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16/11/2015

Attentats de Paris et de Saint-Denis / Syrie.

Attentats de Paris et de Saint-Denis : l’enquête progresse, au moins une équipe jihadiste toujours dans la nature.

Chaque jour, les éléments que nous arrivons à glaner et à recouper confirment ce que nous affirmons depuis le début : les équipes opérationnelles qui ont réussi ces attentats sans précédent sur notre sol sont le fait de plusieurs groupes opératifs composés de « Français » ou de francophones issus des banlieues de l’islam, délinquants multirécidivistes radicalisés, ayant été formés à l’étranger dans les rangs jihadistes (al-Qaïda ou Daech), puis revenus clandestinement sur notre sol au nez et à la barbe des « services ».
Ces équipes étaient secondées par des opératifs étrangers infiltrés parmi les « migrants » qui leur ont fourni tous les moyens pour agir avec une efficacité redoutable. Nous affirmons de surcroît que plusieurs de ces équipes de tueurs sont encore dans la nature.

L’enquête avance, lentement. Il est évident que les autorités ne disent pas tout. Pour, bien entendu, protéger le plus possible les investigations et se prémunir de fuites pouvant profiter aux tueurs, mais aussi parce que le pouvoir en place a décidé de taire certaines choses. Au plus au sommet de l’Etat, on était au fait que des attentats de cette ampleur pouvaient se produire très bientôt. Mais on a préféré laisser faire, par bien-pensance et par lâcheté. Car on n’ose pas imaginer une quelconque duplicité afin de forcer une opinion à accepter d’entrer en guerre en Syrie contre l’intervention russe, justement au moment où cette dernière vient d’affaiblir considérablement les bandes jihadistes…
(…)
Depuis des mois, le pouvoir en place avait été prévenu que l’Etat islamique préparait des attentats d’une ampleur inédite sur le territoire français et visait même des lieux hautement fréquentés. Depuis des semaines, ce même pouvoir présidé par François Hollande était parfaitement informé, de la part notamment des services britanniques et de la sécurité d’Etat russe, de l’infiltration de terroristes islamistes parmi la vague d’immigrés clandestins en provenance du Proche et du Moyen Orient.
Nous savons aussi par le journal serbe
 Blic que la BIA (service de sécurité serbe) avaient averti Paris de l’arrivée de jihadistes par les Balkans, fondus dans la masse des « migrants ». A l’évidence, malgré ces avertissements fondés, rien ne semble avoir été fait pour éviter la dramatique soirée du 13 novembre. Pire : comme il abandonna ses compatriotes à leur propre sort dans les minutes qui suivirent l’attentat au Stade de France, François Hollande a laissé depuis des mois (si ce n’est des années) ses concitoyens totalement démunis face à la menace islamiste. La lâcheté est un trait de caractère majeur chez le locataire de l’Élysée et elle est particulièrement bien ancrée au sein des élites qui nous dirigent, qu’elles soient de droite ou de gauche. Et il n’y a que les naïfs, les sots et les crapules à s’en étonner ou à refuser de voir les choses en face.

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CT1GiYAUsAAv6Z-.jpgLe moment où Hollande apprend par sa sécurité que sa politique mène au chaos…
Dans quelques secondes, il fuira par hélicoptère le Stade de France,
laissant ses concitoyens à leur sort… La lâcheté, c’est maintenant !

(…)
Sept personnes de l’entourage familial d’Ismaël Omar Mostefaï sont en garde à vue. Son père et son frère de 34 ans ont été placés en garde à vue dès samedi en début de soirée. Les enquêteurs de la police judiciaire soupçonnent un des corps des islamistes retrouvé déchiqueté au Bataclan d’être celui d’un autre frère de Mostefaï. Plusieurs perquisitions ont eu lieu à Chartres (à La Madeleine) et à Courcouronnes dans l’Essonne ces dernières heures. Selon les informations du Monde, Mostefaï s’est absenté quelques mois de La Madeleine pour un séjour en Syrie. Une trace atteste de son passage par la Turquie à l’automne 2013, le régime islamiste d’Ankara qui soutient le terrorisme en Syrie, a donc joué un rôle essentiel dans ces attentats du 13 novembre. Puis les services français de renseignement ne retrouvent sa trace qu’au printemps 2014, en observant un petit groupe de salafistes à Chartres, à la mosquée de Lucé exactement. Il était alors considéré comme un simple membre d’un groupe salafiste que le pouvoir en place ne semble pas avoir jugé nécessaire de neutraliser.

(…)
Il y a quelques mois, nous apprenions que des explosifs, justement du TATP (ou peroxyde d’acétone) comme lors des explosions dans Paris et au Stade de France, avaient été dérobés sur un site militaire français. Depuis, plus de nouvelles de l’enquête concernant ce vol…
Plusieurs équipes de jihadistes opèrent en toute impunité, semble-t-il, sur notre sol.

D’après le général Aleksandr Vassilievitch Bortnikov, directeur du FSB de Russie (sécurité intérieure russe), « les attentats de Paris de cette ampleur sont un échec total des renseignements et du ministère de l’Intérieur français : nous avons prévenus à plusieurs reprises nos collègues européens, dont la France, que des éléments terroristes s’infiltraient sous couverture de ‘réfugiés syriens’. Nos services ont donné des éléments qu’on avait de nos informateurs. Mais apparemment, ils n’ont pas voulu en tenir compte ! » a-t-il affirmé hier sur Pervy Kanal.
Mais bon, comme depuis le 26 juillet 2014, l’Union européenne l’a interdit de visa (dans le cadre des sanctions occidentales à l’encontre de la Fédération de Russie concernant la crise ukrainienne), les avertissements fondés du général Bortnikov ont certainement été considérés avec le plus grand mépris par les plus hauts sommets de l’Etat français.

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Salopard.jpgEncore un jihadiste engagé en Syrie, puis invité en Europe.
Si nous avons réussi à nous procurer ce type de document,
on imagine bien les renseignements dont disposent nos « services » d’Etat…
Et ils ne font rien pour empêcher de nouveaux attentats ?…

 * * * * * 

Selon la presse serbe, un des auteurs des attentats de Paris et de Saint-Denis serait un certain Ahmed Almuhamed, 25 ans, dont l’itinéraire migratoire passé par la Serbie le 7 octobre, après avoir séjourné en Grèce dès le 3 octobre, puis aurait pris la direction de la France via la Croatie, la Slovénie, l’Autriche et l’Allemagne.

Il est évident que ceux qui ont frappé à Paris ne sont pas des amateurs : ils ont opéré comme ils le font sur les terrains de guerre en Irak et en Syrie. Nous sommes en présence de plusieurs équipes composées de francophones ou de « Français » issus des banlieues de l’islam, petites frappes radicalisées, puis formées et entrainées dans les rangs jihadistes à l’étranger, secondés par un encadrement opérationnel composé d’étrangers infiltrés dans notre pays grâce aux flux migratoires que l’Union européenne refuse de juguler par idéologie mondialiste.

Mais la caste politico-médiatique, responsable au premier degré de cette situation alarmante, ne déroge pas à son arrogance habituelle et à son outrecuidance nauséeuse, en niant ses responsabilités évidentes. Médiatiquement, nous nous approchons de la phase où des proches d’Ismaïl Mostefaï vont nous dire qu’il était « gentil », « souriant » et qu’il disait « bonjour »…
Et pendant ce temps-là, Hollande négocie des contrats d’armement avec l’Arabie Saoudite qui soutient l’Etat islamique et al-Qaïda en Syrie et en Irak.

NationsPresse.info, 15 novembre 2015.
Pour lire l’intégralité de l’article, regarder les vidéos, etc > cliquez ici.

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Un homme d'État s'adresse à François Hollande…



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Syrie : débandade jihadiste au Sud d’Alep ! 

Les attentats de Paris au bilan catastrophiquement meurtrier interviennent à un moment où les forces islamistes, toutes tendances confondues, semblent perdre progressivement pied sur l’ensemble des parties du front syrien des suites de l’offensive loyaliste très largement appuyée par la Russie. A l’Ouest de Raqqah, capitale du califat, la base aérienne de Kuweires près d’Alep est désencerclée et le front de l’EI enfoncé et à l’Est de Raqqah la route principale menant à l’Irak est coupée.
On a l’impression que, finalement, ceux qui ont commandité ces carnages cherchent à forcer la main à une opinion publique française afin que cette dernière accepte une intervention militaire massive en Syrie, non pas pour détruire Daech, al-Nosra ou encore le Jund al-Aqsa, mais pour en finir avec le régime laïc de Bachar al-Assad, au risque de se retrouver face à un affrontement direct avec la Russie. Ce sentiment désagréable est conforté par l’attitude autiste maintenue par le locataire de l’Elysée et son gouvernement envers le régime syrien, en dépit des évidences, des derniers événements et du simple bon sens.

En réponse aux attentats de Paris dans la soirée du 13 novembre, qui ont fait au moins 132 morts, des centaines de blessés dont une quarantaine sont encore en réanimation, l’aviation française a bombardé ce soir le fief du califat islamique à Raqqah. Un « bombardement massif » selon la com’ du ministère de la Défense. En tout 20 bombes guidées ont été larguées par 10 appareils sur des objectifs de l’Etat islamique. C’est finalement assez peu et pas très « massif » pour un pays qui se prétend être une puissance militaire importante dans le monde. Il reste à en connaître les effets au sol. Et pourquoi cela n’a-t-il pas été réalisé plus tôt ? Et va-t-on enfin cesser de soutenir ceux qui sont derrière Daech ?

(…)

Jacques Frère, pour NationsPresse.info, 15 novembre 2015.

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Lire également :

Attentats de Paris et du Stade de France :
la piste des « Français » fichés « S » s’ajoute à celle de Molenbeek.

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Et n'oubliez pas, pour suivre la (vraie) guerre contre Daesh...

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 Cliquez sur la bannière 

13/11/2015

« Nous avons une bonne relation avec Azov », explique Muslim...

« Nous avons une bonne relation avec Azov »...

Rencontre avec Muslim, le commandant tchétchène
qui se bat en Ukraine contre les séparatistes pro-Russes

Note de K. : Un article signé Jack Losh, et publié sur Vice « poubelle » News en date du 12 août dernier. M’avait échappé jusqu’à présent, vu que je ne suis pas vraiment client de ce site de merde… mais j’en viens presque à le regretter !?! C'est du petit lait !
Muslim et ses « copains de goûter » de chez Azov et Secteur Droit
Copains comme cochons… les porcs.

* * * * * *

Le fait de savoir que le gâteau au caramel saupoudré de graines de pavot, a été confectionné par un groupe de volontaires locaux, a rassuré le commandant de la milice tchétchène — il ne sera pas empoisonné pendant son goûter. « Pour tout le reste, » dit-il en tendant une petite boîte en carton contenant un compteur Geiger, « Je vérifie le niveau de radioactivité. »

Habillé en tenue de combat, portant fièrement une impressionnante barbe noire et blanche, l'exilé tchétchène est connu sous le nom de guerre de « Muslim ». Nombre de ses anciens partenaires ont été empoisonnés par les services secrets russes, explique-t-il, et il n'est pas près de les rejoindre. Il a survécu jusqu'ici pour atteindre la quarantaine, malgré deux guerres dévastatrices entre la Tchétchénie et la Russie dans les années 1990, une décennie à vivre dans les montagnes du Nord Caucase, et maintenant 12 mois à combattre dans l'Est ukrainien, contre les séparatistes soutenus par le Kremlin.

Muslim est à la tête du bataillon « Sheikh Mansur » — du nom d'un résistant tchétchène du 18e siècle. Il s'agit d'un des trois bataillons islamiques combattant aux côtés des forces de Kiev dans l'est de l'Ukraine. Si des Tchétchènes combattent aux côtés des Ukrainiens, ils se retrouvent face à d'autres Tchétchènes, qui sont eux dans les rangs des séparatistes pro-Russes. 

Les Tchétchènes qui se battent pour l'Ukraine seraient une centaine. De l'autre côté, des centaines de Tchétchènes, fidèles au leader du pays Ramzan Kadyrov, soutiennent les séparatistes pro-Russes. En 2004, le président russe Vladimir Poutine avait fait confiance au jeune chef de guerre Kadyrov pour éteindre l'insurrection locale en Tchétchénie et lui a permis de diriger ce pays détruit par plusieurs conflits.

En plus de combattre des Tchétchènes et pour l'Ukraine, l'unité de Muslim a une autre particularité. Si en Europe occidentale, on associe souvent des groupes d'extrême droite avec l'islamophobie, le bataillon Sheikh Mansur se retrouve allié avec Secteur Droit, un mouvement paramilitaire ukrainien d'extrême-droite. Partout ailleurs, ces deux groupes seraient des ennemis naturels — mais ici, cette alliance est née d'une haine commune d'un ennemi : la Russie. 

(…)

Le groupe du Sheikh Mansur combat aussi aux côtés du Bataillon Azov, un mouvement pro-Kiev, dont les supposées tendances néonazies ont obligé les États-Unis à interdire aux soldats américains d'entraîner et d'armer ses membres (Note de K : mais oui mais oui... et c'est la marmotte qui met le chocolat dans le papier alu') . Le groupe nie tout projet extrémiste, tout en adoptant le symbole du Wolfsangel (crochet de loup) que l'on a associé avec la période de l'Allemagne nazie (plusieurs unités SS arboraient le symbole). Muslim assure que les milices disparates qui combattent pour l'Ukraine sont totalement unies.

« Nous avons une bonne relation avec les bataillons volontaires, dont Azov », explique Muslim à VICE News. « Nous combattons ensemble sur le front, partageons de nombreuses amitiés, et la religion ou l'appartenance ethnique ne sont jamais des sujets de tension. »
« Il n'y a rien de surprenant dans notre alliance — nous avons un ennemi commun qui se fiche de nous ou de nos territoires. Les hommes de mon unité sont juste des musulmans et n'ont aucun intérêt à convertir qui que ce soit. »

De tous les bataillons volontaires qui combattent avec les Ukrainiens, Muslim est sans doute celui qui parle le plus affectueusement de Secteur Droit. « Ils existent en dehors du système et combattent seulement pour leur territoire, pas pour l'argent, » ajoute Muslim. « Nous partageons cette vision. Ceux qui sont dans le système sont un peu différents de nous. En ce qui nous concerne, les combattants de Secteur Droit peuvent faire ce qu'ils veulent — nous sommes seulement ici pour nous battre contre la Russie. »

Dans le baraquement que Sheikh Mansur et Secteur Droit partagent, qui se trouve à une heure de route de la ligne de front, un combattant torse nu de Secteur Droit se prélasse au soleil derrière un voile couleur camouflage. Il partage la vision de Muslim quant à l'étonnante alliance, mais est un peu moins loquace sur la question. « Tchétchènes, Secteur Droit, » a commencé Vyjak en frappant son poing droit dans la paume de la main gauche, « Poutinekaput. »

Sergiy Vasilovich, le chef de la branche politique de Secteur Droit au Donbass, a développé un argumentaire identique, interrogé sur la relation de son groupe avec Sheikh Mansur. « Les bataillons volontaires sont comme un poing serré, totalement uni dans le patriotisme », nous dit-il. 

(…)

Après sept années en exil, apparemment entre la France et l'Ukraine, Muslim a rencontré en 2014 un autre rebelle tchétchène, le Général Isa Munayev — un personnage de premier plan chez les Tchétchènes qui combattent en Ukraine. Munayev a été blessé en 2006 lors d'une attaque contre-insurrectionnelle en Tchétchénie. II avait été emmené en Europe illégalement pour être soigné. Le Danemark lui avait alors accordé l'asile politique, où il a dirigé un groupe militant pour l'indépendance de la Tchétchénie — jusqu'à ce que les événements en Ukraine se présentent comme l'opportunité parfaite pour continuer son combat contre la Russie.

Il s'est rendu en Ukraine au printemps dernier, où il a été reçu par des officiers militaires de Kiev, qui cherchaient absolument des combattants expérimentés. Armé et équipé, Munayev a formé le bataillon Dzhokhar Dudayev — du nom d'un ancien président tchétchène et ancien leader de l'indépendance. Nombre de ses compatriotes faisaient partie du groupe armé — dont Muslim, qui restera à ses côtés quelques mois avant d'aller former le Sheikh Mansur — ainsi que des Azéris, des Géorgiens, des Ingouches et des Tatars.

En février, Munayev a été tué alors qu'il combattait aux côtés des forces ukrainiennes lors de la terrible bataille pour la ville de Debaltseve (Note de K : Debaltsevo en fait... vu qu'on parle Russe, dans cette ville, et non l'espèce de patois Ukrainien qui se veut une langue ! Mais bon, le journaliste est de chez Vice News...). Adam Osmayev, un Tchétchène anglophone (Note de K. : "anglophone" !?! Sans déconner... quelle surprise ! Etudes à Langley ?), l'a depuis remplacé, et Muslim a continué à opérer avec son propre bataillon. 

(…)

Dans ses rangs, le bataillon Sheikh Mansur compte des hommes qui ont combattu avec les forces anti-gouvernementales en Syrie. « Ils sont partis pour venir ici, parce que c'était devenu compliqué là-bas, » précise Muslim. 

(...) 

Jack Losh / Article source

meet-muslim-the-chechen-commander-battling-russia-with-some-unlikely-allies-body-image-1439296924.jpgGoûter et thé avec « Muslim » (Photo par Jack Crosbie)
Note de K : Ohlala, dis donc… le "p’tit goûter" avec Muslim…
C’est vraiment trop mignon ! Trooooop mignon !  

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Vice News est une chaîne d'information mondiale qui diffuse des documentaires sur des sujets d'actualité. Elle a été fondée en décembre 2013 en tant que filiale de la société Vice Media. Vice News diffuse des reportages sur différents sujets, y compris des événements non couverts par d'autres sources d'information. Vice News et sa société mère sont basés à New York, bien qu'elle ait beaucoup de bureaux dans le monde entier. (Wikipedia)

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A lire également !
(Cliquez sur le titre en bleu ci-dessous) 

Chechens and other islamists fight for kiev

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In the mosque; the main Chechen leaders in Ukraine,
Adam Osmaev, second from left, and beside « Muslim » Cheberloevky.

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« Muslim » Cheberloevky and
Dmytro Yarosh
 
finished eating in any area in the front of Shirokino

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Dmytro Yarosh ( Note de K : chef du Secteur Droit / Pravy Sektor) 
and « Muslim » Cheberloevky 
posing with Sheikh Mansour Battalion members...

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Les copains de chambrée du bataillon Azov.
Mislamthropiques...

The forced collective suicide of European nations (sous-titres en français)

Merci qui ? 

Les Calaisiens en état de guérilla...

Habitants de Calais à RT :
« La vie se dégrade de jour en jour »

Sur fond de heurts qui font rage entre CRS et migrants à proximité de la jungle de Calais, l’équipe de RT est arrivée sur les lieux afin de s’entretenir avec les Calaisiens qui se trouvent aujourd’hui « en état de guérilla ».

Après trois nuits d’affrontements dans le camp des réfugiés à Calais, les riverains semblent s’être retournés contre les clandestins. Une poignée de gens s’est réunie dans la nuit de mercredi à jeudi pour « soutenir les forces de police et la population calaisienne, qui subit énormément de dégâts ».

Les manifestants brandissaient des pancartes où l’on pouvait lire « Soutien aux forces de l’ordre, aux pompiers, aux agents hospitaliers », en appelant au déploiement de l’armée qui assurera leur sécurité. « Si ça continue, s’ils ne veulent rien faire, s’ils ne nous sécurisent pas, on sera obligé de sortir nos armes », a prévenu un des manifestants.

En effet, la maire de la ville Natacha Bouchart (membre du mouvement Les Républicains) a demandé il y a deux jours que l’armée y soit envoyée. « Je demande et je refais la demande du renfort de l’armée […] celle que l'on voit sur les quais des gares pour faire la sécurité. Elle doit venir renforcer les forces de l'ordre et apaiser la population », a-t-elle expliqué.     


Entre temps, les habitants de Calais considèrent que les autorités sont passives. Les dommages causées lors des échauffourées sont considérables, et « la vie à Calais se dégrade de jour en jour », comme l’a indiqué à RT, l’habitant Johnny Piétin.
« La dernière fois ils sont passés avec les militants de "No Border", qui les entraînent à faire des bêtises. Ils ont retourné des voitures, dans les rues ils se sont permis de taper sur les voitures à coup de sabre. Ils ont cassé les vitres. »
De plus, l’habitant a nommé d’autres cas de délinquance non médiatisés comme : les vols cachés, les magasins qui perdent des chiffres d’affaires énormes et les «a gressions physiques qu’on peut subir constamment ». En conclusion, il a jugé la situation d’aujourd’hui d’« état de guérilla ».

Les familles qui y habitent ont été un peu réticentes à parler des attaques lancées contre leurs maisons. Mais Aurélie Langlois, du collectif « les Calaisiens en colère », a raconté une des histoires à l’équipe de RT : « Il y avait beaucoup de bruit, des pierres ont été lancées sur les murs et sur les voitures. Une famille a commencé à se poser des questions, à savoir, ce qui était en train de se dérouler. Les enfants pleuraient », a-t-elle confié à RT.
D’après Aurélie, des migrants ont cassé des bornes électriques, après quoi un homme est sorti et s’est fait encercler. Ensuite, les clandestins ont commencé à le menacer et la dame a voulu filmer la scène, mais les réfugiés lui ont fait un signe de mort. « Ils lui ont dit : tu es morte si tu filmes et idem si tu appelles la police ».
De plus, l’activiste a souligné la difficulté à laquelle font face ses enfants à cause de la présence de réfugiés. L’un d’eux ne sort pas de la maison par peur de tomber nez à nez avec des migrants qui pourraient lui faire du mal, même s’« ils ne sont pas tous agressifs » (...). 

Près de 6500 personnes habitent en ce moment dans la "jungle" de Calais. Non loin de là, se trouve le dispositif de la police qui surveille à distance de manière attentive les réfugiés, la situation risquant de dégénérer à chaque instant.

RT en français, 12 nov 2015
https://francais.rt.com/international/10148-calais-migrants-degradation

CALAIS-01.jpgcalais,migrants,immigration clandestine,guérilla,monde en perdition

12/11/2015

Des membres de Daesh ont transité de Syrie en Ukraine.

Des membres de Daesh
ont transité de Syrie en Ukraine.
RÉSEAU VOLTAIRE | 1er Novembre 2015.

Comme annoncé le 1er août 2015, la Brigade internationale islamique a été constituée par la Turquie et l’Ukraine pour déstabiliser la Russie en Crimée [1]. Durant les trois derniers mois, une base a été installée par l’Ukraine à Kherson, face à la Crimée. La Turquie y a organisé le transfert de plusieurs centaines de combattants de Daesh de Syrie en Ukraine.

Cependant, contrairement à ce que nous avancions en août, les jihadistes n’ont pas été acheminés en Crimée, mais au Donbass. Les bataillons Cheikh Manour et Djokhar Doudaïev, dont le New York Times avait révélé l’existence en juillet et qui avaient été presque immédiatement dissous ont été reformés [2].

Des membres des services secrets géorgiens, qui avaient joué un rôle central lors du développement de Daesh durant le second semestre 2014 et avaient installé un camp de formation de jihadistes en Géorgie, ont été déployés en Ukraine. Ce sont eux qui assurent la liaison entre les deux champs de bataille d’Ukraine et du Proche-Orient.

Par ailleurs, le procureur général de Russie a ouvert une instruction, le 6 octobre 2015, à la suite d’un enregistrement d’une conversation entre :  

- le gouverneur d’Odessa (et ancien président de Géorgie en fuite) Mikheil Saakachvili

- son ancien ministre de la Défense en Géorgie (également en fuite malgré la protection de la France), David Kezerachvili (qui loua en 2008 deux aéroports militaires à Israël pour attaquer l’Iran) 

- le député ukrainien Anton Gerashchenko

- et Ramzan Machelikashvili (cousin de Ruslan Machelikashvili, spécialiste géorgien de la lutte anti-aérienne, incorporé au sein de Daesh), 

Selon ce document, les jihadistes auraient reçu instruction du sénateur John McCain d’organiser avec la CIA, depuis l’Ukraine, la destruction d’un avion US en Syrie et d’attribuer l’opération aux forces russes pour créer un conflit entre les deux pays [3].
L’opération a bien sûr été annulée après l’ouverture de l’enquête.

http://www.voltairenet.org/article189139.html

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[1] « L’Ukraine et la Turquie créent une Brigade internationale islamique contre la Russie », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 12 août 2015.

[2] « Des bataillons islamistes contre Donetsk et Lougansk », Réseau Voltaire, 8 juillet 2015.

[3] « Top Ukraine official backs idea ’to help ISIS take revenge on Russian soldiers in Syria’ », Russia Today, October 7, 2015. Décryptage de l’enregistrement : « Саакашвили и Маккейн хотят столкнут США и РФ в Сирии ! Грузинские зенитчики уже в Латакии, ПЗРК Аваков доставил из Украины », Wikileaks Center, 21 octobre 2015.

arton189139-b47f3.jpgMikheil Saakachvili et John McCain
à l’époque de leurs activités subversives en Géorgie.

05/11/2015

Le soldat traqué

Christian MALBOSSE : « Le soldat traqué »

Une section de Waffen S.S. français reflue vers les lignes américaines, à la fin de la guerre. Le sous-officier qui les commande abandonne : "Tout est perdu ! Pas question de se rendre aux Russes, je ne vous conseille pas de rentrer chez vous. Séparons-nous, chacun pour soi !"…
Christian, le héros du livre, va survivre pendant trois ans, caché dans les forêts allemandes. Pour manger, il accepte des besognes aussi insolites qu'héroïques : récupérer des instruments agricoles au milieu de champs de mines, faire passer la frontière des lignes russes à une vieille femme qui veut revoir son fils…
Il devient "Robinson de terre ferme" : les forêts sont pleines d'obus, de mines, de grenades. Christian prépare des pièges explosifs pour se procurer la viande des sangliers et des cerfs qui n'ont pas été chassés depuis des années. Il retrouve un vieux fusil de guerre, qu'il répare et qui lui rendra la chasse plus aisée. On se prend à avoir faim, froid, avec lui, à dormir à ses côtés sous une raide toile de tente, au milieu d'un fourré…
Mais le tatouage du groupe sanguin qu’il porte sous le bras, comme tous les soldats d’élite de l’armée allemande, le rend vulnérable. Il est arrêté, s’évade, est repris.
Un extraordinaire récit, et un splendide livre d'homme.

Edition de la Pensée Moderne / Collection "Le poing de la vie", 1971.
333 pages – 15 x 22,5 cms – 450 grammes.

Etat = Quatre fines nervures au dos (sur la "tranche", si vous préférez) de l’ouvrage, quelques petites marques de lecture(s) et manipulation(s), ainsi que des traces d’humidité sur quatrième et au bas des 20 dernières pages… mais rien de grave, elles se remarquent à peine et ne nuisent aucunement à la lecture.
Enfin bref… il est d’occasion, mais c’est tout de même une excellente occasion, qui ne demande qu’à vous procurer quelques longues heures de (passionnante) lecture.
Et puis c’est (aussi) l’occasion de ce procurer ce livre pour seulement…

>>> 5 €uros. / Vendu !

( Voilà un livre qui n'est resté disponible que 30 mns ! C'est une sorte de record !?! ) 

Ann.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_01.jpgAnn.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_02.jpgAnn.0062_MALBOSSE_Soldat-traqué_Moyen_03.jpg

23/10/2015

L'armée russe affirme sa supériorité..., par Thierry Meyssan.

L’armée russe affirme sa supériorité

en guerre conventionnelle.

 

Par Thierry Meyssan

 

L’intervention militaire de Moscou en Syrie n’a pas simplement retourné le sort des armes et semé la panique parmi les jihadistes. Elle a montré au reste du monde, en situation de guerre réelle, les capacités actuelles de l’armée russe. À la surprise générale, celle-ci dispose d’un système de brouillage capable de rendre l’Alliance atlantique sourde et aveugle. Malgré un budget bien supérieur, les États-Unis viennent de perdre leur domination militaire.

 

Réseau Voltaire / Damas (Syrie) / 19 octobre 2015.

 

http://www.voltairenet.org/article189038.html

 

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L’intervention militaire russe en Syrie, qui devait être un pari risqué de Moscou face aux jihadistes, s’est transformée en une manifestation de puissance qui bouleverse l’équilibre stratégique mondial [1] Conçue au départ pour isoler les groupes armés des États qui les soutiennent en violation des résolutions pertinentes du Conseil de sécurité, puis les détruire, l’opération a conduit à aveugler l’ensemble des acteurs occidentaux et leurs alliés.

 

Stupéfait, le Pentagone est divisé entre ceux qui tentent de minimiser les faits et de trouver une faille dans le dispositif russe et ceux qui, au contraire, considèrent que les États-Unis ont perdu leur supériorité en matière de guerre conventionnelle et qu’il leur faudra de longues années pour la récupérer [2].

 

On se souvient qu’en 2008, lors de la guerre d’Ossétie du Sud, les Forces russes étaient certes parvenues à repousser l’attaque géorgienne, mais avaient surtout montré au monde l’état déplorable de leur matériel. Il y a dix jours encore, l’ancien secrétaire à la Défense Robert Gates et l’ancienne conseillère nationale de sécurité Condoleezza Rice parlaient de l’armée russe comme d’une force de « second rang » [3].

 

Comment donc, la Fédération russe est-elle parvenue à reconstruire son industrie de Défense, à concevoir et à produire des armes de très haute technologie sans que le Pentagone ne mesure l’ampleur du phénomène et qu’il se laisse distancer ? Les Russes ont-ils utilisé toutes leurs nouvelles armes en Syrie ou disposent-ils d’autres merveilles en réserve ? [4]

 

Le désarroi est si grand à Washington que la Maison-Blanche vient d’annuler la visite officielle du Premier ministre Dmitry Medvedev et d’une délégation de l’état-major russe. La décision a été prise après une visite identique d’une délégation militaire russe en Turquie. Inutile de discuter des opérations en Syrie, car le Pentagone ne sait plus ce qui s’y passe. Furieux, les « faucons libéraux » et les néo-conservateurs exigent la relance du budget militaire et ont obtenu l’arrêt du retrait des troupes d’Afghanistan.

 

De manière on ne peut plus étrange, les commentateurs atlantistes qui assistent au dépassement de la puissance militaire US dénoncent le danger de l’impérialisme russe [5]. Pourtant la Russie ne fait ici que sauver le Peuple syrien et propose aux autres États de travailler en coopération avec elle, tandis que les États-Unis lorsqu’ils détenaient la prééminence militaire ont imposé leur système économique et détruit de nombreux États.

 

Force est de constater que les déclarations incertaines de Washington durant le déploiement russe, avant l’offensive, ne devaient pas être interprétées comme une lente adaptation politique de la rhétorique officielle, mais pour ce qu’elles exprimaient : le Pentagone ignorait le terrain. Il était devenu sourd et aveugle.

 

 

Un système de brouillage généralisé.

 

On sait, depuis l’incident de l’USS Donald Cook en mer Noire, le 12 avril 2014, que l’armée de l’Air russe dispose d’une arme lui permettant de brouiller tous les radars, circuits de contrôle, systèmes de transmission d’information, etc. [6]. Dès le début de son déploiement militaire, la Russie a installé un centre de brouillage à Hmeymim, au nord de Lattaquié. Subitement, l’incident de l’USS Donald Cook s’est reproduit, mais cette fois dans un rayon de 300 kilomètres ; incluant la base Otan d’Incirlik (Turquie). Et il persiste toujours. L’événement s’étant produit durant une tempête de sable d’une densité historique, le Pentagone a d’abord cru que ses appareils de mesure avaient été déréglés avant de constater qu’ils sont brouillés. Tous brouillés.

 

Or, la guerre conventionnelle moderne repose sur le C4i ; un acronyme correspondant aux termes anglais de command (maîtrise), control (contrôle), communications, computer (informatique) et intelligence (renseignement). Les satellites, les avions et les drones, les navires et les sous-marins, les blindés et désormais même les combattants, sont reliés les uns aux autres par des communications permanentes qui permettent aux états-major de commander les batailles. C’est tout cet ensemble, le système nerveux de l’Otan, qui est actuellement brouillé en Syrie et dans une partie de la Turquie.

 

Selon l’expert roumain Valentin Vasilescu, la Russie aurait installé plusieurs Krasukha-4, aurait équipé ses avions de conteneurs de brouillage SAP-518/ SPS-171 (comme l’avion qui survola l’USS Donald Cook) et ses hélicoptères de Richag-AV. En outre, elle utiliserait le navire espion Priazovye (de classe Project 864, Vishnya dans la nomenclature Otan), en Méditerranée [7].

Il semble que la Russie ait pris l’engagement de ne pas perturber les communications d’Israël —chasse gardée US — de sorte qu’elle s’interdit de déployer son système de brouillage au Sud de la Syrie.

 

Les aéronefs russes se sont fait un plaisir de violer un grand nombre de fois l’espace aérien turc. Non pas pour mesurer le temps de réaction de son armée de l’Air, mais pour vérifier l’efficacité du brouillage dans la zone concernée et pour surveiller les installations mises à dispositions des jihadistes en Turquie.

 

imrs-dd8e5.pngSi l’Otan a toujours la possibilité de photographier depuis des satellites la construction des bases militaires russes en Syrie, elle ne peut plus ni écouter les communications radio,

ni visualiser les déplacements des hommes et des matériels.

 

En outre, l’Otan ne peut plus contrôler à distance ses propres appareils,

ni communiquer avec ses hommes lorsqu’ils entrent dans la bulle de protection russe.

 

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Des missiles de croisière ultra-performants

 

Enfin, la Russie a utilisé plusieurs armes nouvelles, comme 26 missiles furtifs de croisière 3M-14T Kaliber-NK, équivalents des RGM/UGM-109E Tomahawk [8]. Tirés par la Flotte de la mer Caspienne — ce qui n’avait aucune nécessité militaire — ils ont atteint et détruit 11 cibles situées à 1.500 kilomètres de distance, dans la zone non-brouillée — afin que l’Otan puisse apprécier la performance. Ces missiles ont survolé l’Iran et l’Irak, à une altitude variable de 50 à 100 mètres selon le terrain, passant à quatre kilomètres d’un drone états-unien. Aucun ne s’est perdu, à la différence des états-uniens dont les erreurs se situent entre 5 et 10 % selon les modèles [9]. Au passage, ces tirs montrent l’inutilité des dépenses pharaoniques du « bouclier » anti-missiles construit par le Pentagone autour de la Russie — même s’il était officiellement dirigé contre des lanceurs iraniens.

 

 

Sachant que ces missiles peuvent être tirés depuis des sous-marins situés n’importe où dans les océans et qu’ils peuvent transporter des têtes nucléaires, les Russes ont rattrapé leur retard en matière de lanceurs.

 

En définitive, la Fédération de Russie serait détruite par les États-Unis — et vice-versa — en cas de confrontation nucléaire, mais elle serait gagnante en cas de guerre conventionnelle.

 

Seuls les Russes et les Syriens sont en capacité d’évaluer la situation sur le terrain. Tous les commentaires militaires provenant d’autres sources, y compris des jihadistes, sont sans fondement car seuls la Russie et la Syrie ont une vision du terrain. Or, Moscou et Damas entendent profiter au maximum de leur avantage et maintiennent donc le secret sur leurs opérations.

 

Des quelques communiqués officiels et des confidences des officiers, on peut conclure qu’au moins 5.000 jihadistes ont été tués, dont de nombreux chefs d’Ahrar el-Sham, d’al-Qaïda et de l’Émirat islamique. Au moins 10.000 mercenaires ont fui vers la Turquie, l’Irak et la Jordanie. L’Armée arabe syrienne et le Hezbollah reconquièrent le terrain sans attendre les renforts iraniens annoncés.

 

La campagne de bombardements devrait se terminer à la Noël orthodoxe. La question qui se posera alors sera de savoir si la Russie est autorisée ou non à terminer son travail en poursuivant les jihadistes qui se réfugient en Turquie, en Irak et en Jordanie. Faute de quoi, la Syrie serait sauvée, mais le problème ne serait pas résolu pour autant. Les Frères musulmans ne manqueraient pas de chercher une revanche et les États-Unis de les utiliser à nouveau contre d’autres cibles.

 

 

Thierry Meyssan

 

 

 

Video : missiles russes traversant territoire iranien vers leurs objectifs en Syrie.

Vitesse et basse altitude entre les montagnes, très étonnant !

 

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[1] « Russian Military Uses Syria as Proving Ground, and West Takes Notice »,

Steven Lee Myers & Eric Schmitt, The New York Times, October 14, 2015.

 

 

[2] « Top NATO general : Russians starting to build air defense bubble over Syria »,

Thomas Gibbons-Neff, The Washington Post, September 29, 2015.

 

[3] « How America can counter Putin’s moves in Syria », by Condoleezza Rice,

Robert M. Gates, Washington Post (United States),Voltaire Network, 8 October 2015.

 

 

[4] La seule étude disponible est bien en dessous de la réalité :

Russia’s quiet military revolution and what it means for Europe,

Gustav Gressel, European Council on Foreign Relations, October 2015.

 

 

[5] « Russisches Syrien-Abenteuer : Das Ende der alten Weltordnung »,

Matthias Schepp, Der Spiegel, 10. Oktober 2015.

 

 

[6] « Qu’est-ce qui a tant effrayé l’USS Donald Cook en Mer Noire ? »,

Réseau Voltaire, 14 septembre 2014.

 

 

[7] « Cu ce arme ultrasecrete a cîstigat Putin suprematia în razboiul radioelectronic din Siria ? », Valentin Vasilescu, Ziarul de gardã, 12 octobre 2015.

 

Version française : « L’arme ultrasecrète qui permet à Poutine d’assoir sa suprématie dans la guerre radio électronique en Syrie ? », Traduction Avic, Réseau international.

 

 

[8] « KALIBRating the foe : strategic implications of the Russian cruise missiles’ launch »,

by Vladimir Kozin, Oriental Review (Russia), Voltaire Network, 14 October 2015.

 

 

[9] Après avoir annoncé le contraire, les États-unis ont dû admettre les faits :

« First on CNN : U.S. officials say Russian missiles heading for Syria landed in Iran »,

Barbara Starr & Jeremy Diamond, CNN, October 8, 2015.

 

« Moscow rejects CNN’s report on Russian missile landing in Iran », 

IRNA, October 8, 2015.

 

« Daily Press Briefing », John Kirby, US State Department, October 8, 2015.

 

« Пентагон не комментирует сообщения о якобы упавших в Иране ракетах РФ », 

RIA-Novosti, October 8, 2015.

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20/10/2015

Maréchal PAULUS : « Stalingrad »

Maréchal PAULUS : « Stalingrad »

 

Vie du Feldmaréchal-Général Friedrich PAULUS.

 

Lettres et documents inédits rassemblés par Walter GÖRLITZ.

 

Avant-propos d’Ernst Alexander PAULUS / Texte de présentation de Jacques Mordal.

 

 

Devant l’histoire, Friedrich Paulus reste à jamais le vaincu de la bataille de Stalingrad. Contrairement à d’autres chefs de guerre comme le Maréchal Model, il préfère la captivité au suicide, et le personnage ne sort pas grandi de sa confrontation avec le destin impitoyable. D’autant que les Soviétiques allaient obtenir de lui qu’il prenne position publiquement en août 1944 contre ses compatriotes qui s’obstinaient a continuer un combat, même sans espoir, pour leur patrie. Pourtant, Paulus n’est jamais apparu comme un opposant à la politique de conquête d’Adolf Hitler, n’ayant jamais cessé d’être, jusqu’à Stalingrad, un subordonné obéissant et respectueux. (39-45.org) 

 

Voici un livre très intéressant sur la vie de Frédéric Paulus ; Général-feldmaréchal de la VIème Armée, défaite à Stalingrad… personnage qui de part son indécision et son esprit d'obéissance totale au Führer, se laissa enfermer avec toute son armée dans la poche de Stalingrad, ex-Tsaritsine, surnommée le Verdun Rouge pour la violence de ses combats...

Ce livre est tiré des notes du Maréchal lui-même et réunies par son fils, Ernst-Alexander Paulus, officier dans la Waffen-SS et blessé au début de la campagne de Stalingrad. En 1957, il confia ces dernières à l'historien militaire allemand Walter Görlitz qui avec l'aide d'autres archives retrace la vie de Paulus de l'opération Barbarossa à Stalingrad, puis jusqu'à sa mort, à Dresde, en 1957.  A lire, car la personnalité de Paulus et la bataille de Stalingrad y sont traitées bien plus en profondeur, grâce aux notes de ce dernier, que dans bien des livres sur le sujet. (histoquiz-contemporain.com)

 

Club des Amis du Livre, 1962 (Ré-édition de l’ouvrage originellement sorti chez Arthème Fayard l’année précédente, en 1961).

Tirage limité à 14260 exemplaires, celui-ci porte le N°5204.

288 pages – 13 x 18,5 cms – 350 grammes.

Très nombreuses cartes et reproductions photographiques in et hors-texte.

Reliure cartonnée recouverte d’un tissu rouge, titre et nom d’auteur en doré sur tranche, logo de la collection embossé (avec dorure) sur premier plat.

 

Etat = le rhodoïd (jaquette en plastique transparent) de protection est absent… mais la reliure n’en a pas souffert pour autant, puisqu’hormis une minuscule « salissure » en bas de plat (trace de colle ?), elle est en parfait état ! Reliure O.K, intérieur parfait… un bel exemplaire, qui ne demande qu’à rejoindre vos rayons.

 

>>> 5 €uros. / Vendu ! Ouvrage temporairement indisponible.

 

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12/10/2015

La (vraie) guerre contre Daesh

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11/10/2015

LE GRAND RENVERSEMENT / La Russie au secours de l'Occident !

LE GRAND RENVERSEMENT : 

La Russie au secours de l'Occident !

 

Un article signé Michel Lhomme, de Métamag ( cliquez ici ).

 

Note de K : Un article qui date déjà du 02 octobre… mais qui me semble à la fois clair et intéressant, pour qui ne suit pas forcément de très près les évênements se déroulant actuellement en Syrie. 

 

Ce fut la première à le faire et elle a ses raisons. C'est la chaîne télévisée israélienne qui avait annoncé la semaine dernière que la Russie venait de déclarer la guerre officiellement à l’État islamique, confirmant ce que nous savions déjà depuis fin août, à savoir que l'opération militaire en Syrie serait déclenchée fin septembre. Des navires de guerre, des avions de chasse et des hélicoptères de combat sont arrivés depuis en Syrie et le but est donc avec le gouvernement officiel de Damas de neutraliser définitivement et mettre hors d’état de nuire l’Etat islamique (EI) et les rebelles salafistes sur le territoire Syrien. En déclarant la guerre officiellement du point de vue juridique - car il y a toute une tradition du droit de la guerre qui touchera d'ailleurs le statut des « réfugiés européens » - Poutine a le mérite d’être clair, ce que jamais la coalition « internationale » occidentale à laquelle appartient la France depuis l'Irak n'a été puisque dans la stratégie du chaos des néoconservateurs, la guerre se veut perpétuelle et civile. N'oublions pas que l'aviation des Etats-Unis et de la France bombardent les positions de l'EI en Syrie depuis près d'un an sans l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU, ni du gouvernement syrien.

En ce moment, Vladimir Poutine se retrouve le seul finalement à avoir le courage d’aller se battre contre ceux qui détruisent Palmyre et qui décapitent les chrétiens, le seul à défendre en définitive les sacro-saints principes occidentaux. Pourquoi le fait-il ? C'est que comme il l'a avoué dans son discours de l'ONUPoutine sait très bien qui a armé Daesh, de quoi ISIS est le nom et qui les entraînent. Ce sont nos démocraties.  

 

Les opérations des drones de reconnaissance russes avaient débuté la semaine dernière et ces drones avaient pour mission de localiser les positions des terroristes de Daesh, sur le sol syrien. Laurent Fabius prétend que les avions russes se trompent de cibles ou opèrent à l'aveugle. C'est le début de la guerre de l'information en cours qui déjà amène la France à accuser faussement la Russie de toucher des civils. 

 

Dans toute cette affaire, Israël fulmine et en particulier, elle ne décolère pas contre les Etats-Unis. Tel-Aviv ne peut plus compter que sur un pays, la France pour défendre mordicus ses intérêts et encore, on susurre ici et là que la position de Fabius ne sera pas tenable longtemps. En tout cas, il y a bien une nouvelle coalition au Proche-Orient qui contrecarre tous les plans du grand Israël, c'est une coalition à cinq, la bande des cinq, se plaint-on à Jérusalem : la Syrie, l'Irak, l'Iran, le Hezbollah Libanais et la grande Russie de Poutine. On aura relevé au passage que suite à son entrevue à Moscou avec le Président russe, la presse occidentale était passée du titre  « Poutine et Netanyahou n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la Syrie », au titre « Israël et la Russie d'accord pour éviter toute confrontation militaire en Syrie ».

Question subsidiaire : que peut maintenant faire Israël dans le ciel syrien sans risquer une confrontation avec l’armée Russe ? Rien, elle ne peut rien faire même si l'on ne peut écarter dans les semaines qui viennent une intervention secrète du Mossad, une opération false flag d'envergure aux États-Unis ou en Europe pour obliger Obama à être plus ferme face à la Russie. Pour l'instant, effectivement, il n'est pas exclu que la Syrie et le Hezbollah n'ouvrent avec le soutien de l'Iran un deuxième front sur le plateau du Golan, un plateau occupé par l'état hébreu depuis la guerre des six jours de 1967. Ce serait vraiment le moment opportun. Dans sa dernière visite à Moscou, Netanyahou a en fait voulu s'assurer que ce deuxième front ne serait pas ouvert mais Poutine ne lui a pas répondu. La coalition des 4 + 1, soi la Syrie, l’Irak, l’Iran, le Hezbollah Libanais et la Russie contre Daesh a déjà été formée.

 

Israël se retrouve ainsi victime de ses propres excès. Qui oserait écrire aujourd'hui que la lutte contre Daesh est criminelle ? Difficile en effet de condamner les bombardements de la Russie, à moins de vouloir préférer les conciliabules interminables avec les égorgeurs et les décapiteurs. Le quotidien libanais, Al-Akhbar, a fait état avec enthousiasme de la création de la coalition des 4+1, pour lutter contre le terrorisme, au Proche-Orient. L'Iran envisagerait même de tenir sous peu un exercice naval conjoint avec la Russie.

 

Ainsi, la montée en puissance de la Russie sur le théâtre syrien est assumée au plus haut niveau de la Fédération de Russie. C'est une incontestable victoire diplomatique pour Poutine, un virage stratégique qui a visiblement pris de court les USA et ses alliés. Les Occidentaux se retrouvent devant un choix cornélien. Soit ils soutiennent la Russie dans son action militaire en Syrie et aident, de facto, le gouvernement syrien à gagner la guerre. Ce qui signifie une défaite complète au Proche-Orient avec, pour corollaire, un nouveau statut d’arbitre des relations régionales pour la Russie. Soit, ils entrent en guerre contre la Russie et révèlent de facto les manipulations opérées avec Daesh reconnaissant qu'en réalité ils n’avaient depuis le début aucunement l’intention de neutraliser le djihadisme. 

 

Et c’est là le tour de force de Vladimir Poutine : rompre l’isolement occidental, contraindre les USA à soutenir leurs efforts pour permettre à Bachar el-Assad de gagner la guerre, et ainsi faire de la Russie une puissance incontournable au Proche-Orient, une grande puissance avec laquelle on devra compter. Poutine est presque un diplomate artiste, un vrai joueur, en tout cas un remarquable tacticien qui sait saisir les bonnes occasions et même les provoquer, car il bénéficie d’un atout maître : une vraie réflexion géopolitique et la centralité de décision qui lui permet d’éviter les tergiversations et d’avoir une vraie continuité d’action. C'est très précisément ce que n'a plus le camp occidental.

 

Pour l'instant, l’aviation russe a mené ses premiers bombardements en Syrie à la demande du président Bachar el-Assad, Vladimir Poutine assurant qu’il fallait prendre les “terroristes” de vitesse et les frapper avant qu’ils ne viennent « chez nous ». L’accélération de l’engagement de Moscou s’inscrit sur fond de bras de fer entre le président américain Barak Obama et son homologue russe sur le sort à réserver à Bachar el-Assad, « tyran » pour l’un et rempart contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) pour l’autre. Mécontent, le secrétaire d’Etat américain John Kerry s’est plaint auprès de son homologue russe Sergueï Lavrov et a jugé ces bombardements contre-productifs. Washington a toutefois estimé que l’intervention russe ne changerait rien aux missions anti-EI de la coalition. Un peu plus tôt ce mercredi matin, dans le souci de respecter les valeurs occidentales du droit de la guerre, Vladimir Poutine a demandé et obtenu le feu vert du Sénat russe pour lancer des opérations militaires sur le territoire syrien. Celles-ci devraient se limiter pour l’heure à des frappes aériennes mais nous ne doutons pas un instant qu'elles seront suivies sous peu du déploiement des troupes d'élite russes sur le sol syrien.

 

Un article signé Michel Lhomme, de Métamag ( cliquez ici ).

Via Synthèse Nationale.

 

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Pour suivre l’intervention Russe en Syrie heure par heure :

 

cliquez ici

 

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