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11/01/2012

KHORS - The Flame of Eternity’s Decline / Cold

(M.a.j d'octobre 2014) Tous les groupes, labels, personnes, (etc.) qu’ils/elles soient ukrainien(ne)s ou non, qui affichent clairement leur soutien aux banksters au pouvoir à Kiev, et aux salopards de chez Svoboda, Pravy Sektor, Azov & Cie… sont et seront dorénavant considérés comme nos ennemis, et ce dans tous les sens du terme ! (Voir ici pour plus de détails).

 

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KHORS : « The Flame of Eternity’s Decline / Cold »

( Double CD / 2011 / Ukraine )

 

Double CD avec fourreau / Paragon Records.

Epais booklet avec paroles : 15 €uros. / Retirés de la vente et brûlés/burned ! 

 

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KHORS : « The flame of eternity’s decline »

( Démo-K7 2005, ré-édition 2010 / Ukraine )

 

Winter Solace / Version tape limitée à 500 / Pro-cover – 38 mns.

>>> 4 €uros. / Retirées de la vente et brûlées/burned !

 

KHORS : « Cold »

( Démo-K7 2006, ré-édition 2010 / Ukraine )

 

Winter Solace / Version tape limitée à 500 / Pro-cover – 37 mns.

>>> 4 €uros. / Retirées de la vente et brûlées/burned !

 

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Egalement disponible :

 

KHORS : « Mysticism »

( Démo-K7 2008, ré-édition 2010 / Ukraine )

 

Winter Solace / Version tape limitée à 500 / Pro-cover – 39 mns.

>>> 4 €uros. / Retirées de la vente et brûlées/burned !

 

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D.U.K.E support NOVOROSSIA !!!

 

Россия-Матушка !!!

10/01/2012

Aleister Crowley - Fragments Sataniques

Fragments Sataniques

( Attribués de manière posthume à Aleister Crowley )

 

9° - Le Mage Noir.


Le mage noir était revêtu de ses habits sacerdotaux les plus imposants ( c'était un ancien prêtre ), mais les croix y figurant avaient cette particularité que chacune de leurs branches était divisée en deux parties, de sorte que chaque croix possédait à la base quatre Y. Il se tenait devant l'autel en ruines d'une chapelle abandonnée, un endroit depuis longtemps investi par les hiboux et les chauve-souris. Il restait suffisamment de toiture pour occasionnellement abriter des clochards ou des bohémiens, mais il ne restait plus une seule porte, plus une seule fenêtre.

A ses côtés se tenait l'atroce femme qui l'inspirait, également vêtue en prêtre, mais dont les habits étaient portés de manière indécente. Il y avait deux luminaires sur l'autel, des cierges de cire noire, tous deux disposés au nord de ce qui tenait lieu de crucifix. Il s'agissait d'un crapaud crucifié vivant à une croix écarlate. Le tout était enroulé dans un lambeau de tissu, arraché à une chemise de leur future victime par une blanchisseuse corrompue. En guise d'encens, du soufre se consumait sur les charbons.

Les étoiles observaient la profanation au travers du toit éclaté. La voix de l'opérateur était la seule vibration dans cette atmosphère paisible. Il commença à dire la Messe, mais en renversant l'ordre des mots à chaque phrase Son débit lancinant, insolite et nasal, passait par des hausses et des baisses de ton se succédant de manière désagréable et inharmonieuse. Lorsque vint le moment de faire le signe de croix, il cracha sur le sol et signa ce crachat à l'aide de son pied gauche. Il remplaçait systématiquement les noms divins par un sifflement bizarroïde. L'hostie était triangulaire, composée de farine d'avoine azyme et de sang. Pour calice, il employait un récipient consacré à toute bassesse et toute impureté ; et l'étoffe le recouvrant était une serviette de table trempée dans le sang. Au lieu de vin, il contenait de l'eau provenant d'un puits dans lequel on avait jeté le corps d'un enfant mort-né.

Comme l'odieux rite se poursuivait, le sorcier devint conscient qu'il était en grand manque d'assurance. Ses genoux se dérobaient sous lui et à nouveau il regarda aux alentours comme pour apercevoir quelque présence par lui ressentie. Non : il n'y avait personne ici à Î'exception de son clerc, dont la chevelure rouge feu brillait telle un incendie au milieu de la nuit, dont les boucles surgissaient comme des serpents hors de la barrette, et dont les verts yeux de tigresse étaient enflammés par un émoi intense. Aucun d'eux ne remarqua que les étoiles avaient cessé de luire au-dessus de la chapelle ; aucun d'eux ne réalisa que l'atmosphère était soudainement devenue chaude et étouffante.

Il est impossible de narrer les détails de la consécration finale des éléments maudits, de dire quelles profanations et malédictions accompagnèrent la fin de la Messe, ou quelles furent les atroces gestuelles auxquelles s'abandonnèrent les apostats durant l'adoration. Mais il faut par contre dire qu'avec l'eau consacrée le prêtre baptisa le crapaud du nom de leur victime ( que je symboliserai ici par la lettre x ) - disant « De même que cette créature des crapauds va dépérir et décéder sur cette croix, ainsi en sera-t-il de x ».

L'imposante horloge de la cathédrale toute proche annonça minuit : la cérémonie s'acheva. L'hystérie des abominables officiants s'apaisa. Soudain, la femme tira l'ancien prêtre par le bras. « Regarde », s'écria-t-elle.

L'ex-ecclésiastique revint à lui. Toute la chapelle était embrasée de sphères de flammes, et l'orage en ébranlait les murs de sa rage tournoyante. Une poutre pourrie céda, désertant le toit, et vint s'abattre à terre. « Eloignons-nous d'ici. » Conseilla l'ancien prêtre qui demeurait de marbre. « Le danger est là », ajouta-t-il. Mais à ce moment précis l'orage s'apaisa ; l'électricité de l'air se libéra dans la terre ; les étoiles purent à nouveau briller.

Ceci dit, l'horreur de la véritable solitude enveloppait les officiants présents dans la chapelle. Depuis le sanctuaire étaient-ils revenus au monde ; mais désormais ils n'appartenaient plus à celui-ci. Ils s'étaient irrémédiablement coupés de leurs semblables. Et puis l’accomplissement fondit sur eux au même instant ; ils en demeurèrent pantois quelque temps. Puis, la passion de la femme transforma cette solitude en exaltation ; elle s'agrippa sauvagement à son complice et leurs lèvres se scellèrent comme pour témoigner de leur abandon solennel à, et de leur acceptation de, leur ineffable et consternant destin.

 

( Texte anglais : © O.T.O. / Traduction française © Philippe Pissier, 1996 )…

( http://www.magick-instinct.org/Crowley/fragmentssataniques.html )

 

( Ce texte fut publié aux éditions HRILIU en avril 1996 ).

 

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Note : « Les fragments sataniques » furent recopiés par Cosmo Trelawny à partir d'une masse de papiers et tapuscrits de Crowley laissée dans ses appartements par Macgregor Reid. Les originaux furent ensuite vendus à un libraire, et perdus lorsque sa boutique fut bombardée durant la guerre. aleister crowley,fragments sataniques,philippe pissier

07/01/2012

Addams Family

Charles Samuel Addams,

 

Né le 7 janvier 1912 et mort le 29 Septembre 1988, était un auteur américain de bande dessinée, connu pour son humour noir et ses personnages macabres.

Il est notamment l'auteur de La Famille Addams, qui est à l'origine de deux séries animées, trois films, une comédie musicale de Broadway et de deux séries télévisées.

 

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06/01/2012

MOURNING FOREST

MOURNING FOREST : « De la vermine »

( CD / 2010 / France )

 

Le visuel et l’atmosphère générale dégagée par la chose… « où la dimension occulte se mêle à une sorte d'ars moriendi médiéval » comme dirait un mec (qui cause vachement bien et dont on sent qu’il a fait des études) de chez Postchrist… m’avait fait (à tort) dire tout haut (et ce avant même que je ne glisse le disque dans le lecteur) : « Ah là… m’est avis qu’on tient là un nouveau clone de PESTE NOIRE !?! »…

Et puis non… tout faux de chez tout faux… rien à voir avec PESTE NOIRE, c’est plutôt du côté des sombres et glaciales forêts de Finlande qu’il faut chercher comparaisons et similitudes… du côté des HORNA et autres SATANIC WARMASTER surtout, qui me semble – à l’évidence – être deux des influences majeures du gang !?!!!… Mais bon, qui pense SATANIC WARMASTER ne peut (de fait) que penser (également) SEIGNEUR VOLAND (ou KRISTALLNACHT). Et oui… ne serait-ce que par cette faculté à créer ces riffs simples mais martiaux… ces atmosphères épiques et racées… MOURNING FOREST sait aussi (et avant tout) rester français, et glisser ce qu’il faut de SEIGNEUR VOLAND ou de CELESTIA (si si !  dans son Art Noir, pour pouvoir le clamer haut et fort !!!!!!!… EXCELLENT !!!…    

Un très bel objet (layout, artworks, booklet…) signé HASSWEG Productions.

9 titres – 54 mns : 10 €uros. / Epuisé - référence indisponible.  

 

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MOURNING FOREST : « Au cœur de l’ombre »

( Version démo-K7 de l’album de 2009 / France )

 

« Le groupe est né sous l'impulsion de Balkor et Vorgnr, qui ont sans nul doute beaucoup écouté leurs aînés et parviennent à créer une ambiance racée à la française. C'est-à-dire qu'on retrouve sur ces neuf titres de la haine mêlée à des mélodies imparables.

On peut penser à ARMAGGEDON mais aussi à CELESTIA et SEIGNEUR VOLAND, avec des textes principalement chantés en français. Mais le groupe qui me vient surtout à l'esprit à l'écoute de cet album est SACRIFICIA MORTUORUM et son Damnatorium Ferrum. »…

Nous dit un mec de chez euh… ah ouais… de chez PostChrist.com (again)…

Et putaing… rien à rajouter : c’est exactement ça !!!!!…

CELESTIA mix SEIGNEUR VOLAND mix SACRIFICIA MORTUORUM… point barre !

Tape version du premier album, sorti en 2009 chez Deathrash Armageddon…

Infernal Kommando / Layout double-face imprimé sur papier « bronze ».

8 titres - 44 mns : 4 €uros. / disponible.  

 


04/01/2012

MÜTIILATION - Sorrow Galaxies

MÜTIILATION : « Sorrow Galaxies »

( Double LP  / 2007 / HELL )

 

Il y a des groupes et des artistes que je ne peux pas – à l’évidence – chroniquer…

Des groupes et des artistes avec l’Art desquels je suis tant et si bien en « osmose », que, quelle que soit l’œuvre produite ou réalisée… quel que soit le « revirement ou changement » de style abordé, je sais – par avance – que rien n’y fera : je ne pourrai qu’aimer !!!…

Et MÜTIILATION ( comme MAYHEM… par exemple ) fait partie de ceux-ci !!!…

Alors oui… ce MÜTIILATION là, est bien sûr totalement différent de tout ce que Meyna’ch avait pu réaliser jusqu’alors… quatre longs morceaux de 10 minutes et plus, des atmosphères plus mélancoliques et éthérées qu’à l’accoutumée… etc… etc… mais foutre, que voulez-vous que je vous dise en fait !??

Meyna’ch pourrait bien sortir un album de Blues, si l’envie lui en prenait, je suis – par avance – sûr et certain qu’il serait génial… et me filerait tout autant la chair de poule !!!…

MÜTIILATION ne se chronique pas… et ne s’explique pas…

MÜTTILATION se vit… et se ressent !!!

Que ceux qui ne comprennent pas ça aillent se faire enfler… je n’ai rien d’autre à leur dire !

 

Version Double Gatefold LP – Vinyls rouges et pochettes intérieures imprimées…

Limité à 1000 exemplaires : 18 €uros. / Vendus ! Réf. indisponible 

 

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« … L’album commence sur des voix sombres et inquiétantes, on entend les guitares du MÜTIILATION habituel, toujours aussi profondes et tristes ; puis vient le fait le plus important de tout l’album et de toute la musique de Meyna’ch : l’arrivée d’une vraie batterie ! Alors que tous les autres albums étaient dotés d’une drum-machine horrible qui gâchait assez le travail, cette fois la batterie a été enregistrée par un réel batteur… et avec ça, plus question pour notre lépreux favoris de louper quoique ce soit. Les morceaux sont très sombres et très tristes, la voix est beaucoup plus grave et étouffée que d’habitude, ( comme si Meyna’ch usait de ses dernières forces pour nous faire parvenir ses textes d’agonie à faire frissonner les morts ), et malgré la longue durée des morceaux, Meyna’ch ne lasse pas son auditeur, sachant jouer de ses meilleurs tours pour nous stresser, mêlant des voix et des passages au synthé aux guitares…

Les quatre morceaux se valent réellement même si j’ai une légère préférence pour les deux premiers, qui ressemblent assez aux premiers morceaux de « Rattenkoning », mais en beaucoup plus langoureux et avec une vraie batterie… et l’album se termine aussi froidement qu’il a commencé, l’auditeur ne sachant plus vraiment où se mettre en sortant de cet immense mur de froideur… un long voyage dans une dimension plus noire et plus triste que la mort. Une nouvelle ère pour MÜTIILATION, une ère de tristesse et de dépression, accompagnée d’une vraie batterie. On peut dire que Meyna’ch n’a pas bossé pendant trois ans pour rien : cet album est son meilleur méfait depuis « Remains of a ruined, dead, cursed soul ». Un grand pas dans la bonne direction, et un album qu’on n'est pas prêt d’oublier. »…

( Extrait de la chronique « parue » sur : « lahordenoire.free.fr » )

 


Erotica – Une anthologie littéraire et artistique

Erotica – Une anthologie littéraire et artistique

Par Charlotte Hill et William Wallace

 

L’érotisme a toujours été pour les artistes un sujet d’inspiration, souvent secret, toujours fécond. Cet ouvrage vous convie à un voyage au pays du désir, auquel les plus grands écrivains et les plus grands artistes ont rendu hommage au fil des siècles.

Nombre de textes rassemblés dans cet ouvrage ont menés, à l’époque, leurs auteurs devant les tribunaux : « Madame Bovary » de Flaubert et « Les Fleurs du Mal » de Baudelaire à Paris en 1857, « Lady Chatterley » de D.H Lawrence en 1960 à Londres, « Tropique du Cancer » d’Henry Miller en 1962 à Los Angeles, pour ne citer que les plus célèbres.

A ces textes répondent plus de 450 reproductions de peintures, sculptures, aquarelles, gravures ou photographies d’artistes tels que Bearsdley, Blake, Cocteau, Dali, Vivant Denon, Füssli, Klimt, Modigliani, Picasso, Man Ray, Rembrandt, Rodin, Itawaga et bien d’autres.

 

Edition Evergreen – Taschen 2001.

480 pages / 450 illustrations.

Dimensions = 28 x 23 x 3 cms / Poids = 1600 grammes.

Les plats présentent de nombreuses petites marques de stockages ( frottements ) et la tranche est légèrement enfoncée sur le dessus ( cf photo ), mais l’intérieur est – lui – parfait, sain et propre… et de fait, on oscille entre « Moyen+ / Bon » pour l’extérieur et « très Bon » pour l’intérieur.

>>> 18 €uros. / Vendue ! Temporairement indisponible.

Erotica, Une anthologie littéraire et artistique, Charlotte Hill et William Wallace, Bearsdley, Blake, Cocteau, Dali, Vivant Denon, Füssli, Klimt, Modigliani, Picasso, Man Ray, Rembrandt, Rodin, Utagawa, Boccace, Casanova, Anaïs Nin, Henry Miller, Erica Jong, D.H Lawrence, Gustave Flaubert, Schiele, Taschen, Livre d'Art

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Quatrième de couverture : Cette anthologue illustrée propose une splendide sélection de textes érotiques et d’œuvres d’art, couvrant une période de deux mille ans. Des morceaux choisis du Kama Soûtra, de Boccace, Casanova, Anaïs Nin, Henry Miller, Erica Jong et d’autres auteurs célèbres ou anonymes mettent l’accent sur la capacité de l’érotisme à enrichir notre vie. Plus de 450 illustrations : des reliefs de temples hindous aux estampes japonaises, en passant par des œuvres de Klimt, Schiele, Picasso, Dali ou Man Ray, sont destinées à la fois à vivifier et divertir le lecteur. 

 

Chronique : Réaliser une anthologie littéraire et artistique de l'érotisme semble difficile. Quels textes choisir ? Quels fragments de romans retenir ? Comment construire une iconographie qui ne soit pas une simple illustration ? Dès les premières pages de cet ouvrage, on sent combien les deux auteurs se sont longuement interrogés sur ces questions. Il est vrai que l'érotisme recouvre depuis quelques siècles pléthore de romans, d'autobiographies, de nouvelles, de dessins, de peintures et de photographies. Erotica est donc un livre volontairement arbitraire, avec ses partis pris et ses impasses. Côté réussite, on ne peut que saluer la grande culture des auteurs. Les textes sont choisis avec justesse. Souvent accompagnés d'illustrations rares, ces extraits possèdent d'indéniables qualités littéraires au point de nous inciter à lire le roman dont ils sont issus pour en poursuivre la lecture. L'autre mérite de cet ouvrage réside dans son organisation. Les chapitres, loin de proposer une simple vision chronologique de l'érotisme à travers les âges, préfèrent aborder cette histoire sous l'angle de thèmes particuliers (le moment du désir, le voyeurisme, l'imaginaire libertin, visions décadentes…). Cette approche permet donc de débuter notre lecture un peu au hasard de nos envies… ( Résumé d’une chronique signée Damien Sausset ).

 

Erotica, Une anthologie littéraire et artistique, Charlotte Hill et William Wallace, Bearsdley, Blake, Cocteau, Dali, Vivant Denon, Füssli, Klimt, Modigliani, Picasso, Man Ray, Rembrandt, Rodin, Utagawa, Boccace, Casanova, Anaïs Nin, Henry Miller, Erica Jong, D.H Lawrence, Gustave Flaubert, Schiele, Taschen, Livre d'Art

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