Autriche et l’Allemagne.
Il est évident que ceux qui ont frappé à Paris ne sont pas des amateurs : ils ont opéré comme ils le font sur les terrains de guerre en Irak et en Syrie. Nous sommes en présence de plusieurs équipes composées de francophones ou de « Français » issus des banlieues de l’islam, petites frappes radicalisées, puis formées et entrainées dans les rangs jihadistes à l’étranger, secondés par un encadrement opérationnel composé d’étrangers infiltrés dans notre pays grâce aux flux migratoires que l’Union européenne refuse de juguler par idéologie mondialiste.
Mais la caste politico-médiatique, responsable au premier degré de cette situation alarmante, ne déroge pas à son arrogance habituelle et à son outrecuidance nauséeuse, en niant ses responsabilités évidentes. Médiatiquement, nous nous approchons de la phase où des proches d’Ismaïl Mostefaï vont nous dire qu’il était « gentil », « souriant » et qu’il disait « bonjour »…
Et pendant ce temps-là, Hollande négocie des contrats d’armement avec l’Arabie Saoudite qui soutient l’Etat islamique et al-Qaïda en Syrie et en Irak.
NationsPresse.info, 15 novembre 2015.
Pour lire l’intégralité de l’article, regarder les vidéos, etc > cliquez ici.
-------------------------------
Un homme d'État s'adresse à François Hollande…
---------------------------
Syrie : débandade jihadiste au Sud d’Alep !
Les attentats de Paris au bilan catastrophiquement meurtrier interviennent à un moment où les forces islamistes, toutes tendances confondues, semblent perdre progressivement pied sur l’ensemble des parties du front syrien des suites de l’offensive loyaliste très largement appuyée par la Russie. A l’Ouest de Raqqah, capitale du califat, la base aérienne de Kuweires près d’Alep est désencerclée et le front de l’EI enfoncé et à l’Est de Raqqah la route principale menant à l’Irak est coupée.
On a l’impression que, finalement, ceux qui ont commandité ces carnages cherchent à forcer la main à une opinion publique française afin que cette dernière accepte une intervention militaire massive en Syrie, non pas pour détruire Daech, al-Nosra ou encore le Jund al-Aqsa, mais pour en finir avec le régime laïc de Bachar al-Assad, au risque de se retrouver face à un affrontement direct avec la Russie. Ce sentiment désagréable est conforté par l’attitude autiste maintenue par le locataire de l’Elysée et son gouvernement envers le régime syrien, en dépit des évidences, des derniers événements et du simple bon sens.
En réponse aux attentats de Paris dans la soirée du 13 novembre, qui ont fait au moins 132 morts, des centaines de blessés dont une quarantaine sont encore en réanimation, l’aviation française a bombardé ce soir le fief du califat islamique à Raqqah. Un « bombardement massif » selon la com’ du ministère de la Défense. En tout 20 bombes guidées ont été larguées par 10 appareils sur des objectifs de l’Etat islamique. C’est finalement assez peu et pas très « massif » pour un pays qui se prétend être une puissance militaire importante dans le monde. Il reste à en connaître les effets au sol. Et pourquoi cela n’a-t-il pas été réalisé plus tôt ? Et va-t-on enfin cesser de soutenir ceux qui sont derrière Daech ?
(…)
Jacques Frère, pour NationsPresse.info, 15 novembre 2015.
Pour lire la suite / l’intégralité de l’article, regarder les vidéos, etc. > cliquez ici
-------------------------------
Lire également :
-------------------------------------------
Et n'oubliez pas, pour suivre la (vraie) guerre contre Daesh...
16:33 Publié dans Historica, Monde en perdition | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : france, paris, terrorisme, syrie, guerre contre daesh, islamo-terrorisme
14/11/2015
L’Etat islamique a revendiqué la responsabilité des attentats de Paris...
L’Etat islamique frappe à Paris et en banlieue :
au moins 128 morts et 250 blessés (MaJ)
Quinze heures après les attaques, l’Etat islamique a revendiqué la responsabilité des attentats de Paris et du Stade de France dans un communiqué officiel (Note de K : voir ici pour lecture du communiqué) . Après Charm el-Sheikh, puis Beyrouth, c’est Paris et sa proche banlieue qui ont été très durement frappés. Le bilan est effrayant et il n’est, hélas !, pas définitif : 128 morts, plus de 250 blessés dont 99 dans un état d’urgence absolue. Sous toutes réserves, une traque impliquant, entre autres, le RAID, la SDAT et le GIGN serait en cours.
Malheureusement, cette vague d’attentats qui a frappé Paris et sa proche banlieue était prévisible. Le camp national avait mis en garde le gouvernement depuis des mois, si ce n’est des années, que sa politique ubuesque saupoudrée de politiquement correct mènerait directement à cette situation alarmante. Nous y sommes. Pendant que Valls désignait l’ennemi à abattre, le Front national de Marine Le Pen, des commandos jihadistes se préparaient sur notre sol à frapper.
La gauche aux abois, toute honte bue, entend bien récupérer cette vague d’attentats islamistes à son profit : après la visite indécente de Hollande et de sa clique, en cravate noire bien visible des caméras, hier soir aux abords du Bataclan, voilà que la Ligue des droits de l’homme appelle à manifester place de la République demain. Un seul mot d’ordre : « padamalgam » !
Le deuil national a été proclamé pour trois jours, le temps pour la Hollandie de se refaire une petite santé médiatique…
La presse bien pensante parle "d’horreur", de "terrorisme", en évitant soigneusement tout lien avec l’islam, le jihadisme, l’islamisme dans ses gros titres et ses manchettes. Les Tartuffe qui ont soutenu la politique criminelle ad nauseam qui a mené à ce drame et qui en engendrera d’autres, hélas!, crachent désormais sur ceux qui mettaient en garde contre ces choix ubuesques (voir ici l’article odieux de la rédaction d’Europe1) et, demain, les désigneront comme responsables de ces assassinats pour camoufler leur propre lâcheté et leur complicité passive envers le terrorisme islamique. « Une tragédie […] inexpliquée », selon ces hypocrites… Mensonges !
Car nul au sein de cette caste politico-médiatique n’évoque une information capitale, qu’ils détiennent pourtant depuis hier soir : il s’agit de l’action de plusieurs équipes de tueurs islamistes, disposants de papiers français, de retour d’Irak et de Syrie. Des tueurs très vraisemblablement fichés au plus haut niveau de dangerosité.
Et du côté de Sarkozy, on n’en loupe pas une pour attaquer le gouvernement en place et tenter de faire oublier que la politique du petit excité de l’Elysée de 2007 à 2012 fut très semblable à celle menée par le gros tout-mou socialiste : ronds de jambes envers les pétro-monarchies islamo-obscurantistes du Golfe, yeux de Chimène pour la Turquie de l’islamiste Erdogan, mépris de la menace intérieure composée d’une cinquième colonne islamiste pourtant identifiée, refus de remettre en place des contrôles aux frontières, de stopper un flux migratoire inassimilable, laxisme judiciaire, etc., etc.
A l’étranger, la dignité du président iranien Rohani, qui dénonce un « crime contre l’Humanité », et le soutien affirmé aux victimes de son homologue russe Vladimir Poutine, tranchent avec l’indécence d’un Obama dont les choix géopolitiques sont à l’origine de Daech, de son développement et des conséquences que l’on connaît.
Et ne parlons pas du duo Hollande-Fabius, qui s’est délibérément placé à l’avant-garde du soutien occidental au terrorisme salafiste et à ses mentors du Golfe et de Turquie !
Le Président syrien, Bachar al-Assad, que des députés français doivent rencontrer aujourd’hui, a pour sa part déclaré : « La France a connu hier ce que nous vivons en Syrie depuis 5 ans ».
Une opération bien préparée
Pour Le Point, le choix du Bataclan ne serait pas forcément une cible au hasard. La salle de concert située boulevard Voltaire, là même où les chefs d’État ont défilé le 11 janvier dernier après l’attaque de Charlie Hebdo et de l’Hypercacher, serait régulièrement menacée par des groupes radicaux car ses propriétaires sont juifs et que plusieurs organisations juives ont pour habitude de s’y rassembler. Comme l’explique le site de l’hebdomadaire, des membres de Jaysh al-Islam, l’Armée de l’Islam affiliée à al-Qaïda (al-Nosra en Syrie) et qualifiée de « modéré » (sic), soupçonnées de l’attentat qui a coûté la vie à une étudiante française au Caire en février 2009, voulaient ouvertement la prendre pour cible en 2011. Plusieurs sites israéliens ont ainsi rappelé qu’Eagle of Death Metal s’est produit dans l’État hébreu cet été, malgré les appels au boycott du groupe.
Pour notre part, nous sommes en mesure d’affirmer que cette opération terroriste coordonnée a été minutieusement préparée. Elle impliquerait une demi-douzaine d’équipes choc de commandos suicides, soutenues par autant d’équipes logistiques incrustées en région parisienne. Plusieurs terroristes sont actuellement en fuite et il semble étonnant qu’aucune opération de perquisition ne soit en cours depuis hier soir. Ces terroristes sont très largement fichés, la plupart détiennent la nationalité française et ont un casier judiciaire bien chargé. Mais pour l’heure le régime veut nous faire accroire que seuls les 8 jihadistes qui ont été tués seraient impliqués dans ces attentats. On ne les aurait donc pas aidés et ils ne disposeraient d’aucune logistique ? Le pouvoir socialiste s’appuie sur la revendication officielle de Daech qui se limite à évoquer, quinze heures après les faits, seulement « huit frères » engagés dans l’opération et qui ont été opportunément tous tués (on évoque parfois un jihadiste capturé par la police mais sans plus de précisions).
Des sources (non-officielles) affirment pourtant que des opérations et une traque seraient en cours, impliquant le GIGN, la sous-direction antiterroriste (DGSI) et le RAID. Vers 13 heures (heure de Paris), des coups de feu auraient été entendus à Bagnolet (Seine-Saint-Denis). Des hélicoptères ont survolé la Porte de Bagnolet. Finalement, il s’agissait d’une fausse alerte : des pétards avaient été lancés à l’occasion d’un mariage… Dans les Yvelines à la même heure, une voiture a forcé un barrage, créant une certaine confusion sur le terrain. La police traque une voiture de type Citroën Berlingo espagnol immatriculé en Espagne (0643CRG) à bord de laquelle se trouvent quatre personnes lourdement armées, barbus, de type Nord-Africains, et qui ont forcé le péage de l’A10 à auteur d’Ablis (Yvelines) en direction de Paris. Le véhicule aurait été aperçu sur Boulogne-Billancourt.
Si on se limite aux 8 corps retrouvés sans vie dans le cadre de cette enquête, soit le pouvoir en place est d’une naïveté qui frise la débilité mentale, soit il se trouve dans l’incapacité totale de loger l’ensemble des terroristes et de réagir avec bon sens et efficacité. On a le sentiment que nos forces de l’ordre sont exemplaires, mais attendent des ordres qui ne viennent pas. C’est à la fois dramatique et très inquiétant.
NationsPresse.info, 14 novembre 2015 / Article source.
18:15 Publié dans Monde en perdition | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, paris, terrorisme, hollandie, monde en perdition, france en perdition
Vague d’attentats islamistes à Paris...
Vague d’attentats islamistes à Paris et Saint-Denis :
au moins 126 morts, plus de 200 blessés dont des dizaines graves.
Ce sont six à sept lieux différents qui ont été ciblés hier soir dans la capitale et au Stade de France par plusieurs équipes de jihadistes bien coordonnées, surarmés et décidés à faire un carnage. Le premier bilan de cette soirée meurtrière se chiffre à 126 tués, dont 4 policiers, des dizaines de blessés sont hospitalisés dans un état grave dans les différents centres de l’APHP, notre pays est sidéré.
Dans la foulée, François Hollande a décrété l’Etat d’urgence sur l’ensemble du territoire (une première depuis la guerre d’Algérie) et la fermeture des frontières, avant de se raviser bien vite : on se limitera à un contrôle « renforcé » aux frontières…
L’ensemble des terroristes n’a toujours pas été neutralisé ce matin, une traque est en cours. Il s’agirait de « Français » de retour d’Irak et de Syrie qui ont combattu dans les rangs de Daech.
Carte des attentats dans Paris
* * * * *
Les Parisiens ont vécu une soirée d’horreur et de folie pure, ponctuée par les sirènes des secours, celles des forces de l’ordre, le bruit assourdissant des hélicoptères qui tournaient au dessus des toits et, dans certains quartiers de la capitale, des barrages de police, des bruits d’explosions, des tirs, la panique. Ambiance surréaliste mais terriblement réelle d’un pays en guerre qui doit faire face à une menace islamiste de très haut niveau avec des dirigeants totalement en dessous de tout.
François Hollande avec quelques-uns de ses ministres et le chef de file des socialistes pour les régionales en Ile-de-France sont apparus au Bataclan en cravates noires, l’air grave, la mine déconfite : le temps de la com’ à défaut de l’action et de la volonté politique…
Sept lieux différents ont été ciblés, dont 6 sur Paris intra muros : Charonne, rue Bichat, rue de la Folie Méricourt, le Bataclan, la rue de la Fontaine au Roi, le Stade de France où se déroulait le match France-Allemagne et où le président de la République a été évacué d’urgence après qu’au moins deux jihadistes se soient fait sauter avec des ceintures d’explosifs. Une fusillade aurait même été entendue aux abords du Stade de France.
L’horreur au Bataclan
Dans la salle de concerts du Bataclan, en plein Paris, le groupe de Metal « Eagles of Death Metal » avait réuni quelque 1500 fans à l’intérieur de la salle. L’équipe jihadiste est arrivée armée jusqu’aux dents, ceinturée d’explosifs. Très vite, ce fut un véritable carnage, le commando islamiste rafalant à la kalachnikov dans la foule ; la BRI (ex-anti-gang) est intervenue dans l’urgence, en pleine panique des otages. La plupart des terroristes ont été éliminés, deux se seraient fait exploser, un dernier aurait été interpellé. L’individu se revendiquerait de Daech.
Selon le journaliste Guillaume Auda, la BRI déplorerait la perte de quatre de ses hommes, des policiers d’élite qui n’ont fait que leur devoir avec courage et honneur. Une information non confirmée.
Dans la salle de spectacle, ils ont tiré en plein dans la foule en criant « Allah Akbar », l’un d’eux reprochant l’intervention française en Syrie, oubliant un peu vite que le ministre socialiste des Affaires étrangères, Laurent Fabius, considérait que les islamo-terroristes font du « bon boulot » dans ce pays meurtri par la guerre.
Des exécutions sommaires auraient été perpétrées par ces terroristes.
« Des cadavres entassés par dizaines, des morceaux de corps, de visages, de cervelle partout », témoigne une personne présente sur le lieu du drame. Certains survivants ont été sauvés grâce à leur présence d’esprit de se protéger derrière les corps de victimes sans vie.
Dans Paris, alors que les terroristes agissaient encore, après avoir tiré à l’arme lourde contre plusieurs restaurants et terrasses de cafés bondés, une solidarité de fait s’est mise en place, comme au Café Grisette, Boulevard Richard Lenoir, qui a fourni eau, café, soutien moral et abri aux badauds quand ça tirait encore.
Jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak
Au total 8 terroristes sont morts : 4 au Bataclan (dont deux se sont fait sauter à l’explosif), 3 au Stade de France (avec leurs ceintures d’explosifs), 1 boulevard Voltaire. Toutes les autres équipes ont réussi à s’échapper, l’ensemble des forces de l’ordre et une partie de l’armée les traquent. D’ailleurs, dès hier soir, 1.500 militaires étaient appelés en renforts sur Paris.
Hier soir, tard, ordre a été donné aux forces de l’ordre de tirer à vue. Paris est désormais quasi bouclé, sous très haute surveillance. Il était temps, mais l’ennemi est déjà dans la place.
Selon l’analyste Jean-Paul Ney, les équipes d’assaut de l’Etat islamique seraient composées de jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak. Tous fichés S, tous identifiés, la plupart dans la nature. Le numéro vert et les stages de « déradicalisation », mis en place par un gouvernement Valls-Hollande totalement irresponsable et déconnecté des réalités, n’auront donc servi à rien.
NationsPresse.info, 14 novembre 2015.
------------------
En continu, sur RT en français > Cliquez ici
10:04 Publié dans Monde en perdition | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, paris, terrorisme
04/05/2015
Sven HASSEL
Sven HASSEL
Sven HASSEL : « Bataillon de marche
( les Panzers en première ligne ) »
Quatrième de couv’ :
Ce roman raconte l'odyssée d'une poignée de Tankers – les soldats des chars d'assaut allemands – qui, en uniforme russe et sur des chars T.34 russes, furent un jour désignés pour tenter un raid suicide derrière les lignes russes.
Mieux que personne, Sven Hassel a su peindre l'ambiance de douleur, de violence et de désespoir qui caractérisait l'armée allemande lors des derniers mois de la guerre avec la chaleur et la force d'un style extrêmement percutant et viril.
Presses de la Cité – 1969 / 284 pages – 20,5 x 13,5 cms – 435 grammes.
Reliure éditeur imitation cuir rouge, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Etat = un petit accro ( restauré ) sur le haut de la jaquette côté couv’, sans quoi il est très bien… sain et propre.
>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
( Ailleurs = entre 6 et 14 €uros ( selon les états ) sur marelibri.com )
Egalement disponible dans sa version poche :
Sven HASSEL : « Bataillon de marche »
Presses Pocket – 1973 – 307 pages – 190 grammes.
Traces de stockage, mais néanmoins en excellent état pour un Sven Hassel de chez Presses Pocket ( et de 1973 ), on sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu !!!…
>>> 2,50 €uros. / disponible.
-----------------------------------------------------
Sven HASSEL : « Général S.S. »
On connaît les nombreux récits de guerre de Sven Hassel, combattant du front russo-allemand dans un régiment particulièrement exposé, parce que « politiquement douteux » aux yeux des nazis. On retrouve dans cet ouvrage les héros traditionnels de l’auteur : Porta, Petit-Frère, le légionnaire, Heide le fanatique, mais dans un cadre s’il est possible encore plus tragique, puisque c’est de la bataille de Stalingrad qu’il s’agit ici… et que nos soldats ; après de furieux combats contre les Sibériens ; se retrouvent vaincus, mourant de faim et de froid, transformés en cannibales. Ce récit tragique se termine sur une note qui ne l’est pas moins : la percée, effectuée par un groupe de soldats sous les ordres d’un général S.S. plus humain que les autres, coûte finalement la vie à trois officiers qui ont tenté, contre les ordres de Hitler, d’arracher leurs hommes à la torture et à la mort inévitable.
Un aspect de la bataille de Stalingrad, peu connu du grand public, trouve ici un écrivain digne de lui.
Presses Pocket – 1973 – 317 pages – 190 grammes.
Etat = une fine cassure/nervure sur tranche, est à peu près le seul « défaut » à signaler ! Ensemble bien compact, plats en excellent état et intérieur parfait, l’exemplaire peut sans problème être estampillé comme bon+ tirant sur le très bon !
>>> 4,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs (et pour CETTE édition) :
Entre 3 et 8,90 €uros sur Amazon.fr (moyenne/majorité aux alentours de 4 à 5 €uros ).
De 3,90 à 6,99 €uros (idem, pour cette édition) sur Priceminister.
Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »
Quatrième de couv’ : « 90 % de cette histoire reposent sur des faits réels », déclare l'auteur en parlant de son livre. Pourtant il faut bien préciser qu'il s'agit d'un roman, un roman dur écrit par un combattant de la dernière guerre, un roman révolté, désespéré mais baigné de tendresse. D'ascendance danoise et autrichienne, Sven Hassel s'est vu contraint de servir dans l'armée allemande et, après une tentative d'évasion, a été muté dans un régiment disciplinaire.
Ceux qu'il évoque forment donc un groupe de camarades jetés dans la bagarre, haïssant le destin fatal qui les a précipités dans cette démence. Nous les voyons tomber l'un après l'autre, même les femmes, jusqu'à ce que le narrateur demeure seul – seul et amer.
Pourtant ces pages ne sont pas entièrement noires. On y trouve de l’humour, on y trouve l’honnêteté de « A l’ouest rien de nouveau », la grandeur humaine du « bal des Maudits », on y trouve aussi le cynisme de l’inoubliable Porta.
Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.
Reliure cartonnée éditeur bordeaux, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente elle aussi quelques petits frottis en haut et bas de tranche, mais aucune déchirure (ce qui est plutôt rare) et un bel aspect bien brillant ! L’intérieur est en excellent état, propre et sain.
>>> 7 €uros. / disponible.
Ou : …
Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »
Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.
Reliure cartonnée éditeur bleu nuit, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente, elle, quelques petits accros ( haut de tranche et de quatrième / bas de premier plat ), mais ceux-ci ont été délicatement restaurés… et en dehors de ça, elle est de bel aspect, propre et brillante. L’intérieur est sain et en excellent état !
>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = pour un exemplaire bon état avec jaquette, tel que celui-ci, comptez entre 6,50 et 12,60 € (selon les états) sur Priceminister / ou entre 6 et 15 € (idem, selon les états) sur livre-rare-book.com
Egalement disponible au format poche : …
Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »
Presses Pocket – 1976 – 312 pages – 170 grammes.
Etat = quelques légères marques/traces de stockage, ainsi que des bords de tranche très légèrement frottés… mais bon, rien de vraiment notable pour autant !
Compact, brillant, non cassé, intérieur parfait… tout à fait bon pour le service !
>>> 2,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
------------------------------------------------------
Sven HASSEL : « Liquidez Paris »
Quatrième de couv’ :
Poursuivant sa marche hagarde à travers l'Europe, en guerre, le « quintette de la mort » de Sven Hassel a évidemment vécu et le débarquement de Normandie, et la libération de Paris.
Non, Von Choltitz ne fut pas le bienfaiteur annoncé par les communiqués officiels. Il avait reçu de Himmler même – et le chapitre qui relate leur rencontre est une page d'anthologie – l'ordre de miner Paris et de le détruire.
Il ne le fit pas, soit : mais ce ne fut pas par générosité. Au dernier moment, la débâcle empêcha la mise en place du dispositif meurtrier, et Von Choltitz trembla jusqu'à l'écrasement de Von Rundstedt à la pensée de rendre des comptes sur l'échec de sa mission.
Voilà qui jette une lumière nouvelle sur les grandes journées de juin 44… et nous permet de retrouver nos amis des précédents romans dans leur plus tragique aventure.
Presses Pocket – 1978 – 313 pages – 170 grammes.
Bel exemplaire, entre « bon+ » et très bon !
>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.
-------------------------------------
Sven HASSEL : « Monte Cassino »
Quatrième de couv’ : Comme tous les ouvrages de Sven Hassel, MONTE CASSINO est basé sur les expériences personnelles de l'auteur qui décrit la bataille de titans dont l'enjeu était le célèbre monastère. Affrontement, gigantesque qui fut appelé le « Verdun de la Seconde Guerre mondiale ». Dans cet univers d'apocalypse, un groupe de jeunes gens qui ont subi dès leur enfance un entraînement intensif dans le seul but de faire d'eux des robots prêts à obéir aux ordres les plus insensés.
Ce ne sont plus des hommes, mais des machines à tuer qui agissent par réflexes conditionnés sans que leur intelligence intervienne. Tout au long de la longue bataille, ils lutteront pour un idéal incrusté au fond d'eux-mêmes, sans même s'apercevoir que les souffrances qu'ils endurent, leur héroïsme aveugle ne mènent à rien car leurs mobiles sont condamnés.
Livre dur, âpre, sans concessions, qui se dresse comme une accusation implacable contre la guerre et la dictature, et l'on pourrait reprendre les mots du général nordiste Sherman qui déclarait après le succès de ses armées dans la guerre de Sécession : « La guerre me fatigue et me rend malade. La mort glorieuse des combattants est une monumentale stupidité. Il n'y a que ceux qui n'ont jamais tiré un coup de feu ou entendu les gémissements des agonisants le soir d'une bataille pour réclamer de la vengeance et du sang. La guerre, c'est l'enfer ! ».
Presses Pocket – 1975 – 314 pages ( volume double ) – 180 grammes.
Etat : trois « micro-pliures » (ou « très fines nervures », plutôt, le terme est plus juste !) sur la tranche, témoignent que le livre a été lu ! Mais son précédent propriétaire devait être quelqu’un de très soigneux, car hormis ce tout petit détail, le livre est quasi-parfait ! Plats bien brillants, ensemble rigide et compact, intérieur comme neuf… un exemplaire qu’on peut sans problème estampiller entre « bon+ », avec un gros «+» !!!
>>> 3,80 €uros. / Vendu !
Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »
Presses Pocket – 1973 – 314 pages – 190 grammes.
Traces de stockage, petites pliures en haut et bas de couv’ et bas de tranche légèrement « frottée », mais néanmoins en très bon état pour un Hassel de chez Presses Pocket ! On sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu !
>>> 2,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »
Presses Pocket – 1975 – 314 pages – 180 grammes.
Etat = Ensemble bien compact ne souffrant d’aucune déformation, plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait !
Comme neuf de chez comme neuf !!! Très certainement jamais lu !!!
>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = de 5 à 12,99 €uros sur Priceminister.
2 exemplaires à 5 et 6 euros (états « correct / moyen ») sur auxcentmillebouquins
Un seul ex, à 16, 49 €uros sur abebooks.fr / Un seul exemplaire, à 19,90 €uros sur Amazon.fr
---------------------------------------------------
Sven HASSEL : « Conseil de guerre »
Aux actions d’éclat succèdent les retraites des combattants traqués, faméliques, dans les steppes où la température descend fréquemment au-dessous de 50°C.
Les actes de bravoure, les décisions prises dans des situations désespérées, quand la seule chance de salut consiste à abandonner les blessés, sont récompensés par les jugements expéditifs des tribunaux militaires d’une armée à l’agonie. Horreur, souffrance, peur, vilenie, telles sont les couleurs de ce monde où nous suivons Porta, Petit-Frère, Barcelona, le Légionnaire et les autres, dans cette lutte sans merci qu’ils mènent sur le front finlandais contre un ennemi impitoyable. Un ennemi humain et qui n’a pas meilleurs sosies que ceux qui le combattent.
Tantôt témoin objectif, tantôt participant, jouet dérisoire pris dans l’implacable étau du conflit, Sven Hassel nous plonge au cœur du paradoxe de la guerre : tuer pour vivre, exécuter les ordres puisqu’il n’y a pas d’alternative, les exécuter malgré sa conscience, froidement, méticuleusement, puis, pour oublier au plus vite, se griser de cette vie d’autant plus précieuse qu’elle est précaire…
Presses de la Cité – 1980.
Broché, (reliure souple en couleurs) – 270 pages – 24 x 15,5 cms – 460 grammes.
Etat = Coins de plats légèrement talés-cornées + quelques salissures sur les tranches papier… et c’est dommage, car hormis ces petits défauts « de stockage et manipulations », le reste est franchement pas mal ! Plats toujours bien brillant, tranche non cassée, intérieur propre et sain (sans même parler d’une SUPERBE illustration de couv’ ), il est carrément sympa !!!…
>>> 8,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.
Ailleurs = entre 11,15 et 19,99 sur Priceminister pour des exemplaires juste "moyens" (pliure(s) sur couv’, taches, etc.), 30 € pour un « très bon » / 8 € sur livre-rare-book.com / 8 à 16 € sur abebooks.fr.
Egalement disponible en version poche :
Sven HASSEL : « Conseil de guerre »
Presses Pocket – 1986 – 319 pages – 170 grammes.
Etat = Excellent état, je n’irai pas jusqu’à dire « comme neuf » vu qu’il a tout de même bientôt 30 ans, mais c’est tout comme ! Tranche intacte, vernis bien brillant, plats en excellent état, intérieur nickel… très bel exemplaire !!!
>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
--------------------------------------------------------
Sven HASSEL : « Kommando Reichsführer Himmler »
Ce nouveau roman de Sven Hassel aborde les derniers mois de la guerre russo-allemande.
Le thème principal en est la bataille de Varsovie. On retrouvera les personnages devenus familiers aux lecteurs : Porta, le légionnaire, Petit-Frère, Heide, le nazi et Hassel lui-même, lancés dans une retraite où, comme toujours, le burlesque côtoie la terreur.
On assiste à l’écrasement d’une nation héroïque, la Pologne, alors que les Russes de Rokossovski restent l’arme au pied, et cette chute de Varsovie soulevée contre Hitler annonce la fin d’une guerre meurtrière et cruelle, car la sauvagerie de Staline n’a d’égale que celle de Himmler.
Presses Pocket – 1975 – 241 pages – 160 grammes.
Etat = compact, tranche non cassée, intérieur parfait : pas sûr que ce livre ait été lu en fait !?! Ou alors juste une fois… Mais bon, quelques petites marques/traces de stockage (donc… à défaut d’être « d’usage ») font que je ne pourrai pas l’estampiller comme « très bon » pour autant ! Il sera juste « bon »…
>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement disponible.
Ailleurs = Priceminister, comptez entre 4,09 et 6,80 pour des ex « acceptables »…
Et jusqu’à 14,50 pour du très bon !
-------------------------------------
Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »
Chroniqueur et témoin de la campagne de Russie, Sven Hassel retrace magistralement dans ce livre les souffrances et les exploits inouïs de ces soldats livrés à un climat inhumain par la folie d’Hitler.
Au cours de leur odyssée se placent des faits d’armes, tel le coup de main en uniformes russes sur une usine de Moscou. Puis vient la retraite. Mourant de faim et de froid, le commando cher à l’auteur fuit la torture et la captivité des camps russes. On retrouvera donc ici des héros familiers : Porta, Heide le fanatique, le légionnaire qui garde la nostalgie de la France, l’inénarrable Petit-Frère, et leur chef sagace, ce sergent aimé de tous et que tous appellent le Vieux. Perdus dans l’immense Russie, à la recherche d’un front allemand toujours évanescent, ils parviennent enfin à retrouver leurs lignes après un épisode dramatique dont le récit est l’un des plus poignants de Sven Hassel.
Presses Pocket – 1979 – 316 pages – 170 grammes.
Etat = quelques p’tites marques/traces de manipulations, lectures et/ou stockage… mais rien de franchement notable pour autant ! Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… tout à fait BON pour le service !
>>> 2,70 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = de 2 à 6 €uros sur Amazon.fr / 3,90 à 6,90 €uros sur Priceminister.
Ou : …
Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »
Presses Pocket – 1976 – 316 pages – 170 grammes.
Etat = Moins bien que le précédent ! Couv’ quelque peu « matifiée », petits frottis sur les bords de tranche… l’intérieur est excellent et la tranche non cassée, mais les plats sont assez moyens !
On vous le fait à >>> 1,50 €uros. / Vendu !
( L’occasion ou jamais de découvrir ! )
-------------------------------------
10:38 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : ww2, seconde guerre mondiale, sven hassel, bataillon disciplinaire, front de l'est, porta, petit-frère, le légionnaire, heide, stalingrad, monte cassino, paris, von choltitz, hassel