Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

14/11/2015

L’Etat islamique a revendiqué la responsabilité des attentats de Paris...

L’Etat islamique frappe à Paris et en banlieue :
au moins 128 morts et 250 blessés (MaJ)

Quinze heures après les attaques, l’Etat islamique a revendiqué la responsabilité des attentats de Paris et du Stade de France dans un communiqué officiel (Note de K : voir ici pour lecture du communiqué) . Après Charm el-Sheikh, puis Beyrouth, c’est Paris et sa proche banlieue qui ont été très durement frappés. Le bilan est effrayant et il n’est, hélas !, pas définitif : 128 morts, plus de 250 blessés dont 99 dans un état d’urgence absolue. Sous toutes réserves, une traque impliquant, entre autres, le RAID, la SDAT et le GIGN serait en cours.

Malheureusement, cette vague d’attentats qui a frappé Paris et sa proche banlieue était prévisible. Le camp national avait mis en garde le gouvernement depuis des mois, si ce n’est des années, que sa politique ubuesque saupoudrée de politiquement correct mènerait directement à cette situation alarmante. Nous y sommes. Pendant que Valls désignait l’ennemi à abattre, le Front national de Marine Le Pen, des commandos jihadistes se préparaient sur notre sol à frapper.

La gauche aux abois, toute honte bue, entend bien récupérer cette vague d’attentats islamistes à son profit : après la visite indécente de Hollande et de sa clique, en cravate noire bien visible des caméras, hier soir aux abords du Bataclan, voilà que la Ligue des droits de l’homme appelle à manifester place de la République demain. Un seul mot d’ordre : « padamalgam » !

Le deuil national a été proclamé pour trois jours, le temps pour la Hollandie de se refaire une petite santé médiatique…

La presse bien pensante parle "d’horreur", de "terrorisme", en évitant soigneusement tout lien avec l’islam, le jihadisme, l’islamisme dans ses gros titres et ses manchettes. Les Tartuffe qui ont soutenu la politique criminelle ad nauseam qui a mené à ce drame et qui en engendrera d’autres, hélas!, crachent désormais sur ceux qui mettaient en garde contre ces choix ubuesques (voir ici l’article odieux de la rédaction d’Europe1) et, demain, les désigneront comme responsables de ces assassinats pour camoufler leur propre lâcheté et leur complicité passive envers le terrorisme islamique. « Une tragédie […] inexpliquée », selon ces hypocrites… Mensonges !

Car nul au sein de cette caste politico-médiatique n’évoque une information capitale, qu’ils détiennent pourtant depuis hier soir : il s’agit de l’action de plusieurs équipes de tueurs islamistes, disposants de papiers français, de retour d’Irak et de Syrie. Des tueurs très vraisemblablement fichés au plus haut niveau de dangerosité.

Et du côté de Sarkozy, on n’en loupe pas une pour attaquer le gouvernement en place et tenter de faire oublier que la politique du petit excité de l’Elysée de 2007 à 2012 fut très semblable à celle menée par le gros tout-mou socialiste : ronds de jambes envers les pétro-monarchies islamo-obscurantistes du Golfe, yeux de Chimène pour la Turquie de l’islamiste Erdogan, mépris de la menace intérieure composée d’une cinquième colonne islamiste pourtant identifiée, refus de remettre en place des contrôles aux frontières, de stopper un flux migratoire inassimilable, laxisme judiciaire, etc., etc.

A l’étranger, la dignité du président iranien Rohani, qui dénonce un « crime contre l’Humanité », et le soutien affirmé aux victimes de son homologue russe Vladimir Poutine, tranchent avec l’indécence d’un Obama dont les choix géopolitiques sont à l’origine de Daech, de son développement et des conséquences que l’on connaît.
Et ne parlons pas du duo Hollande-Fabius, qui s’est délibérément placé à l’avant-garde du soutien occidental au terrorisme salafiste et à ses mentors du Golfe et de Turquie !

Le Président syrien, Bachar al-Assad, que des députés français doivent rencontrer aujourd’hui, a pour sa part déclaré : « La France a connu hier ce que nous vivons en Syrie depuis 5 ans ».

Une opération bien préparée

Pour Le Point, le choix du Bataclan ne serait pas forcément une cible au hasard. La salle de concert située boulevard Voltaire, là même où les chefs d’État ont défilé le 11 janvier dernier après l’attaque de Charlie Hebdo et de l’Hypercacher, serait régulièrement menacée par des groupes radicaux car ses propriétaires sont juifs et que plusieurs organisations juives ont pour habitude de s’y rassembler. Comme l’explique le site de l’hebdomadaire, des membres de Jaysh al-Islam, l’Armée de l’Islam affiliée à al-Qaïda (al-Nosra en Syrie) et qualifiée de « modéré » (sic), soupçonnées de l’attentat qui a coûté la vie à une étudiante française au Caire en février 2009, voulaient ouvertement la prendre pour cible en 2011. Plusieurs sites israéliens ont ainsi rappelé qu’Eagle of Death Metal s’est produit dans l’État hébreu cet été, malgré les appels au boycott du groupe.

Pour notre part, nous sommes en mesure d’affirmer que cette opération terroriste coordonnée a été minutieusement préparée. Elle impliquerait une demi-douzaine d’équipes choc de commandos suicides, soutenues par autant d’équipes logistiques incrustées en région parisienne. Plusieurs terroristes sont actuellement en fuite et il semble étonnant qu’aucune opération de perquisition ne soit en cours depuis hier soir. Ces terroristes sont très largement fichés, la plupart détiennent la nationalité française et ont un casier judiciaire bien chargé. Mais pour l’heure le régime veut nous faire accroire que seuls les 8 jihadistes qui ont été tués seraient impliqués dans ces attentats. On ne les aurait donc pas aidés et ils ne disposeraient d’aucune logistique ? Le pouvoir socialiste s’appuie sur la revendication officielle de Daech qui se limite à évoquer, quinze heures après les faits, seulement « huit frères » engagés dans l’opération et qui ont été opportunément tous tués (on évoque parfois un jihadiste capturé par la police mais sans plus de précisions).

Des sources (non-officielles) affirment pourtant que des opérations et une traque seraient en cours, impliquant le GIGN, la sous-direction antiterroriste (DGSI) et le RAID. Vers 13 heures (heure de Paris), des coups de feu auraient été entendus à Bagnolet (Seine-Saint-Denis). Des hélicoptères ont survolé la Porte de Bagnolet. Finalement, il s’agissait d’une fausse alerte : des pétards avaient été lancés à l’occasion d’un mariage… Dans les Yvelines à la même heure, une voiture a forcé un barrage, créant une certaine confusion sur le terrain. La police traque une voiture de type Citroën Berlingo espagnol immatriculé en Espagne (0643CRG) à bord de laquelle se trouvent quatre personnes lourdement armées, barbus, de type Nord-Africains, et qui ont forcé le péage de l’A10 à auteur d’Ablis (Yvelines) en direction de Paris. Le véhicule aurait été aperçu sur Boulogne-Billancourt.

Si on se limite aux 8 corps retrouvés sans vie dans le cadre de cette enquête, soit le pouvoir en place est d’une naïveté qui frise la débilité mentale, soit il se trouve dans l’incapacité totale de loger l’ensemble des terroristes et de réagir avec bon sens et efficacité. On a le sentiment que nos forces de l’ordre sont exemplaires, mais attendent des ordres qui ne viennent pas. C’est à la fois dramatique et très inquiétant.

NationsPresse.info, 14 novembre 2015 / Article source.

prox-01.jpg

Vague d’attentats islamistes à Paris...

Vague d’attentats islamistes à Paris et Saint-Denis :
au moins 126 morts, plus de 200 blessés
dont des dizaines graves.

Ce sont six à sept lieux différents qui ont été ciblés hier soir dans la capitale et au Stade de France par plusieurs équipes de jihadistes bien coordonnées, surarmés et décidés à faire un carnage. Le premier bilan de cette soirée meurtrière se chiffre à 126 tués, dont 4 policiers, des dizaines de blessés sont hospitalisés dans un état grave dans les différents centres de l’APHP, notre pays est sidéré.
Dans la foulée, François Hollande a décrété l’Etat d’urgence sur l’ensemble du territoire (une première depuis la guerre d’Algérie) et la fermeture des frontières, avant de se raviser bien vite : on se limitera à un contrôle « renforcé » aux frontières…
L’ensemble des terroristes n’a toujours pas été neutralisé ce matin, une traque est en cours. Il s’agirait de « Français » de retour d’Irak et de Syrie qui ont combattu dans les rangs de Daech.

CTuxSBzUEAEztgy.jpg

Carte des attentats dans Paris

* * * * *

Les Parisiens ont vécu une soirée d’horreur et de folie pure, ponctuée par les sirènes des secours, celles des forces de l’ordre, le bruit assourdissant des hélicoptères qui tournaient au dessus des toits et, dans certains quartiers de la capitale, des barrages de police, des bruits d’explosions, des tirs, la panique. Ambiance surréaliste mais terriblement réelle d’un pays en guerre qui doit faire face à une menace islamiste de très haut niveau avec des dirigeants totalement en dessous de tout.

François Hollande avec quelques-uns de ses ministres et le chef de file des socialistes pour les régionales en Ile-de-France sont apparus au Bataclan en cravates noires, l’air grave, la mine déconfite : le temps de la com’ à défaut de l’action et de la volonté politique…

Sept lieux différents ont été ciblés, dont 6 sur Paris intra muros : Charonne, rue Bichat, rue de la Folie Méricourt, le Bataclan, la rue de la Fontaine au Roi, le Stade de France où se déroulait le match France-Allemagne et où le président de la République a été évacué d’urgence après qu’au moins deux jihadistes se soient fait sauter avec des ceintures d’explosifs. Une fusillade aurait même été entendue aux abords du Stade de France.

CTv4hIbWUAEhBWZ.jpg

L’horreur au Bataclan

Dans la salle de concerts du Bataclan, en plein Paris, le groupe de Metal « Eagles of Death Metal » avait réuni quelque 1500 fans à l’intérieur de la salle. L’équipe jihadiste est arrivée armée jusqu’aux dents, ceinturée d’explosifs. Très vite, ce fut un véritable carnage, le commando islamiste rafalant à la kalachnikov dans la foule ; la BRI (ex-anti-gang) est intervenue dans l’urgence, en pleine panique des otages. La plupart des terroristes ont été éliminés, deux se seraient fait exploser, un dernier aurait été interpellé. L’individu se revendiquerait de Daech.
Selon le journaliste Guillaume Auda, la BRI déplorerait la perte de quatre de ses hommes, des policiers d’élite qui n’ont fait que leur devoir avec courage et honneur. Une information non confirmée.

Dans la salle de spectacle, ils ont tiré en plein dans la foule en criant « Allah Akbar », l’un d’eux reprochant l’intervention française en Syrie, oubliant un peu vite que le ministre socialiste des Affaires étrangères, Laurent Fabius, considérait que les islamo-terroristes font du « bon boulot » dans ce pays meurtri par la guerre.

Des exécutions sommaires auraient été perpétrées par ces terroristes.
« Des cadavres entassés par dizaines, des morceaux de corps, de visages, de cervelle partout », témoigne une personne présente sur le lieu du drame. Certains survivants ont été sauvés grâce à leur présence d’esprit de se protéger derrière les corps de victimes sans vie.

CTvXjE5WsAAJr93.jpg

Dans Paris, alors que les terroristes agissaient encore, après avoir tiré à l’arme lourde contre plusieurs restaurants et terrasses de cafés bondés, une solidarité de fait s’est mise en place, comme au Café Grisette, Boulevard Richard Lenoir, qui a fourni eau, café, soutien moral et abri aux badauds quand ça tirait encore.

XVMc77bd354-8a8c-11e5-a4b7-0685e8719f87.jpg

Jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak

Au total 8 terroristes sont morts : 4 au Bataclan (dont deux se sont fait sauter à l’explosif), 3 au Stade de France (avec leurs ceintures d’explosifs), 1 boulevard Voltaire. Toutes les autres équipes ont réussi à s’échapper, l’ensemble des forces de l’ordre et une partie de l’armée les traquent. D’ailleurs, dès hier soir, 1.500 militaires étaient appelés en renforts sur Paris.

Hier soir, tard, ordre a été donné aux forces de l’ordre de tirer à vue. Paris est désormais quasi bouclé, sous très haute surveillance. Il était temps, mais l’ennemi est déjà dans la place.

Selon l’analyste Jean-Paul Ney, les équipes d’assaut de l’Etat islamique seraient composées de jihadistes « français » de retour de Syrie et d’Irak. Tous fichés S, tous identifiés, la plupart dans la nature. Le numéro vert et les stages de « déradicalisation », mis en place par un gouvernement Valls-Hollande totalement irresponsable et déconnecté des réalités, n’auront donc servi à rien.

NationsPresse.info, 14 novembre 2015.

Article source

------------------

En continu, sur RT en français > Cliquez ici  

france,paris,terrorisme

13/11/2015

« Nous avons une bonne relation avec Azov », explique Muslim...

« Nous avons une bonne relation avec Azov »...

Rencontre avec Muslim, le commandant tchétchène
qui se bat en Ukraine contre les séparatistes pro-Russes

Note de K. : Un article signé Jack Losh, et publié sur Vice « poubelle » News en date du 12 août dernier. M’avait échappé jusqu’à présent, vu que je ne suis pas vraiment client de ce site de merde… mais j’en viens presque à le regretter !?! C'est du petit lait !
Muslim et ses « copains de goûter » de chez Azov et Secteur Droit
Copains comme cochons… les porcs.

* * * * * *

Le fait de savoir que le gâteau au caramel saupoudré de graines de pavot, a été confectionné par un groupe de volontaires locaux, a rassuré le commandant de la milice tchétchène — il ne sera pas empoisonné pendant son goûter. « Pour tout le reste, » dit-il en tendant une petite boîte en carton contenant un compteur Geiger, « Je vérifie le niveau de radioactivité. »

Habillé en tenue de combat, portant fièrement une impressionnante barbe noire et blanche, l'exilé tchétchène est connu sous le nom de guerre de « Muslim ». Nombre de ses anciens partenaires ont été empoisonnés par les services secrets russes, explique-t-il, et il n'est pas près de les rejoindre. Il a survécu jusqu'ici pour atteindre la quarantaine, malgré deux guerres dévastatrices entre la Tchétchénie et la Russie dans les années 1990, une décennie à vivre dans les montagnes du Nord Caucase, et maintenant 12 mois à combattre dans l'Est ukrainien, contre les séparatistes soutenus par le Kremlin.

Muslim est à la tête du bataillon « Sheikh Mansur » — du nom d'un résistant tchétchène du 18e siècle. Il s'agit d'un des trois bataillons islamiques combattant aux côtés des forces de Kiev dans l'est de l'Ukraine. Si des Tchétchènes combattent aux côtés des Ukrainiens, ils se retrouvent face à d'autres Tchétchènes, qui sont eux dans les rangs des séparatistes pro-Russes. 

Les Tchétchènes qui se battent pour l'Ukraine seraient une centaine. De l'autre côté, des centaines de Tchétchènes, fidèles au leader du pays Ramzan Kadyrov, soutiennent les séparatistes pro-Russes. En 2004, le président russe Vladimir Poutine avait fait confiance au jeune chef de guerre Kadyrov pour éteindre l'insurrection locale en Tchétchénie et lui a permis de diriger ce pays détruit par plusieurs conflits.

En plus de combattre des Tchétchènes et pour l'Ukraine, l'unité de Muslim a une autre particularité. Si en Europe occidentale, on associe souvent des groupes d'extrême droite avec l'islamophobie, le bataillon Sheikh Mansur se retrouve allié avec Secteur Droit, un mouvement paramilitaire ukrainien d'extrême-droite. Partout ailleurs, ces deux groupes seraient des ennemis naturels — mais ici, cette alliance est née d'une haine commune d'un ennemi : la Russie. 

(…)

Le groupe du Sheikh Mansur combat aussi aux côtés du Bataillon Azov, un mouvement pro-Kiev, dont les supposées tendances néonazies ont obligé les États-Unis à interdire aux soldats américains d'entraîner et d'armer ses membres (Note de K : mais oui mais oui... et c'est la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu') . Le groupe nie tout projet extrémiste, tout en adoptant le symbole du Wolfsangel (crochet de loup) que l'on a associé avec la période de l'Allemagne nazie (plusieurs unités SS arboraient le symbole). Muslim assure que les milices disparates qui combattent pour l'Ukraine sont totalement unies.

« Nous avons une bonne relation avec les bataillons volontaires, dont Azov », explique Muslim à VICE News. « Nous combattons ensemble sur le front, partageons de nombreuses amitiés, et la religion ou l'appartenance ethnique ne sont jamais des sujets de tension. »
« Il n'y a rien de surprenant dans notre alliance — nous avons un ennemi commun qui se fiche de nous ou de nos territoires. Les hommes de mon unité sont juste des musulmans et n'ont aucun intérêt à convertir qui que ce soit. »

De tous les bataillons volontaires qui combattent avec les Ukrainiens, Muslim est sans doute celui qui parle le plus affectueusement de Secteur Droit. « Ils existent en dehors du système et combattent seulement pour leur territoire, pas pour l'argent, » ajoute Muslim. « Nous partageons cette vision. Ceux qui sont dans le système sont un peu différents de nous. En ce qui nous concerne, les combattants de Secteur Droit peuvent faire ce qu'ils veulent — nous sommes seulement ici pour nous battre contre la Russie. »

Dans le baraquement que Sheikh Mansur et Secteur Droit partagent, qui se trouve à une heure de route de la ligne de front, un combattant torse nu de Secteur Droit se prélasse au soleil derrière un voile couleur camouflage. Il partage la vision de Muslim quant à l'étonnante alliance, mais est un peu moins loquace sur la question. « Tchétchènes, Secteur Droit, » a commencé Vyjak en frappant son poing droit dans la paume de la main gauche, « Poutinekaput. »

Sergiy Vasilovich, le chef de la branche politique de Secteur Droit au Donbass, a développé un argumentaire identique, interrogé sur la relation de son groupe avec Sheikh Mansur. « Les bataillons volontaires sont comme un poing serré, totalement uni dans le patriotisme », nous dit-il. 

(…)

Après sept années en exil, apparemment entre la France et l'Ukraine, Muslim a rencontré en 2014 un autre rebelle tchétchène, le Général Isa Munayev — un personnage de premier plan chez les Tchétchènes qui combattent en Ukraine. Munayev a été blessé en 2006 lors d'une attaque contre-insurrectionnelle en Tchétchénie. II avait été emmené en Europe illégalement pour être soigné. Le Danemark lui avait alors accordé l'asile politique, où il a dirigé un groupe militant pour l'indépendance de la Tchétchénie — jusqu'à ce que les événements en Ukraine se présentent comme l'opportunité parfaite pour continuer son combat contre la Russie.

Il s'est rendu en Ukraine au printemps dernier, où il a été reçu par des officiers militaires de Kiev, qui cherchaient absolument des combattants expérimentés. Armé et équipé, Munayev a formé le bataillon Dzhokhar Dudayev — du nom d'un ancien président tchétchène et ancien leader de l'indépendance. Nombre de ses compatriotes faisaient partie du groupe armé — dont Muslim, qui restera à ses côtés quelques mois avant d'aller former le Sheikh Mansur — ainsi que des Azéris, des Géorgiens, des Ingouches et des Tatars.

En février, Munayev a été tué alors qu'il combattait aux côtés des forces ukrainiennes lors de la terrible bataille pour la ville de Debaltseve (Note de K : Debaltsevo en fait... vu qu'on parle Russe, dans cette ville, et non l'espèce de patois Ukrainien qui se veut une langue ! Mais bon, le journaliste est de chez Vice News...). Adam Osmayev, un Tchétchène anglophone (Note de K. : "anglophone" !?! Sans déconner... quelle surprise ! Etudes à Langley ?), l'a depuis remplacé, et Muslim a continué à opérer avec son propre bataillon. 

(…)

Dans ses rangs, le bataillon Sheikh Mansur compte des hommes qui ont combattu avec les forces anti-gouvernementales en Syrie. « Ils sont partis pour venir ici, parce que c'était devenu compliqué là-bas, » précise Muslim. 

(...) 

Jack Losh / Article source

meet-muslim-the-chechen-commander-battling-russia-with-some-unlikely-allies-body-image-1439296924.jpgGoûter et thé avec « Muslim » (Photo par Jack Crosbie)
Note de K : Ohlala, dis donc… le "p’tit goûter" avec Muslim…
C’est vraiment trop mignon ! Trooooop mignon !  

---------------------------------------

Vice News est une chaîne d'information mondiale qui diffuse des documentaires sur des sujets d'actualité. Elle a été fondée en décembre 2013 en tant que filiale de la société Vice Media. Vice News diffuse des reportages sur différents sujets, y compris des événements non couverts par d'autres sources d'information. Vice News et sa société mère sont basés à New York, bien qu'elle ait beaucoup de bureaux dans le monde entier. (Wikipedia)

--------------------------------------

A lire également !
(Cliquez sur le titre en bleu ci-dessous) 

Chechens and other islamists fight for kiev

ukraine,donbass,muslim,sheikh mansur,secteur droit,praviy sektor,pravy sektor,bataillon azov,tchétchènes,terrorisme,islamisme radical,azov,union des salopards,isa munayev,dzhokhar dudayev,syrie,daesh,ignobles,ignobles parmi les ignobles
In the mosque; the main Chechen leaders in Ukraine,
Adam Osmaev, second from left, and beside « Muslim » Cheberloevky.

ukraine,donbass,muslim,sheikh mansur,secteur droit,praviy sektor,pravy sektor,bataillon azov,tchétchènes,terrorisme,islamisme radical,azov,union des salopards,isa munayev,dzhokhar dudayev,syrie,daesh,ignobles,ignobles parmi les ignobles
« Muslim » Cheberloevky and
Dmytro Yarosh
 
finished eating in any area in the front of Shirokino

ukraine,donbass,muslim,sheikh mansur,secteur droit,praviy sektor,pravy sektor,bataillon azov,tchétchènes,terrorisme,islamisme radical,azov,union des salopards,isa munayev,dzhokhar dudayev,syrie,daesh,ignobles,ignobles parmi les ignobles
Dmytro Yarosh ( Note de K : chef du Secteur Droit / Pravy Sektor) 
and « Muslim » Cheberloevky 
posing with Sheikh Mansour Battalion members...

-----------------------

ukraine,donbass,muslim,sheikh mansur,secteur droit,praviy sektor,pravy sektor,bataillon azov,tchétchènes,terrorisme,islamisme radical,azov,union des salopards,isa munayev,dzhokhar dudayev,syrie,daesh,ignobles,ignobles parmi les ignobles
Les copains de chambrée du bataillon Azov.
Mislamthropiques...

The forced collective suicide of European nations (sous-titres en français)

Merci qui ? 

Les Calaisiens en état de guérilla...

Habitants de Calais à RT :
« La vie se dégrade de jour en jour »

Sur fond de heurts qui font rage entre CRS et migrants à proximité de la jungle de Calais, l’équipe de RT est arrivée sur les lieux afin de s’entretenir avec les Calaisiens qui se trouvent aujourd’hui « en état de guérilla ».

Après trois nuits d’affrontements dans le camp des réfugiés à Calais, les riverains semblent s’être retournés contre les clandestins. Une poignée de gens s’est réunie dans la nuit de mercredi à jeudi pour « soutenir les forces de police et la population calaisienne, qui subit énormément de dégâts ».

Les manifestants brandissaient des pancartes où l’on pouvait lire « Soutien aux forces de l’ordre, aux pompiers, aux agents hospitaliers », en appelant au déploiement de l’armée qui assurera leur sécurité. « Si ça continue, s’ils ne veulent rien faire, s’ils ne nous sécurisent pas, on sera obligé de sortir nos armes », a prévenu un des manifestants.

En effet, la maire de la ville Natacha Bouchart (membre du mouvement Les Républicains) a demandé il y a deux jours que l’armée y soit envoyée. « Je demande et je refais la demande du renfort de l’armée […] celle que l'on voit sur les quais des gares pour faire la sécurité. Elle doit venir renforcer les forces de l'ordre et apaiser la population », a-t-elle expliqué.     


Entre temps, les habitants de Calais considèrent que les autorités sont passives. Les dommages causées lors des échauffourées sont considérables, et « la vie à Calais se dégrade de jour en jour », comme l’a indiqué à RT, l’habitant Johnny Piétin.
« La dernière fois ils sont passés avec les militants de "No Border", qui les entraînent à faire des bêtises. Ils ont retourné des voitures, dans les rues ils se sont permis de taper sur les voitures à coup de sabre. Ils ont cassé les vitres. »
De plus, l’habitant a nommé d’autres cas de délinquance non médiatisés comme : les vols cachés, les magasins qui perdent des chiffres d’affaires énormes et les «a gressions physiques qu’on peut subir constamment ». En conclusion, il a jugé la situation d’aujourd’hui d’« état de guérilla ».

Les familles qui y habitent ont été un peu réticentes à parler des attaques lancées contre leurs maisons. Mais Aurélie Langlois, du collectif « les Calaisiens en colère », a raconté une des histoires à l’équipe de RT : « Il y avait beaucoup de bruit, des pierres ont été lancées sur les murs et sur les voitures. Une famille a commencé à se poser des questions, à savoir, ce qui était en train de se dérouler. Les enfants pleuraient », a-t-elle confié à RT.
D’après Aurélie, des migrants ont cassé des bornes électriques, après quoi un homme est sorti et s’est fait encercler. Ensuite, les clandestins ont commencé à le menacer et la dame a voulu filmer la scène, mais les réfugiés lui ont fait un signe de mort. « Ils lui ont dit : tu es morte si tu filmes et idem si tu appelles la police ».
De plus, l’activiste a souligné la difficulté à laquelle font face ses enfants à cause de la présence de réfugiés. L’un d’eux ne sort pas de la maison par peur de tomber nez à nez avec des migrants qui pourraient lui faire du mal, même s’« ils ne sont pas tous agressifs » (...). 

Près de 6500 personnes habitent en ce moment dans la "jungle" de Calais. Non loin de là, se trouve le dispositif de la police qui surveille à distance de manière attentive les réfugiés, la situation risquant de dégénérer à chaque instant.

RT en français, 12 nov 2015
https://francais.rt.com/international/10148-calais-migrants-degradation

CALAIS-01.jpgcalais,migrants,immigration clandestine,guérilla,monde en perdition

12/11/2015

Des membres de Daesh ont transité de Syrie en Ukraine.

Des membres de Daesh
ont transité de Syrie en Ukraine.
RÉSEAU VOLTAIRE | 1er Novembre 2015.

Comme annoncé le 1er août 2015, la Brigade internationale islamique a été constituée par la Turquie et l’Ukraine pour déstabiliser la Russie en Crimée [1]. Durant les trois derniers mois, une base a été installée par l’Ukraine à Kherson, face à la Crimée. La Turquie y a organisé le transfert de plusieurs centaines de combattants de Daesh de Syrie en Ukraine.

Cependant, contrairement à ce que nous avancions en août, les jihadistes n’ont pas été acheminés en Crimée, mais au Donbass. Les bataillons Cheikh Manour et Djokhar Doudaïev, dont le New York Times avait révélé l’existence en juillet et qui avaient été presque immédiatement dissous ont été reformés [2].

Des membres des services secrets géorgiens, qui avaient joué un rôle central lors du développement de Daesh durant le second semestre 2014 et avaient installé un camp de formation de jihadistes en Géorgie, ont été déployés en Ukraine. Ce sont eux qui assurent la liaison entre les deux champs de bataille d’Ukraine et du Proche-Orient.

Par ailleurs, le procureur général de Russie a ouvert une instruction, le 6 octobre 2015, à la suite d’un enregistrement d’une conversation entre :  

- le gouverneur d’Odessa (et ancien président de Géorgie en fuite) Mikheil Saakachvili

- son ancien ministre de la Défense en Géorgie (également en fuite malgré la protection de la France), David Kezerachvili (qui loua en 2008 deux aéroports militaires à Israël pour attaquer l’Iran) 

- le député ukrainien Anton Gerashchenko

- et Ramzan Machelikashvili (cousin de Ruslan Machelikashvili, spécialiste géorgien de la lutte anti-aérienne, incorporé au sein de Daesh), 

Selon ce document, les jihadistes auraient reçu instruction du sénateur John McCain d’organiser avec la CIA, depuis l’Ukraine, la destruction d’un avion US en Syrie et d’attribuer l’opération aux forces russes pour créer un conflit entre les deux pays [3].
L’opération a bien sûr été annulée après l’ouverture de l’enquête.

http://www.voltairenet.org/article189139.html

* * * * * * * 

[1] « L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade internationale islamique contre la Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 août 2015.

[2] « Des bataillons islamistes contre Donetsk et Lougansk », Réseau Voltaire, 8 juillet 2015.

[3] « Top Ukraine official backs idea ’to help ISIS take revenge on Russian soldiers in Syria’ », Russia Today, October 7, 2015. Décryptage de l’enregistrement : « Саакашвили и Маккейн хотят столкнут США и РФ в Сирии ! Грузинские зенитчики уже в Латакии, ПЗРК Аваков доставил из Украины », Wikileaks Center, 21 octobre 2015.

arton189139-b47f3.jpgMikheil Saakachvili et John McCain
à l’époque de leurs activités subversives en Géorgie.

05/11/2015

Le soldat traqué

Christian MALBOSSE : « Le soldat traqué »

Une section de Waffen S.S. français reflue vers les lignes américaines, à la fin de la guerre. Le sous-officier qui les commande abandonne : "Tout est perdu ! Pas question de se rendre aux Russes, je ne vous conseille pas de rentrer chez vous. Séparons-nous, chacun pour soi !"…
Christian, le héros du livre, va survivre pendant trois ans, caché dans les forêts allemandes. Pour manger, il accepte des besognes aussi insolites qu'héroïques : récupérer des instruments agricoles au milieu de champs de mines, faire passer la frontière des lignes russes à une vieille femme qui veut revoir son fils…
Il devient "Robinson de terre ferme" : les forêts sont pleines d'obus, de mines, de grenades. Christian prépare des pièges explosifs pour se procurer la viande des sangliers et des cerfs qui n'ont pas été chassés depuis des années. Il retrouve un vieux fusil de guerre, qu'il répare et qui lui rendra la chasse plus aisée. On se prend à avoir faim, froid, avec lui, à dormir à ses côtés sous une raide toile de tente, au milieu d'un fourré…
Mais le tatouage du groupe sanguin qu’il porte sous le bras, comme tous les soldats d’élite de l’armée allemande, le rend vulnérable. Il est arrêté, s’évade, est repris.
Un extraordinaire récit, et un splendide livre d'homme.

Edition de la Pensée Moderne / Collection "Le poing de la vie", 1971.
333 pages – 15 x 22,5 cms – 450 grammes.

Etat = Quatre fines nervures au dos (sur la "tranche", si vous préférez) de l’ouvrage, quelques petites marques de lecture(s) et manipulation(s), ainsi que des traces d’humidité sur quatrième et au bas des 20 dernières pages… mais rien de grave, elles se remarquent à peine et ne nuisent aucunement à la lecture.
Enfin bref… il est d’occasion, mais c’est tout de même une excellente occasion, qui ne demande qu’à vous procurer quelques longues heures de (passionnante) lecture.
Et puis c’est (aussi) l’occasion de ce procurer ce livre pour seulement…

>>> 5 €uros. / Vendu !

( Voilà un livre qui n'est resté disponible que 30 mns ! C'est une sorte de record !?! ) 

Ann.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_01.jpgAnn.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_02.jpgAnn.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_03.jpg