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18/03/2017

Le soldat oublié...

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat. Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division Gross Deutschland, division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque –40° degrés, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la Gross Deutschland, portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse. Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne. Dans l’hiver 1944-1945, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vateriand aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre… Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de  » littérature « , pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

 

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Marques de lecture et d'usage ( trace de pliures sur plats + tranche incurvée présentant quelques fines pliures ) ainsi que bords papier jaunis… mais intérieur sain et propre, tout à fait O.K pour le service. >>> 5 €uros. / Vendu !

 

Retour en stock d'un exemplaire, même année / même édition.

Le Livre de Poche / 1971 / 695 pages / 350 grammes.

Marques de pliures sur plats + tranche présentant quelques fines cassure, mais mieux que le précédent… tranche quasiment pas incurvée ( ce qui est plutôt rare pour un livre de poche aussi épais ! ) intérieur tout à fait propre et sain, pas mal du tout !  

>>> 5,80 €uros. / VENDU (photo N°2).

 

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Ailleurs = entre 3,50 et 10 €uros (selon les états) sur priceminister.

 

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Interview de Guy Sajer, 39-45 Magazine, décembre 1993.

>>> http://deuxiemeguerremondia.forumactif.com/t2404-interview-de-guy-sajer-sur-le-front-russe 

 

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Mes parents sont nés sur la terre, à quelque mille kilomètres de distance.

D'une distance encombrée de difficultés, de complexes étranges, de frontières entremêlées, de sentiments équivalents et intraduisibles.

Moi, j'ai abouti de cette alliance, à cheval sur cet ensemble délicat avec une seule vie pour débattre tant de problèmes. J'ai été enfant, mais cela est sans importance. Les problèmes existaient avant moi, et je les ai découverts.

Puis il y a eu la guerre. Je l'ai alors épousée, parce qu'il n'y avait guère qu'elle a l'âge que j'ai eu, moi aussi, lorsque l'on est amoureux.

Je fus brutalement comblé. J'avais soudain deux drapeaux à honorer, deux lignes de défense, l'une Siegfried, l'autre Maginot, et puis aussi de grands ennemis à l'extérieur. J'ai servi, j'ai rêvé, j'ai espéré. J'ai eu également froid et peur sous le portail où jamais n'est apparue Lilli Marlène.

J'ai dû mourir aussi un jour, et depuis, rien n'a eu tellement d'importance.

Alors, je demeure ainsi, sans regret, désolidarisé de toute condition humaine.

Guy Sajer 

05/11/2015

Le soldat traqué

Christian MALBOSSE : « Le soldat traqué »

Une section de Waffen S.S. français reflue vers les lignes américaines, à la fin de la guerre. Le sous-officier qui les commande abandonne : "Tout est perdu ! Pas question de se rendre aux Russes, je ne vous conseille pas de rentrer chez vous. Séparons-nous, chacun pour soi !"…
Christian, le héros du livre, va survivre pendant trois ans, caché dans les forêts allemandes. Pour manger, il accepte des besognes aussi insolites qu'héroïques : récupérer des instruments agricoles au milieu de champs de mines, faire passer la frontière des lignes russes à une vieille femme qui veut revoir son fils…
Il devient "Robinson de terre ferme" : les forêts sont pleines d'obus, de mines, de grenades. Christian prépare des pièges explosifs pour se procurer la viande des sangliers et des cerfs qui n'ont pas été chassés depuis des années. Il retrouve un vieux fusil de guerre, qu'il répare et qui lui rendra la chasse plus aisée. On se prend à avoir faim, froid, avec lui, à dormir à ses côtés sous une raide toile de tente, au milieu d'un fourré…
Mais le tatouage du groupe sanguin qu’il porte sous le bras, comme tous les soldats d’élite de l’armée allemande, le rend vulnérable. Il est arrêté, s’évade, est repris.
Un extraordinaire récit, et un splendide livre d'homme.

Edition de la Pensée Moderne / Collection "Le poing de la vie", 1971.
333 pages – 15 x 22,5 cms – 450 grammes.

Etat = Quatre fines nervures au dos (sur la "tranche", si vous préférez) de l’ouvrage, quelques petites marques de lecture(s) et manipulation(s), ainsi que des traces d’humidité sur quatrième et au bas des 20 dernières pages… mais rien de grave, elles se remarquent à peine et ne nuisent aucunement à la lecture.
Enfin bref… il est d’occasion, mais c’est tout de même une excellente occasion, qui ne demande qu’à vous procurer quelques longues heures de (passionnante) lecture.
Et puis c’est (aussi) l’occasion de ce procurer ce livre pour seulement…

>>> 5 €uros. / Vendu !

( Voilà un livre qui n'est resté disponible que 30 mns ! C'est une sorte de record !?! ) 

Ann.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_01.jpgAnn.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_02.jpgAnn.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_03.jpg

20/10/2015

Maréchal PAULUS : « Stalingrad »

Maréchal PAULUS : « Stalingrad »

 

Vie du Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS.

 

Lettres et documents inédits rassemblés par Walter GÖRLITZ.

 

Avant-propos d’Ernst Alexander PAULUS / Texte de présentation de Jacques Mordal.

 

 

Devant l’histoire, Friedrich Paulus reste à jamais le vaincu de la bataille de Stalingrad. Contrairement à d’autres chefs de guerre comme le Maréchal Model, il préfère la captivité au suicide, et le personnage ne sort pas grandi de sa confrontation avec le destin impitoyable. D’autant que les Soviétiques allaient obtenir de lui qu’il prenne position publiquement en août 1944 contre ses compatriotes qui s’obstinaient a continuer un combat, même sans espoir, pour leur patrie. Pourtant, Paulus n’est jamais apparu comme un opposant à la politique de conquête d’Adolf Hitler, n’ayant jamais cessé d’être, jusqu’à Stalingrad, un subordonné obéissant et respectueux. (39-45.org) 

 

Voici un livre très intéressant sur la vie de Frédéric Paulus ; Général-feldmaréchal de la VIème Armée, défaite à Stalingrad… personnage qui de part son indécision et son esprit d'obéissance totale au Führer, se laissa enfermer avec toute son armée dans la poche de Stalingrad, ex-Tsaritsine, surnommée le Verdun Rouge pour la violence de ses combats...

Ce livre est tiré des notes du Maréchal lui-même et réunies par son fils, Ernst-Alexander Paulus, officier dans la Waffen-SS et blessé au début de la campagne de Stalingrad. En 1957, il confia ces dernières à l'historien militaire allemand Walter Görlitz qui avec l'aide d'autres archives retrace la vie de Paulus de l'opération Barbarossa à Stalingrad, puis jusqu'à sa mort, à Dresde, en 1957.  A lire, car la personnalité de Paulus et la bataille de Stalingrad y sont traitées bien plus en profondeur, grâce aux notes de ce dernier, que dans bien des livres sur le sujet. (histoquiz-contemporain.com)

 

Club des Amis du Livre, 1962 (Ré-édition de l’ouvrage originellement sorti chez Arthème Fayard l’année précédente, en 1961).

Tirage limité à 14260 exemplaires, celui-ci porte le N°5204.

288 pages – 13 x 18,5 cms – 350 grammes.

Très nombreuses cartes et reproductions photographiques in et hors-texte.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu rouge, titre et nom d’auteur en doré sur tranche, logo de la collection embossé (avec dorure) sur premier plat.

 

Etat = le rhodoïd (jaquette en plastique transparent) de protection est absent… mais la reliure n’en a pas souffert pour autant, puisqu’hormis une minuscule « salissure » en bas de plat (trace de colle ?), elle est en parfait état ! Reliure O.K, intérieur parfait… un bel exemplaire, qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

 

>>> 5 €uros. / Vendu ! Ouvrage temporairement indisponible.

 

Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS, Maréchal PAULUS, Walter GÖRLITZ, Stalingrad, ww2, seconde guerre mondiale, front de l'est, grandes batailles, biographies, Histoire, Livres

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18/09/2015

Seconde Guerre Mondiale, front de l’Est : témoignages.

Seconde Guerre Mondiale,

 

Front de l’Est : témoignages.

 

Christian de LA MAZIÈRE - Christian MALBOSSE - Guy SAJER  

 

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Christian de LA MAZIÈRE : « Le rêveur casqué »

 

La division Charlemagne, section des volontaires français de la Waffen SS, combattit durement sur le front russe, aux côtés des Allemands, avant d'aller se faire massacrer ; au printemps 1945, dans les neiges de Poméranie. En août 1944, alors que la défaite allemande ne faisait plus aucun doute, un jeune Français demanda à s'engager à son tour dans la division SS. C'était Christian de La Mazière, dont le témoignage produisit une si forte impression sur les spectateurs du film Le chagrin et la pitié.

Tout à coup j'ai pensé à un jeune ouvrier, écrit-il. Il était passé dans cette même salle avant d'aller revêtir l'uniforme de la Waffen SS. « C'est en lisant vos articles, m'avait-il dit, que j'ai compris où était le chemin d'un avenir plus propre »… 

Après avoir suivi mes convictions, il les avait devancées. J'étais lié à son choix.

Dans son livre, on découvre que l'aventure de ce « paria » avait sa logique, qu'elle correspondait à un moment de la société française. Ce n'était pas un hasard si, en 1944, sept mille hommes avaient partagé le même engagement.

J’ai Lu « Documents », 1973 – 431 pages – 230 grammes.

Etat = Plats bien brillants et sans marques/traces (ah si, une toute petite en bas de quatrième, mais c’est vraiment histoire « de dire que »), intérieur parfait, carré, tranche non cassée… il suffit de l’entrouvrir pour immédiatement se rendre compte qu’il n’a jamais été lu !

Comme neuf : 8,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Christian MALBOSSE : « Le soldat traqué »

 

Une section de Waffen S.S. français reflue vers les lignes américaines, à la fin de la guerre. Le sous-officier qui les commande abandonne : « Tout est perdu ! Pas question de se rendre aux Russes, je ne vous conseille pas de rentrer chez vous. Séparons-nous, chacun pour soi ! »

Christian va survivre pendant trois ans, caché dans les forêts allemandes. Pour manger, il accepte des besognes aussi insolites qu'héroïques : récupérer des instruments agricoles au milieu de champs de mines, faire passer la frontière des lignes russes à une vieille femme qui veut revoir son fils...

Il devient « Robinson de terre ferme » : les forêts sont pleines d'obus, de mines, de grenades. Christian prépare des pièges explosifs pour se procurer la viande des sangliers et des cerfs qui n'ont pas été chassés depuis des années. Il retrouve un vieux fusil de guerre, qu'il répare et qui lui rendra la chasse plus aisée. On se prend à avoir faim, froid, avec lui, à dormir à ses côtés sous une raide toile de tente, au milieu d'un fourré...

Un extraordinaire récit, et un splendide livre d'homme.

Le Livre de Poche – 1977 – 416 pages – 210 grammes.

Etat = Plats bien brillants et sans marques/traces (ah si, une toute petite sur le bord externe du premier plat, mais c’est vraiment histoire « de dire que »), intérieur parfait, carré, tranche non cassée… il suffit de l’entrouvrir pour comprendre aussitôt qu’il n’a jamais été lu !

Comme neuf : 8 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

Guy SAJER : « Le soldat oublié »

 

Guy Sajer n’a pas 17 ans quand, en juillet 1942, il endosse l’uniforme de la Wehrmacht. Il est français par son père, allemand par sa mère ; il habite alors l’Alsace. A cause de son jeune âge, il n’est pas affecté à une unité combattante, mais dans le train des équipages. Dès novembre, l’hiver s’abat sur la plaine russe ; le froid, la neige, les partisans rendent la progression des convois extrêmement difficile : jamais l’unité de Sajer n’atteindra Stalingrad qu’elle devait ravitailler ; la VIe Armée aura capitulé avant. Mais Sajer sait déjà que la guerre n’est pas une partie de plaisir, que survivre dans l’hiver russe est déjà un combat.

Et pourtant, ce premier hiver, il n’a pas vraiment fait la guerre. La vraie guerre, celle du combattant de première ligne, il la découvre lorsqu’il est versé dans la division « Gross Deutschland », division d’élite, avec laquelle, à partir de l’été 1943, il va se trouver engagé dans les plus grandes batailles du front d’Ukraine, quand la Wehrmacht plie sous l’offensive russe. De Koursk à Kharkov, de jour comme de nuit, dans la boue, la neige, quand le thermomètre marque – 40°, sous le martèlement terrifiant de l’artillerie russe, face aux vagues d’assaut d’un adversaire désormais puissamment armé et qui ne se soucie pas des pertes, les hommes de la « Gross Deutschland », portés toujours aux endroits les plus exposés, toujours en première ligne, combattant à un contre vingt, connaissent l’enfer. La bataille de Bielgorod, le passage du Dniepr (la Bérésina à l’échelle de la Seconde Guerre mondiale) constituent, vécus au niveau du simple soldat, deux des plus hauts moments de ce récit d’Apocalypse.

Plus tard, quand le front allemand s’est désagrégé, quand l’immense armée reflue, aux combats réguliers s’ajoutera la lutte contre les partisans, plus sauvage et plus impitoyable. Plus tard encore, c’est la retraite des derniers survivants de la division d’élite à travers la Roumanie et les Carpathes jusqu’en Pologne.

Durant l’hiver 44-45, Sajer et ses camarades sont lancés dans les combats désespérés que les Allemands livrent en Prusse-Orientale pour interdire l’entrée du Vaterland aux Russes. C’est encore Memel, où l’horreur atteint à son comble, et Dantzig, au milieu de l’exode des populations allemandes de l’Est. Enfin, malade, épuisé, Sajer sera fait prisonnier par les Anglais dans le Hanovre…

Si ce récit de la guerre en Russie ne ressemble à aucun autre, s’il surpasse en vérité, en horreur et en grandeur tout ce qui a été écrit, ce n’est pas seulement parce que l’auteur a réellement vécu tout ce qu’il rapporte, ce n’est pas seulement parce que, sous sa plume, les mots froid, faim, fièvre, sang et peur prennent l’accent et la force terrible de la réalité, c’est aussi parce que Sajer sait voir et faire voir dans le détail avec une puissance de trait vraiment extraordinaire. Alors, le lecteur ne peut douter que tout ce qui est rapporté là est vrai, vrai au détail près ; il sait de science certaine qu’il n’y a pas là de «littérature», pas de morceaux de bravoure – mais que c’était ainsi : ainsi dans le courage et ainsi dans la peur, ainsi dans la misère et ainsi dans l’horreur…

Le livre de poche, 1971 – 699 pages – 360 grammes.

Etat = Trois fines nervures sur une tranche dont la courbure ne dépasse pas 1 ou 2 mm (ce qui est excessivement rare, chez ces J’ai Lu «volume triple» des années 70, aux tranches généralement incurvées comme des croissants de lune !), plats bien brillants ne présentant quasiment aucune trace de manip’ ou stockage, intérieur propre et sain… un exemplaire que l’on peut sans problème estampiller comme « entre bon et bon+ » !!!

>>> 7 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Voir aussi ici et ici (cliquez sur les mots en bleu)

 

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04/05/2015

Sven HASSEL

Sven HASSEL

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche

( les Panzers en première ligne ) »

 

Quatrième de couv’ :

Ce roman raconte l'odyssée d'une poignée de Tankers – les soldats des chars d'assaut allemands – qui, en uniforme russe et sur des chars T.34 russes, furent un jour désignés pour tenter un raid suicide derrière les lignes russes.

Mieux que personne, Sven Hassel a su peindre l'ambiance de douleur, de violence et de désespoir qui caractérisait l'armée allemande lors des derniers mois de la guerre avec la chaleur et la force d'un style extrêmement percutant et viril.

Presses de la Cité – 1969 / 284 pages – 20,5 x 13,5 cms – 435 grammes.

Reliure éditeur imitation cuir rouge, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Etat = un petit accro ( restauré ) sur le haut de la jaquette côté couv’, sans quoi il est très bien… sain et propre.

>>> 6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

( Ailleurs = entre 6 et 14 €uros ( selon les états ) sur marelibri.com ) 

 

Egalement disponible dans sa version poche :

 

Sven HASSEL : « Bataillon de marche »

 

Presses Pocket – 1973 – 307 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, mais néanmoins en excellent état pour un Sven Hassel de chez Presses Pocket ( et de 1973 ), on sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu !!!…

>>> 2,50 €uros. / disponible.

 

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Sven HASSEL : « Général S.S. »

 

On connaît les nombreux récits de guerre de Sven Hassel, combattant du front russo-allemand dans un régiment particulièrement exposé, parce que « politiquement douteux » aux yeux des nazis. On retrouve dans cet ouvrage les héros traditionnels de l’auteur : Porta, Petit-Frère, le légionnaire, Heide le fanatique, mais dans un cadre s’il est possible encore plus tragique, puisque c’est de la bataille de Stalingrad qu’il s’agit ici… et que nos soldats ; après de furieux combats contre les Sibériens ; se retrouvent vaincus, mourant de faim et de froid, transformés en cannibales. Ce récit tragique se termine sur une note qui ne l’est pas moins : la percée, effectuée par un groupe de soldats sous les ordres d’un général S.S. plus humain que les autres, coûte finalement la vie à trois officiers qui ont tenté, contre les ordres de Hitler, d’arracher leurs hommes à la torture et à la mort inévitable.

Un aspect de la bataille de Stalingrad, peu connu du grand public, trouve ici un écrivain digne de lui.

Presses Pocket – 1973 – 317 pages – 190 grammes.

Etat = une fine cassure/nervure sur tranche, est à peu près le seul « défaut » à signaler ! Ensemble bien compact, plats en excellent état et intérieur parfait, l’exemplaire peut sans problème être estampillé comme bon+ tirant sur le très bon !

>>> 4,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs (et pour CETTE édition) :

Entre 3 et 8,90 €uros sur Amazon.fr (moyenne/majorité aux alentours de 4 à 5 €uros ).

De 3,90 à 6,99 €uros (idem, pour cette édition) sur Priceminister.

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

 

Quatrième de couv’ : « 90 % de cette histoire reposent sur des faits réels », déclare l'auteur en parlant de son livre. Pourtant il faut bien préciser qu'il s'agit d'un roman, un roman dur écrit par un combattant de la dernière guerre, un roman révolté, désespéré mais baigné de tendresse. D'ascendance danoise et autrichienne, Sven Hassel s'est vu contraint de servir dans l'armée allemande et, après une tentative d'évasion, a été muté dans un régiment disciplinaire.

Ceux qu'il évoque forment donc un groupe de camarades jetés dans la bagarre, haïssant le destin fatal qui les a précipités dans cette démence. Nous les voyons tomber l'un après l'autre, même les femmes, jusqu'à ce que le narrateur demeure seul – seul et amer. 

Pourtant ces pages ne sont pas entièrement noires. On y trouve de l’humour, on y trouve l’honnêteté de « A l’ouest rien de nouveau », la grandeur humaine du « bal des Maudits », on y trouve aussi le cynisme de l’inoubliable Porta.

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bordeaux, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente elle aussi quelques petits frottis en haut et bas de tranche, mais aucune déchirure (ce qui est plutôt rare) et un bel aspect bien brillant ! L’intérieur est en excellent état, propre et sain. 

>>> 7 €uros. / disponible.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses de la cité – 1961 / 340 pages – 21 x 13,5 cms – 470 grammes.

Reliure cartonnée éditeur bleu nuit, avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleur. / Petits chocs en haut et bas de tranche reliure. La jaquette présente, elle, quelques petits accros ( haut de tranche et de quatrième / bas de premier plat ), mais ceux-ci ont été délicatement restaurés… et en dehors de ça, elle est de bel aspect, propre et brillante. L’intérieur est sain et en excellent état !

>>>  6 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = pour un exemplaire bon état avec jaquette, tel que celui-ci, comptez entre 6,50 et 12,60 € (selon les états) sur Priceminister / ou entre 6 et 15 € (idem, selon les états) sur livre-rare-book.com 

 

Egalement disponible au format poche : …

 

Sven HASSEL : « La Légion des Damnés »

Presses Pocket – 1976 – 312 pages – 170 grammes.

Etat = quelques légères marques/traces de stockage, ainsi que des bords de tranche très légèrement frottés… mais bon, rien de vraiment notable pour autant !

Compact, brillant, non cassé, intérieur parfait… tout à fait bon pour le service !

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Liquidez Paris »

 

Quatrième de couv’ :

Poursuivant sa marche hagarde à travers l'Europe, en guerre, le « quintette de la mort » de Sven Hassel a évidemment vécu et le débarquement de Normandie, et la libération de Paris.

Non, Von Choltitz ne fut pas le bienfaiteur annoncé par les communiqués officiels. Il avait reçu de Himmler même – et le chapitre qui relate leur rencontre est une page d'anthologie – l'ordre de miner Paris et de le détruire.

Il ne le fit pas, soit : mais ce ne fut pas par générosité. Au dernier moment, la débâcle empêcha la mise en place du dispositif meurtrier, et Von Choltitz trembla jusqu'à l'écrasement de Von Rundstedt à la pensée de rendre des comptes sur l'échec de sa mission.

Voilà qui jette une lumière nouvelle sur les grandes journées de juin 44… et nous permet de retrouver nos amis des précédents romans dans leur plus tragique aventure.

Presses Pocket – 1978 – 313 pages – 170 grammes.

Bel exemplaire, entre « bon+ » et très bon !

>>> 2,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Monte Cassino »

  

Quatrième de couv’ : Comme tous les ouvrages de Sven Hassel, MONTE CASSINO est basé sur les expériences personnelles de l'auteur qui décrit la bataille de titans dont l'enjeu était le célèbre monastère. Affrontement, gigantesque qui fut appelé le « Verdun de la Seconde Guerre mondiale ». Dans cet univers d'apocalypse, un groupe de jeunes gens qui ont subi dès leur enfance un entraînement intensif dans le seul but de faire d'eux des robots prêts à obéir aux ordres les plus insensés.

Ce ne sont plus des hommes, mais des machines à tuer qui agissent par réflexes conditionnés sans que leur intelligence intervienne. Tout au long de la longue bataille, ils lutteront pour un idéal incrusté au fond d'eux-mêmes, sans même s'apercevoir que les souffrances qu'ils endurent, leur héroïsme aveugle ne mènent à rien car leurs mobiles sont condamnés.

Livre dur, âpre, sans concessions, qui se dresse comme une accusation implacable contre la guerre et la dictature, et l'on pourrait reprendre les mots du général nordiste Sherman qui déclarait après le succès de ses armées dans la guerre de Sécession : « La guerre me fatigue et me rend malade. La mort glorieuse des combattants est une monumentale stupidité. Il n'y a que ceux qui n'ont jamais tiré un coup de feu ou entendu les gémissements des agonisants le soir d'une bataille pour réclamer de la vengeance et du sang. La guerre, c'est l'enfer ! ».

Presses Pocket – 1975 – 314 pages ( volume double ) – 180 grammes.

Etat : trois « micro-pliures » (ou « très fines nervures », plutôt, le terme est plus juste !) sur la tranche, témoignent que le livre a été lu ! Mais son précédent propriétaire devait être quelqu’un de très soigneux, car hormis ce tout petit détail, le livre est quasi-parfait ! Plats bien brillants, ensemble rigide et compact, intérieur comme neuf… un exemplaire qu’on peut sans problème estampiller entre « bon+ », avec un gros «+» !!! 

>>> 3,80 €uros. / Vendu ! 

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1973 – 314 pages – 190 grammes.

Traces de stockage, petites pliures en haut et bas de couv’ et bas de tranche légèrement « frottée », mais néanmoins en très bon état pour un Hassel de chez Presses Pocket ! On sent bien que le livre n’a pas été « cassé » ni même lu ! 

>>> 2,50 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ou : Sven HASSEL : « Monte Cassino »

Presses Pocket – 1975 – 314 pages – 180 grammes.

Etat = Ensemble bien compact ne souffrant d’aucune déformation, plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait !

Comme neuf de chez comme neuf !!! Très certainement jamais lu !!!

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 5 à 12,99 €uros sur Priceminister.

2 exemplaires à 5 et 6 euros (états « correct / moyen ») sur auxcentmillebouquins

Un seul ex, à 16, 49 €uros sur abebooks.fr / Un seul exemplaire, à 19,90 €uros sur Amazon.fr

 

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Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

 

Aux actions d’éclat succèdent les retraites des combattants traqués, faméliques, dans les steppes où la température descend fréquemment au-dessous de 50°C.

Les actes de bravoure, les décisions prises dans des situations désespérées, quand la seule chance de salut consiste à abandonner les blessés, sont récompensés par les jugements expéditifs des tribunaux militaires d’une armée à l’agonie. Horreur, souffrance, peur, vilenie, telles sont les couleurs de ce monde où nous suivons Porta, Petit-Frère, Barcelona, le Légionnaire et les autres, dans cette lutte sans merci qu’ils mènent sur le front finlandais contre un ennemi impitoyable. Un ennemi humain et qui n’a pas meilleurs sosies que ceux qui le combattent.

Tantôt témoin objectif, tantôt participant, jouet dérisoire pris dans l’implacable étau du conflit, Sven Hassel nous plonge au cœur du paradoxe de la guerre : tuer pour vivre, exécuter les ordres puisqu’il n’y a pas d’alternative, les exécuter malgré sa conscience, froidement, méticuleusement, puis, pour oublier au plus vite, se griser de cette vie d’autant plus précieuse qu’elle est précaire…

Presses de la Cité – 1980.

Broché, (reliure souple en couleurs) – 270 pages – 24 x 15,5 cms – 460 grammes.

Etat = Coins de plats légèrement talés-cornées + quelques salissures sur les tranches papier… et c’est dommage, car hormis ces petits défauts « de stockage et manipulations », le reste est franchement pas mal ! Plats toujours bien brillant, tranche non cassée, intérieur propre et sain (sans même parler d’une SUPERBE illustration de couv’ ), il est carrément sympa !!!…

>>> 8,80 €uros. / Vendu ! Temp. indisponible.

 

Ailleurs = entre 11,15 et 19,99 sur Priceminister pour des exemplaires juste "moyens" (pliure(s) sur couv’, taches, etc.), 30 € pour un « très bon » / 8 € sur livre-rare-book.com / 8 à 16 € sur abebooks.fr.

 

Egalement disponible en version poche :

 

Sven HASSEL : « Conseil de guerre »

Presses Pocket – 1986 – 319 pages – 170 grammes.

Etat = Excellent état, je n’irai pas jusqu’à dire « comme neuf » vu qu’il a tout de même bientôt 30 ans, mais c’est tout comme ! Tranche intacte, vernis bien brillant, plats en excellent état, intérieur nickel… très bel exemplaire !!!

>>> 2,80 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Sven HASSEL : « Kommando Reichsführer Himmler »

 

Ce nouveau roman de Sven Hassel aborde les derniers mois de la guerre russo-allemande.

Le thème principal en est la bataille de Varsovie. On retrouvera les personnages devenus familiers aux lecteurs : Porta, le légionnaire, Petit-Frère, Heide, le nazi et Hassel lui-même, lancés dans une retraite où, comme toujours, le burlesque côtoie la terreur.

On assiste à l’écrasement d’une nation héroïque, la Pologne, alors que les Russes de Rokossovski restent l’arme au pied, et cette chute de Varsovie soulevée contre Hitler annonce la fin d’une guerre meurtrière et cruelle, car la sauvagerie de Staline n’a d’égale que celle de Himmler.

Presses Pocket – 1975 – 241 pages – 160 grammes.

Etat = compact, tranche non cassée, intérieur parfait : pas sûr que ce livre ait été lu en fait !?! Ou alors juste une fois… Mais bon, quelques petites marques/traces de stockage (donc… à défaut d’être « d’usage ») font que je ne pourrai pas l’estampiller comme « très bon » pour autant ! Il sera juste « bon »… 

>>> 6 €uros. / Vendu ! Temporairement disponible.

 

Ailleurs = Priceminister, comptez entre 4,09 et 6,80 pour des ex « acceptables »…

Et jusqu’à 14,50 pour du très bon !

 

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Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

 

Chroniqueur et témoin de la campagne de Russie, Sven Hassel retrace magistralement dans ce livre les souffrances et les exploits inouïs de ces soldats livrés à un climat inhumain par la folie d’Hitler.

Au cours de leur odyssée se placent des faits d’armes, tel le coup de main en uniformes russes sur une usine de Moscou. Puis vient la retraite. Mourant de faim et de froid, le commando cher à l’auteur fuit la torture et la captivité des camps russes. On retrouvera donc ici des héros familiers : Porta, Heide le fanatique, le légionnaire qui garde la nostalgie de la France, l’inénarrable Petit-Frère, et leur chef sagace, ce sergent aimé de tous et que tous appellent le Vieux. Perdus dans l’immense Russie, à la recherche d’un front allemand toujours évanescent, ils parviennent enfin à retrouver leurs lignes après un épisode dramatique dont le récit est l’un des plus poignants de Sven Hassel.

Presses Pocket – 1979 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = quelques p’tites marques/traces de manipulations, lectures et/ou stockage… mais rien de franchement notable pour autant ! Plats bien brillants, tranche non cassée, intérieur parfait… tout à fait BON pour le service !

>>> 2,70 €uros. Vendu ! Temporairement indisponible.

 

Ailleurs = de 2 à 6 €uros sur Amazon.fr / 3,90 à 6,90 €uros sur Priceminister.

 

Ou : …

 

Sven HASSEL : « Je les ai vus mourir »

Presses Pocket – 1976 – 316 pages – 170 grammes.

Etat = Moins bien que le précédent ! Couv’ quelque peu « matifiée », petits frottis sur les bords de tranche… l’intérieur est excellent et la tranche non cassée, mais les plats sont assez moyens !

On vous le fait à >>> 1,50 €uros. / Vendu ! 

 

( L’occasion ou jamais de découvrir ! )

 

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