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31/07/2014

Ukrainian government prepares to chemical war

  Mise à jour du 01er août, vidéo avec sous-titres en français.

 

 

Source

 

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To see the english subs turn on the captions.

 

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Ukrainian government prepares to strike chlorine reservoirs of Donetsk and Luhansk water treatment plants with ballistic missiles, also they are planning to accuse locals of it. Igor Strelkov asked journalists to help to prevent such actions by revealing these plans.

 

Source

 

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Ukrainian governement prepares to strike chlorine reservoirs

with ballistic missiles…

 

« (…) According to our data, and this data is confirmed – we have means to verify the info we receive, including technical means among others – during 3 nights, military transport planes have delivered 3 « devices » to the Kramatorsk airport… 3 missiles… for the balistic missile system « Tochka-U ».

These rockets are now being prepared for the launch. Their preliminary targets are water treatment facilities of towns : Donetsk and Luhansk. For your information, one of them contains 120 tons of chlorine… the other 160 tons of chlorine. Duplicate target is « Stirol » factory… it has huge reserve of ammonia… it’s located in Gorlovka.

It’s planned that before these rockets will be launched, propaganda campaign, that will state that militias are preparing to execute acts of terrorism on the checmical facilities of Donetsk and Luhansk, will be done.

I repeat one more time… Haven’t I seen with my own eyes the actions of ukrainian troops eradicating our civilian population… their own population as they state… haven’t I seen how, easy, to say the least they sacrifices lives and interests of citizens, I would probably consider this info just some bad joke… but after all these events… these people have no limit of moral degradation, they just don’t have it, they have nothing sacred for then.

Consequences might be just horrifying… depending on the wind rose, area affected by the chlorine vapors in case of destruction of water treatment facilities might cover area from Donetsk to Volnovakha, for example… all living creatures would be killed in this zone… people, animals will die… everything will die. There is sufficient amount of chlorine to kill all living creatures on the enormous territory. There might be dozens of thousand of victims… maybe even more… depending on how will chlorine cloud move.

I do hope that your today’s briefing will exclude such barbaric way of executing the punitive operation which they call anti-terrorist. This is the exact purpose of my speech, attempt to exclude the very possibility of use such weapons against water treatment plants of Donetsk and Luhansk.

I also emphasize that militia of Donetsk People’s Republic, of Luhansk People’s Republic do not execute any acts of terrorism… not against the population of Ukraine… not against the own population of own republics – a fortiori… not  even against the enemy armed forces, if this might affect civilian population.

Now ukrainian armed forces are wondefully hiding covering themselves with civilian populations of what they accuse us… to avoid our shelling they enter peaceful villages and rest there carelessly. We don’t shell them there… but still we’re being accused of everything possible : taking hostages, assassinations, extrajudicial executions… accusing us of everything they do themselves… as if it are we who shell own towns, destroy ourselves, as if we shell our own positions, according to their opinion…

There’s no limit for moral degradation of these people.

That’s why I count on that you’ve all heard our statement… and you will make the barbaric eradiction of dozens of thousands people impossible. »

 

Igor Ivanovitch Strelkov

Igor Strelkov, Vladimir Antyufeev briefing : 31/07/14. 

 

Strelkov-Donetsk.jpg

29/07/2014

Elle allait avoir 24 ans...

Ukraine / Donbass :

Kiev met la pression sur ses troupes

pour en finir avant l’automne.

 

28 juillet 2014

Jacques Frère, pour NationsPresse.info.

 

Les articles de NationsPresse.info sont libres de copie et de diffusion,

sous réserve de mention de la source d'origine. 

> http://www.nationspresse.info/mondialisme/atlantisme/ukraine-donbass-kiev-met-la-pression-sur-ses-troupes-pour-en-finir-avant-lautomne

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La situation dramatique des populations ukrainiennes du Donbass soumises à une politique d’éradication qui s’apparente à du nettoyage ethnique aurait-elle enfion atteint les consciences supérieures de ceux qui font la pluie et le beau temps au sein des gros médias occidentaux ?

Outre le changement de ton de façon radicale en ce qui concerne le Boeing de la Malaysia Airlines (on parle désormais d’avion « probablement abattu accidentellement » et que « les États-Unis ne savent pas exactement » qui a lancé le missile), voilà que Le Monde s’y met aussi en évoquant en détail l’enfer des civils à Donetsk soumis aux pilonnages incessants des forces de Kiev. Après la chute du gouvernement Yatseniuk et la naissance d’une vague de contestation au sein de l’opinion publique ukrainienne, on assiste peut-être au début d’une évolution dans ce conflit en défaveur de ceux que l’on a placé à Kiev en février dernier. Mais il ne faut pas se leurrer : la guerre se poursuit, elle sera longue, difficile et meurtrière.

 

Kristina-bébé-+-27-7-2014-Gorlivka.jpg

 

Elle allait avoir 24 ans, son bébé 10 mois.

Tous ceux qui soutiennent le régime kievien ont ces morts sur la conscience…

s’ils ont une conscience !?

 

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Le Monde, dans son numéro daté du 28 juillet, affirme que les forces de Kiev commettraient des crimes de guerre… Cet indeffectible suppot de la propagande occidentale la plus russophobe, cette référence incontournable de la caste des nantis, se serait-il mis à faire du vrai journalisme ? Ou s’agit-il d’une forme de rééquilibrage cynique du discours dominant ? La question mérite d’être posée.
Une envoyée spéciale à Donetsk raconte par le menu l’enfer vécu par les habitants sous le feu de l’armée ukrainienne : « Pour les autorités ukrainiennes, reprendre la capitale du Donbass est une priorité. Elles ont promis de ne pas bombarder la ville (…) mais dans un rapport publié le 25 juillet l’organisation Human Rights Watch (HRW) prend Kiev en défaut : « Selon des indices concordants, l’armée ukrainienne est à l’origine de tirs de roquettes qui ont causé la mort d’au moins 16 civils depuis le 12 juillet. Ces tirs de roquette sont si imprécis que leur usage systématique est proche du crime de guerre selon HRW ; une Ukrainienne, Nadia, qui avait voté lors du référendum pour l’indépendance du Donbass, constate qu’elle n’a plus que le choix suivant : fuir (vers la Russie comme 515.000 réfugiés selon l’ONU) ou mourir sous les tirs ukrainiens et elle ajoute : « Comment voulez-vous qu’on vive avec des gens qui nous tuent ? »

Répondre à des référendums autonomistes par une guerre civile sans merci n’est effectivement pas le meilleur moyen pour l’Ukraine de sauver son unité ! Mais ne nous y trompons pas : les rapports d’HRW sont généralement dépourvus de toute sincérité, l’ONG américaine ayant toujours privilégié tactiques et calculs sur l’engagement humaniste.

 

 

Désinformation kievienne

MAP-28-juillet.PNG

cliquez pour agrandir

Voici une carte de la situation militaire relativement cohérente

quant aux derniers événements sur le terrain.

 

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Une offensive sur les réseaux sociaux de la part du camp atlanto-mondialo-bandériste s’est développée ces derniers jours par des annonces reprises à la chaîne, aussi tonitruantes que surprenantes, concernant l’évolution du front du Donbass. Via Facebook, VKontact, Twitter, entre autres, on nous explique doctement qu’un effondrement général de la résistance de Nouvelle Russie est en train de se dérouler, suite à la prise les unes après les autres de localités stratégiques entre Lugansk et Donetsk (et même la prise de contrôle du site du crash du Boeing !). Et, bien entendu, la grosse presse occidentale gobe !

Jusqu’à présent, même avec un certain nombre de différences notables, les comptes rendus des opérations, de la part du camp ukrainien comme des forces indépendantistes, se recoupaient globalement les unes aux autres, parfois avec un jour ou deux de décalage. Or, dans ce cas précis, toutes les informations diffusées par les partisans de la junte kievienne et de l’atlantisation de l’Ukraine, ne sont non seulement pas recoupées avec celles de la partie adverse, mais aucune vidéo, ni la moindre image, ne viennent confirmer ces allégations. Elles sont même toutes contredites par des éléments probants (photos, vidéos) en provenance des indépendantistes.

Et comme par grand hasard, ces affirmations proviennent quasiment toutes du Conseil national de défense et de sécurité de l’Ukraine, dont le responsable est le néonazi pro-américain Andriy Parubiy et la directrice de la communication, une ancienne journaliste de Voice of America (tout un programme !). En fait, il y a fort à parier que Kiev et ses alliés occidentaux viennent de lancer, ces dernières 72 heures, une vaste offensive de désinformation médiatique via les réseaux sociaux, dans le but à la fois de démoraliser l’adversaire, mais aussi pour pouvoir s’assurer de la continuité du soutien de Washington à un moment où le pays est entré dans une crise politique majeure.

 

 

 

Nikolaiv : manifestation pacifique contre les conditions dans lesquelles ont été envoyés au front

et abandonnés par Kiev les soldats de la 79e brigade aéromobile, totalement détruite dans le chaudron.

Pour toute réponse, Porochenko envoie ses flics molester ces mères, ces sœurs, ces épouses.

 

 

Des heures décisives pour la bataille du Donbass

 

Si aucune attaque notable n’est à signaler ce week-end sur Lugansk, en revanche les tirs d’artillerie concentrés sur les zones d’habitations n’ont pas cessé depuis 96 heures. On compte pour samedi et dimanche plusieurs dizaines de tués et des centaines de blessés. La situation sanitaire devient difficile et les coupures d’électricité se répètent la nuit comme le jour.

 

Ce week-end, les forces ukrainiennes ont une fois de plus tenté de contourner Lugansk par le sud-ouest, mais ont été freinées par diverses contre-attaques de la milice. Elles ont fait demi-tour en soirée sur leurs bases de départ, au nord de la voie expresse E40-M04, à l’ouest de Lugansk. Un bataillon d’infanterie de la 30e brigade mécanisée de la garde de Novohrad-Volynskyi (près de Zhytomyr) monté sur BMP-2, renforcé par une compagnie de T-64BM Bulat, étaient accompagnés du « bataillon Aydar » reconstitué qui a perdu pas moins de 23 hommes (sans compter les blessés) et 4 BTR sur Lutuhyne (pour un effectif d’à peine 200 hommes, c’est lourd). Les éléments de pointe de ce groupe de combat ont réussi à atteindre Pershozvanivka, avant de rebrousser chemin suite à la perte de 8 chars lourds et d’une partie de leur infanterie d’accompagnement. Déjà, dans la nuit du 21 au 22 juillet, dans le même secteur ouest de la banlieue de Lugansk, « Aydar » avait eu une demi-douzaine de tués et 18 blessés.

 

 

 

Voilà ce qu’il s’était passé il y a quelques jours dans la même zone des combats

 

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Comme à son habitude quand elle se trouve face à une masse mécanisée nettement supérieure en capacité de combat, l’infanterie de la milice la laisse progresser dans les terres, puis attaque ses flancs à divers endroits, selon les techniques de guérilla éprouvées, afin de l’épuiser. Si l’assaillant n’a pas la présence d’esprit de revenir en arrière assez tôt, il risque immanquablement d’être anéanti.
Deux ou trois sections de ce qui reste de la 6e compagnie du 80e régiment aéromobile de Lviv qui résistaient encore sur une partie de la zone aéroportuaire de Lugansk, ont décidé de faire une échappée dans la journée d’hier, profitant de la tentative de pénétration des éléments de la 30e brigade et du « bataillon Aydar ». Devant l’échec de ces derniers, les parachutistes de Lviv sont retournés à leurs positions de départ. Une autre tentative de s’échapper de cette poche, tout aussi infructueuse, a encore eu lieu cette nuit.

On signale l’arrivée dans la zone des combats d’un nouveau « bataillon » de la garde nationale : il se nomme « Lviv » et est composé de Galiciens particulièrement politisés et radicalisés. Mais ils ne sont que… 150 ! Juste de quoi garnir une petite compagnie. S’il est du niveau « d’Aydar », ça promet !

 

Muzhenko_big.jpg(< Le général ukrainien Viktor Muzhenko, chef d’état-major des forces armées de l’Ukraine, ne sait même pas où sont ses troupes sur le terrain… ou alors il ment délibérément au président !)

 

Au nord comme au sud, depuis 48 heures, le front est devenu mouvant. Kiev tente une percée en tenailles par le centre, mais ne semble toujours pas avoir les moyens de ses choix tactiques.

Pour les forces de Nouvelle Russie, l’attaque au nord et au sud a nécessité de mobiliser des troupes qui se trouvaient jusqu’alors du côté du chaudron, à quelques kilomètres de la frontière avec la Russie. Les forces ukrainiennes, profitant de cet allègement du dispositif indépendantiste, en ont profité pour contre-attaquer sur le versant sud-est de la poche. Appuyée par des chars lourds et de l’artillerie en nombre, elles ont progressé de quelques kilomètres sans réussir pour le moment à procéder à une ouverture par le sud du chaudron. Leur objetif semble être la reprise de Dmytrivka et Marynivka. Un Su-25M1 a été abattu au-dessus de Snizhne, il s’est écrasé vers Torez. Et contrairement aux allégations de la présidence ukrainienne, qui tient ses infos du chef d’état-major Viktor Muzhenko, Saur-Mogila tient toujours…

 

Pour le moment, les contre-attaques de la milice ont été très localisées, permettant de retenir l’offensive. Si les rebelles parviennent à nettoyer les poches, ils seront en mesure de mener des opérations offensives locales dans le nord et vers le sud avec les unités actuellement engagées dans la zone est. Les Ukrainiens vont avoir besoin de redéployer leurs unités pour faire face à cette menace et éviter d’autres « Kessel » comme celui qui a cours dans le sud-est avec des conséquences désastreuses.

 

Mryzrak.jpgAu nord-ouest, le bataillon « Mryzrak » d’Aleksei Mozgovoi a été repositionné sur le secteur de Lomuvatka-Komisarivka, entre Debaltseve et Alchevsk, au nord-ouest de la voie rapide M04-E40. Il empêche ainsi tout contournement de Gorlivka par l’est. Il peut prendre aussi à revers une partie de la logistique des forces ukrainiennes. Le 25 juillet et le 26, deux colonnes ukrainiennes (dont une de la 95e brigade) ont été ainsi détruites, comprenant plusieurs camions Ural, des GAZ-66 (photo), des BMP-2 et des chars lourds.

 

Dans le secteur de Shakhtersk, plus au sud du dispositif défensif, entre Lugansk et Donetsk, les combats se poursuivaient cette nuit vers 00h55 (GMT). Une colonne de blindés ukrainiens, essentiellement des éléments de la 95e brigade aéromobile de Zhytomyr, a réussi à percer un corridor large d’un ou deux kilomètres sur une profondeur nord-sud dépassant les 10 km. C’est un risque énorme pour les forces de Kiev car elles doivent en même temps assurer la sécurité de leur logistique et de leurs communications sur leurs arrières et sur leurs flancs, ce qui n’est pas leur fort. En cas de réussite, ce sera payant. Pour les forces de Nouvelle Russie, la situation est critique mais pas désespérée.

 

Une contre attaque de chars lourds de la milice semble avoir, en fin de journée d’hier, stoppé net l’avancée de la colonne ukrainienne. Le bataillon spécial « Kalmius » est arrivé en renforts de Donetsk, avec une batterie Grad et des blindés d’infanterie. La plupart des combats se trouvent en périphérie de la ville, tout comme à Torez. Des hélicoptères d’assaut sont intervenus dans la matinée et ont été repoussés au moyen de tirs de mitrailleuses lourdes et de missiles portables sol-air.

 

 

 

Une compagnie de la garde nationale au sud de Shakhtersk

 

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L’objectif de Kiev est de couper Donetsk de Lugansk, pour isoler la grande ville à l’ouest et la réduire ainsi, en employant les mêmes méthodes que celles utilisées à Slaviansk. D’ailleurs, un bataillon de lance-roquettes multiples de 220 mm BM-27 Uragan vise déjà les quartiers nord de la banlieue de Donetsk.

 

Pourtant, les forces ukrainiennes peinent à progresser dans les zones urbaines, préférant les tirs d’artillerie pour forcer la milice à évacuer les agglomérations, avant d’y pénétrer, que le combat urbain. C’est pourquoi ni Torez, ni Shakhtersk ne sont pour l’instant entre leurs mains. Les assaillants privilégient la masse plutôt que la stratégie : les affrontements se font à 1 contre 5 dans le meilleur des cas, à l’avantage des Ukrainiens, et le plus souvent à 1 contre 10. Pour ce qui est des pertes, c’est assez différent : l’avantage va la plupart du temps aux forces du Donbass, pour 1 milicien tué, ce sont 10 soldats de la junte qui sont neutralisés (tués ou blessés).
Sur Torez, on signalait hier la présence de mercenaires polonais dans les rangs de la garde nationale. Partout sur cette zone, l’utilisation de civils comme boucliers humains lors des affrontements armés est devenue chose courante pour les assaillants ukrainiens qui n’hésitent plus en matière d’exactions.

 

« Les combats sont extrêmement féroce, soulignait le commandant en chef des forces du Donbass, le colonel Igor Strelkov, lors d’une conférence de presse aujourd’hui. L’adversaire jette dans la lutte tout ce qui lui est possible ; même moi je suis surpris par le nombre inhabituel de véhicules blindés… 200, 250 unités ! »

Kiev a mis la pression sur son armée : la poche du Donbass doit tomber avant septembre, bien avant la fin de l’été. La situation politique dans la capitale ukrainienne l’exige, à l’heure où les règlements de comptes sanglants au sein des diverses fractions de la junte commencent à apparaître de manière inquiétante.

 

 

Comment « Tonton Ihor » mène ses bonnes petites affaires…

 

Valentyn Nalyvaichenko, le très pro-américain patron de la police politique (SBU) et le secrétaire d’Etat à l’Intérieur Arsen Avakov, ne vont certainement pas remuer ciel et terre pour trouver les ou les auteurs de la mort du maire de Krementchug. Pas plus qu’ils ne feront quoi que ce soit pour prémunir leurs concitoyens de la série d’attentats majeurs qui sont annoncés çà et là pour les prochains jours et les prochaines semaines en Ukraine euro-atlantisée. Nous sommes dans la manipulation la plus insane qui soit.

 

L’assassinat par balles, au matin du 26 juillet, du maire de Krementchug, près de Poltava, n’est pas à prendre à la légère. Oleg Babayev, pendant de nombreuses années, a dirigé à Krementchug une usine de transformation de viande, profitant des petits et des gros avantages de la période post-Perestroika où magouilles et coups fourrés étient la règle et l’honnêteté et la droiture l’exception. Ce notable local a été député de la Verkhovna Rada, membre du « Bloc de Yulia Tymochenko ». Après son élection au poste de maire, il a quitté la formation de Tymochenko par souci d’équité et de neutralité politique. Il est néanmoins resté très proche des milieux politiques qui forment aujourd’hui la junte avec les oligarques. A 48 ans, ce père de deux filles se voyait bien devenir le futur gouverneur de la région de Poltava, un oblast voisin de celui de Dniepropetrovsk du très puissant oligarque-gouverneur Ihor Kolomoisky ( Note de Kurgan : voir ici et ici ). Ce dernier n’a jamais caché voir en Babayev un rival potentiel, d’autant que feu le maire de Krementchug était parfaitement au fait des affaires pour le moins douteuses de l’actuel fourrier de l’extrême droite néonazie et de ses paramilitaires des escadrons de la mort. La montée en puissance financière et politique du groupe Privat de Kolomoisky ne s’est pas faite sans quelques petits arrangements qui, s’ils étaient dévoilés dans le détail, sonneraient le glas de la belle ascension politique de « Tonton Ihor » qui, nous l’avons déjà écrit, lorgne maintenant sur la présidence, ou tout au moins sur la place de Premier ministre, avec l’appui de Svoboda, de Lyachko et de Tymochenko.


Et si l’on ajoute de Kolomoisky espère faire des bénéfices faramineux avec le projet d’extraction du gaz de schiste dans l’est de l’Ukraine grâce à la société dont le fils de Joe Biden, le vice-président US, est un des directeurs, on aura bouclé la boucle des bonnes petites affaires de « Tonton Ihor ».

N'est-elle pas merveilleuse l'Ukraine « proeuropéenne » des Obama, Fabius, Fourest et autres BHL ?  

  

Jacques Frère, pour NationsPresse.info.

 

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« Tonton Ihor »

 

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Pour vous tenir au courant quant à la guerre civile en Ukraine :



NationsPresse.info



Fiertés Européennes

( et plus particulièrement : F.E - Ukraine/Novorossiya )



La Voix de la Russie



Tradition !

 

27/07/2014

Schizos ou trop cons...

La rouge hermine from Productions MAC on Vimeo.

21/07/2014

Encore un week-end tranquille...

Des mouvements pro-palestiniens et pro-israéliens qui exportent leur guerre en plein Paris... des joueurs de l'équipe de France de Rugby agressés à la machette par des jeunes "connus des services de police"... encore un week-end tranquille en "douce France" !  

Tout va bien...

 

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Boulevard Voltaire

Bataille rangée communautariste en plein Paris

 

Malgré l’interdiction, de nombreux militants pro-palestiniens se sont rassemblés le 19 juillet à Barbès dans le nord de Paris pour exprimer leur soutien aux Palestiniens de Gaza. Munis de pancartes, ils scandaient : « Palestine vivra, Palestine vaincra » ou encore « Israël assassin, Hollande complice ». Certains militants ont brûlé des drapeaux israéliens, ceci sous l’œil impavide des CRS positionnés au lieu de départ dès le début de l’après midi.

 

Partie de Barbès, la manifestation s’est dirigée vers Château-Rouge. Les CRS ont alors bloqué l’accès vers la gare du Nord. Vers 16 H, la situation a commencé à dégénérer, des manifestants ont jeté des pétards, cailloux et autres projectiles sur les forces de l’ordre, qui ont répliqué avec des gaz lacrymogènes. Le gros de la manifestation qui comptait un millier de personnes a commencé à refluer mais de petits groupes sont restés sur place pour en découdre avec les fonctionnaires de police mettant la main sur des projectiles plus volumineux (poubelles renversées, pavé, bout de bois de palette). Ils ont incendié un fourgon RATP et cassés des vitrines. L’AFP indique qu’il y aurait au moins cinq policiers blessés, la préfecture de police de Paris, quant à elle, parle de 38 personnes interpellées.

 

Quatre enseignements sont à tirer de ces échauffourées :

 

1) On s’aperçoit qu’actuellement plus que les médias institutionnels ce sont les réseaux sociaux qui sont les véritables déclencheurs d’actions sur le terrain.

 

2) La manifestation était interdite, le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, avait appelé samedi matin à ne pas s’y rendre précisant : « si des manifestants ou des contre-manifestants, tentaient d’y participer, ils prendraient le risque d’être contrôlés, interpellés et remis à la justice ». Pourtant aucune interpellation n’eut lieu avant la formation de celle-ci malgré la présence des CRS. Il fallu attendre 16 h pour que ces derniers interviennent enfin. Nous n’avons pas connu un tel laxisme avec des mouvements autorisés comme « La Manif pour Tous » ou « Jour de Colère ». Cette différence de traitement n’est pas due qu’à des motifs politiques, elle est due aussi à la peur d’intervenir face à des foules immigrés qui, il faut le reconnaître, sont plus déterminés que les braves bourgeois luttant contre le mariage homosexuel, bénéficient d’un large soutien dans les médias et peuvent faire flamber rapidement les centaines de quartiers sensibles disséminer sur l’hexagone.

 

3) Des mouvements communautaristes pro-palestiniens et pro israéliens exportent aujourd’hui le conflit du Moyen Orient dans de nombreuses villes de France (Il y a eu samedi prés d’une dizaine de manifestations). Ceci est la preuve qu’un grand nombre d’immigrés originaires du Maghreb ne se sont pas fondus dans le moule national. En étudiant les comptes-rendus, on a encore une fois la preuve que l’immigration n’est pas une chance pour notre pays mais un grand malheur pour notre devenir.

 

4) La France est devenue une véritable poudrière, une cocotte minute qui peut exploser à tout instant. Les politiques le savent et essayent de louvoyer en gagnant du temps pour repasser la patate chaude aux prochains locataires des palais gouvernementaux.

Osons le dire, aujourd’hui la France n’est plus qu’un vaste cocktail Molotov qui attend l’incident qui allumera la mèche pour l’embraser.

 

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Barbès, le 19 juillet 2014. REUTERS/Philippe Wojazer

 

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Synthèse Nationale

On nous avait assuré "un avenir radieux grâce à la société plurielle"...

 

Lu dans Le Point.fr cliquez ici :

 

"Tout à coup, une centaine de casseurs foncent vers l'entrée du métro Barbès. Une rumeur circule. La Ligue de défense juive serait présente. Aux cris de "Allah Akbar",ils s'acharnent à faire céder les grilles. Après quelques minutes, c'est chose faite. Les caméras de vidéosurveillance sont détruites les unes après les autres. Venue pour manifester dans le calme, Sarah, une étudiante de 19 ans, tente de les dissuader. En vain. Un homme s'amuse à faire résonner son Taser. Un autre déplie son couteau. Les CRS pénètrent à leur tour dans le métro. S'engage alors une bagarre d'une rare violence.

 

Les casseurs s'attaquent ensuite à l'hôpital Lariboisière. Les vigiles, trop peu nombreux, battent en retraite. "Vous êtes frappés ou quoi ? C'est un hôpital !" s'époumone un vieil homme. "Un hôpital sioniste", réplique un assaillant. Dans le même laps de temps, des barricades enflammées sont érigées sur le boulevard de Rochechouart, les très nombreuses palettes du marché n'ayant pas été enlevées... Une épaisse fumée noire s'élève dans le ciel. Le trafic du métro est suspendu face au danger provoqué par les flammes. Protégés par la police, les voyageurs évacuent les rames en marchant le long des voies aériennes. La réaction des forces de l'ordre tarde à venir. Elles sont dépassées par la tournure des événements, ce dont profitent les casseurs pour redoubler de violence. "C'est la révolution !" s'exclame un homme arborant un autocollant du NPA.

 

Sans commentaire...

 

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Le Point

Rugby : trois internationaux de Clermont sauvagement agressés à Millau

 

Trois rugbymen internationaux de l'ASM Clermont-Auvergne ont été hospitalisés après avoir été agressés à la machette et au sabre dans les rues de Millau.

 

L'escale à Millau a mal tourné pour trois rugbymen internationaux de l'ASM Clermont-Auvergne, agressés à la machette et au sabre après une soirée dans un bar-discothèque de la sous-préfecture de l'Aveyron, dans la nuit de samedi à dimanche.

Le talonneur de l'équipe de France Benjamin Kayser, le deuxième ligne Julien Pierre et le centre Aurélien Rougerie, le capitaine de l'ASM, ont été attaqués à l'arme blanche par une "dizaine" de personnes, alors qu'ils rentraient à leur hôtel, vers 3 heures du matin dimanche, a précisé la police locale. C'est le club auvergnat du Top 14, sur son site internet, qui avait révélé ces "faits d'une extrême violence", en affirmant que les armes blanches en question étaient notamment des "machettes et des sabres".

Benjamin Kayser et Aurélien Rougerie ont été blessés au bras et Julien Pierre à une hanche, avait précisé le club, soulignant aussitôt que "leur diagnostic vital n'est pas engagé", même si Julien Pierre "devrait subir une opération afin de soigner de profondes coupures".

 

"On a tous été assez choqués"

Dimanche soir, quatre "jeunes connus des services de police" ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Millau, a indiqué la police de la ville, sans plus de précisions. Selon les premiers éléments de l'enquête en cours, l'agression aurait suivi une sortie des joueurs en boîte de nuit, à Millau, où une première altercation verbale aurait pu avoir lieu avec d'autres occupants de l'établissement.

"C'était aussi inattendu que brutal, un truc assez incroyable. Personne ne s'attendait à ça. La soirée s'était très bien passée. Aucune provocation ne pouvait laisser penser à ce genre de choses", a déclaré dimanche le directeur sportif du club, Jean-Marc Lhermet, à l'AFP, précisant que les joueurs étaient une quinzaine au moment de l'agression.

"Rien dans les heures qui ont précédé ne permet d'expliquer ça. On a tous été assez choqués. On s'en est relativement bien sortis compte tenu de la violence de l'agression", a ajouté l'ancien joueur de l'ASM et ancien international, avant de préciser que Kayser et Rougerie devaient sortir dimanche soir de l'hôpital pour rejoindre l'équipe.

(…)

Le Point.fr - Publié le 20/07/2014 à 15:54 - Modifié le 21/07/2014 à 06:12

 

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13/07/2014

Ukraine - Témoignages de réfugiés

Épuration ethnique dans le Donbass, les réfugiés témoignent…

Natalia Poklonskaya est procureur de la république de Crimée. 

23/06/2014

Les pompiers pyromanes

Les pompiers pyromanes

Alain Cagnat, pour Terre & Peuple.

Dimanche, 22 Juin 2014, 17:02.

 

Voici l’Occident pris de panique. L’Etat Islamique d’Irak et du Levant (EIIL) est peut-être sur le point de s’emparer de Bagdad et de créer un califat terrifiant à cheval sur la Syrie et l’Irak.

 

Comment en est-on arrivé là ? Les Américains, suivis par leurs caniches européens, ont prétendu imposer la démocratie et les droits de l’homme en terre d’islam, avec deux objectifs complémentaires mais inavoués, mettre la main sur les gigantesques réserves de pétrole des bédouins et détruire toute puissance arabe hostile à Israël. Le chemin était tout tracé : abattre les dictateurs en place et les remplacer par de bons démocrates acquis aux intérêts économiques de l’oncle Sam. Ce schéma simpliste, élucubré par de brillants intellectuels qui n’avaient jamais mis les pieds au Moyen-Orient ou au Maghreb, oubliait deux paramètres essentiels : le facteur ethnique et le facteur religieux.

 

Rappelons quelques faits et désignons les coupables. Le 11/9 offre à Bush et ses néocons l’occasion d’envahir l’Afghanistan. Treize ans plus tard, l’armée américaine, vaincue par une bande de va-nu-pieds illettrés en babouches, s’apprête à quitter l’Afghanistan, non sans avoir perdu plus de 2 300 hommes. Dès lors, l’armée afghane « formée » par des instructeurs américains, se débandera et les talibans reprendront le contrôle du pays qui leur tend les bras.

 

En 2003, le même Bush et le servile Tony Blair envahissent l’Irak, sous le faux prétexte de la présence d’armes de destruction massive. Quatre ans plus tard, les Américains quittent l’Irak, la queue entre les pattes, non sans avoir perdu 4 800 hommes et transformé le pays en chaos. L’Irak n’existe plus, éclaté entre les chiites majoritaires soutenus par l’Iran, les sunnites fanatisés par l’Arabie saoudite et le Qatar, et les Kurdes tout heureux de fonder un Kurdistan autonome et riche en pétrole. Onze ans plus tard, la glorieuse armée irakienne, « formée » par des instructeurs américains, se débande et livre tout son matériel, un matériel sophistiqué et coûteux fourni par les Américains, aux djihadistes irakiens.

 

En 2011, Sarkozy, Lévy et Cameron attaquent la Libye de Kadhafi. Trois ans plus tard, la Libye n’existe plus, éclatée entre les tribus arabes de Tripolitaine et de Cyrénaïque, les Berbères à l’ouest et les touaregs et les Toubous au sud. La région de Benghazi est sous le contrôle des milices islamistes : on y tue même les ambassadeurs américains ! Quant à l’arsenal de Kadhafi, il s’est évanoui dans tout le Sahel. L’armée française est priée, avec des moyens dérisoires, de réparer les c… des trois irresponsables précités au Mali et en Centrafrique, en attendant l’embrasement de toute l’Afrique septentrionale.

 

En 2013, Hollande, conseillé par Lévy et Fabius, veut rééditer « l’exploit » de son prédécesseur. Il rêve d’abattre Bachar al-Assad. Cette fois, il s’agit de l’utilisation prétendue de gaz de combat. Au dernier moment, conseillé par Poutine, Obama fait volte-face, laissant le nain de l’Elysée en tête-à-tête avec sa pitoyable impuissance. Mais la Syrie n’est pas la Libye. Elle est au cœur du Moyen-Orient et une place stratégique pour la Russie. L’Armée syrienne libre (ASL) des « démocrates » amis de l’Occident vole en éclats et laisse face à face les forces légalistes de Bachar al-Assad appuyées par les Russes et les Iraniens (via le Hezbollah libanais), et une multitude de groupes islamistes qui rivalisent de fanatisme et sont armés et financés par le Qatar et l’Arabie saoudite. Les Occidentaux ferment les yeux et, malgré l’évidence, continuent de vouloir la perte de Bachar.

 

Le printemps arabe a bien nourri les illusions des benêts occidentaux. Passée la gueule de bois, ils se sont rendu compte que, partout, il avait débouché sur une progression de l’islamisme. Seule, l’Egypte y a échappé en rétablissant une dictature militaire.

 

Revenons à l’Irak. L’EIIL est dirigée par Abou Bakr al-Baghdadi, un dur qui renvoie le patron d’al-Qaïda Péninsule arabique (AQPA), Ayman al-Zahouari, au rang de second rôle. Pire, l’EIIL a pris le contrôle du front al-Nosra d’Abou Mohammed al-Golani à la suite d’une campagne de terreur qui n’est pas sans rappeler la lutte fratricide entre le FLN et le MNA en Algérie. Autrement dit, tous les combattants d’al Nosra qui refusaient de se rallier à l’EIIL ont été liquidés sans pitié ; les autres ont compris. Les Occidentaux sont désorientés : s’ils pensaient canaliser al-Qaïda, l’EIIL, forte de 17 000 djihadistes, paraît impénétrable. Son but n’est pas le terrorisme mais d’imposer un califat, le vieux rêve de ben Laden.

 

Ici il ne s’agit pas des va-nu-pieds folkloriques qui sévissaient en Afghanistan. L’affaire est beaucoup plus grave. Elle menace l’existence même de la Syrie et de l’Irak, mais devrait aussi se propager au Liban et en Jordanie. Les Occidentaux, avec la complicité de l’Arabie saoudite, de la Turquie et d’Israël, ont généré un monstre.

 

L’ironie du sort, c’est que les Américains se tournent vers l’Iran pour tenter d’empêcher la création de ce talibanistan. Alors qu’il n’y a pas si longtemps, ils étaient prêts – et les roquets français et anglais aussi -, à bombarder l’Iran. On s’avance donc vers une inversion des alliances. Comme l’accord intérimaire sur le nucléaire iranien expire le 20 juillet, on peut penser que Téhéran va faire monter les enchères. Les Turcs vont faire la gueule, mais surtout les Israéliens...

 

Alain CAGNAT

 

http://www.terreetpeuple.com/geopolitique-reflexion-69/1092-les-pompiers-pyromanes?2d4883b0bf7db295e9826020acb22e07=b47169fd3687f162165871ebf6ef3014

 

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08/02/2014

Skinny Puppy v/s Guantanamo

Leur musique sert de torture à Guantanamo, ils réclament des royalties.

 

Après avoir appris que leur musique était utilisée pour torturer les prisonniers à Guantanamo, le groupe d'électro-rock canadien Skinny Puppy réclame 666.000 dollars (environ 500.000 euros) d'indemnités au département de la défense américain, rapportent le "Guardian" et la BBC.

"Nous leur avons envoyé une facture pour nos droits musicaux car nous considérons qu'ils sont allés trop loin en utilisant notre musique comme une arme sans notre accord", dénonce l'un des musiciens du groupe, Cevin Key, à l'antenne de CTV News, avant de souligner : "Non seulement je refuse qu'ils utilisent notre musique pour torturer quelqu'un mais en plus ils le font sans aucune autorisation." Un porte-parole de l'armée américaine a de son côté déclaré à la BBC qu'aucune facture n'avait été reçue.

Les Skinny Puppy disent avoir été prévenus par un garde de Guantanamo, "choqué" par l'instrumentalisation de la musique dont il était témoin. "Parce que notre univers musical est dérangeant, notre musique est détournée dans un mauvais sens. Mais on n'est pas d'accord avec ça", a insisté le groupe dans une interview au "Phoenix New Times", déclarant ne pas faire ça pour s'enrichir et envisager un procès en justice.

Les Skinny Puppy ne sont pas le seul groupe dont la musique a été utilisée durant les interrogatoires des terroristes présumés et "ennemis" des Etats-Unis dans la base cubaine. Les musiques de Metallica, Rage Against the Machine, Queen, Eminem et David Gray, diffusées à un volume sonore maximal, auraient servi aux mêmes fins, rapporte (aussi) le "Guardian".

 

Big Browser | 07.02.2014 à 16h38 (source)

 

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Note de Kurgan : O.K pour Metallica, Queen ou Skinny Puppy, ça roule. Mais putain, ne pas parler lorsque l'on vous balance du Eminem à fond 24 heures sur 24 alors là, respect ! Ils m'épatent les "barbus" (ou pseudo-barbus… parc'qu'avec ces abrutis de ricains, on ne sait jamais, ils ont très bien pu embarquer un ou deux popes en les prenant pour des imams !?!).

 

19/01/2014

Un bon humoriste est un humoriste mort...

Pas de doute : un bon humoriste est un humoriste mort. 

 

Depuis le déclenchement de la quinzaine de haine anti-Dieudonné, que n’a-t-on entendu sur ce « comique qui ne fait plus rire» au contraire de Desproges et Coluche, qui étaient eux des vrais humoristes avec un grand H. « Dieudonné, c’est l’inverse de Coluche et de Desproges », nous a appris Aurélie Filippetti, la ministre de la Culture, emboîtant le pas à toute la classe politique et médiatique française. « Coluche, Pierre Desproges étaient fins, au-dessus de tout soupçon, et appartenaient à la grande tradition de la farce ». Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls est allé jusqu’à célébrer « le génie de l’humour d’un Desproges » contre « les petits entrepreneurs de la haine » comme Dieudonné. 

C’est oublier un peu vite qu’à l’époque, le quotidien Le Matin de Paris (24 novembre 1980), organe officieux du parti socialiste avait comparé les amateurs de Coluche, ce « clown aux discours ambigus » aux ligueurs fascistes (22 novembre) ; et Coluche lui-même à Hitler (24 novembre) ! Dans Le Nouvel Observateur, Guy Sitbon estimait que Coluche était un « chansonnier obscène » et même un « chansonnier anarcho-poujadiste » (24 novembre 1980). Avec un art consommé de l’insinuation, Le Monde s’offusquait que le comique utilise « un certain langage de droite ou plutôt d’un langage de droite certain qui n’a rien de particulièrement original. » À droite justement, Le Figaro voyait en Coluche le « fossoyeur du music-hall » et un « manipulateur d’excréments ». À sa mort, L’Humanité n’a pas caché pas le dégoût que lui inspirait l’humoriste avec « ses éructations de beauf, bref ses facéties que lui-même, au fond, ne trouvait peut-être pas si drôles. » Paresseux par nature, les journalistes ont simplement remplacé Coluche par Dieudonné ! 

Intronisé Saint comique laïque autorisé et approuvé par le ministère de l’Intérieur, Pierre Desproges n’a lui pas toujours fait rire au parti socialiste. Dans L’histoire secrète du SOS Racisme, Serge Malik rappelle que l’insoupçonnable Pierre Desproges a refusé de prendre sa carte à SOS Racisme parce qu’il n’y avait que des juifs et des socialistes  ! Le chapitre s’intitule : « Du showbiz à l’UEJF en passant par Libé ». Et Serge Malik de conclure : « Nous eûmes alors, Hervé et moi, une longue discussion sur l’antisémitisme de Desproges. Je prêtais volontiers ce préjugé à l’humoriste disparu. Hervé tentait de me faire comprendre que ce n’était pas aussi simple. Nous étions en train de nous fâcher, lorsqu’Hervé se saisit à nouveau du téléphone, interrompant le round. Et voilà qu’il remettait ça sur le même sujet, avec Bedos cette fois. Ce dernier lui expliquera qu’être « antisémite, pour Desproges n’était sans doute pas très différent d’être “antitélé”, “ antichar”, “anticancer”, “antinucléaire”, “antijarretelles”, “antivieux”. » 

Alain Jakubowicz, le président de la LICRA a été plus conséquent que le ministre de l’Intérieur en estimant qu’aujourd’hui, il demanderait l’interdiction du fameux sketch de Desproges sur les Juifs. 
Pas de doute, un bon humoriste est un humoriste mort…


Pascal Eysseric

 

Source : Zentropa

 

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Chansonnier anarcho-poujadiste

15/01/2014

Aucune interdiction de séjour pour les idéologues...

« Longtemps la liberté d’expression aura été un bloc. La laïcité ne transigeait pas là dessus ; c’était même pour ça qu’elle stigmatisait l’obscurantisme des Églises. Aucune limite à la contestation. Aucune interdiction de séjour pour les idéologues, ni pour leurs militants, qu’ils fussent royalistes ou républicains, socialistes ou Croix-de-Feu, catholiques ou francs-maçons, communistes ou fascistes. La démocratie savait faire la différence entre ses amis et ses ennemis, elle savait mieux encore ce qui la distinguait de la dictature. On n’était démocrate que si l’on tolérait les anti-démocrates et si l’on s’abstenait d’entraîner les controverses au poste de police ou au cabinet du juge d’instruction. Avoir mauvais goût en littérature, être odieux en politique, médire du pouvoir à mots populaires, vitupérer ses principes, réprouver ses mœurs, ridiculiser ses grands prêtres et renverser ses idoles, ces séditions livresques n’exposaient personne au bannissement. La société ne s’estimait pas en danger de mort lorsqu’elle était moquée par les chansonniers, contredite par les journalistes d'opposition, secouée par les pamphlétaires. »

 

Pol Vandromme, Bivouacs d’un hussard 

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( Source texte : les-sept-couleurs )

 

19/11/2013

Contribuables : où va votre argent ?

Contribuables : où va votre argent ?

 

Il est toujours bon de citer des chiffres en cette période d'annonce d'un Noël austère pour les français et notamment pour les contribuables qui ont quelques raisons à se demander où passe leur argent. C'est pourquoi il n'est pas inutile de dénoncer régulièrement les pratiques budgétivores les plus scandaleuses, la plupart du temps pudiquement passées au bleu par les "grands" médias.

 

L'Aide Médicale d'Etat est en bonne place dans la gabegie des fonds publiques. On rappellera qu'elle consiste à assurer l'entière gratuité des soins aux clandestins c'est à dire juridiquement parlant à des délinquants car en situation illégale sur notre territoire. L'A.M.E est un des fers de lance de l'idéologie mondialiste en ce qu'elle est un appel d'air à l'immigration de peuplement allogène ; et cette institution participe à l'invasion migratoire et à l'islamisation de la France avec l'argent des français : elle a coûté 613 millions d'€uros aux contribuables entre janvier et septembre 2013, par extrapolation son coût devrait atteindre 818 millions d’€uros en fin d'année soit 16,40% de plus qu'en 2012 !

 

Joyeux Noël aux français confrontés aux taxes sur les contrats de complémentaire santé (qui atteignent 13,27%), aux déremboursements de médicaments de plus en plus nombreux et qui ne touchent plus que simples aumônes sur les lunettes ou les prothèses auditives par exemple dont on ne se dote pas par luxe mais par nécessité !

 

Joyeux Noël encore pour nos compatriotes qui seront heureux d'apprendre que le gouvernement écolo-socialiste et le président de la ripoublique à 20% de satisfaits – ont purement et simplement annulé la dette de la Guinée Bissau (8,50 millions d’€uros), comme de la Côte d'Ivoire (3,70 milliards d’€uros) et réduit la dette de la Tunisie (1 milliard d’€uros), laquelle va en outre bénéficier d'un prêt – on se doute bien à fonds perdus – de 500 millions d’€uros. Il est vrai que l'Union Européenne – alimentée aussi par les contribuables français – vient d'annuler les dettes du Tchad (442 millions d’€uros) et du Burkina Faso (623 millions d’€uros). Les picaillons spoliés aux français joyeusement distribués à des gouvernements exotiques, dont on sait bien, d'ailleurs, qu'une faible part seulement ira jusqu'à leurs administrés qui fort nombreux s'empressent de venir bénéficier de l'A.M.E chez nous !

 

Joyeux Noël enfin pour les cochons de payants, qui vont se réjouir de ce que les nombreux collaborateurs des ministres écolo-socialistes vont bénéficier de primes de fin d'année faramineuses, grâce à leurs impôts, taxes, amendes et autres rackets fiscaux. Comme on n'est jamais si bien servi que par soi même, ces messieurs dames des équipes ministérielles se partageront 20 millions d’€uros pour leur petit Noël : soit une moyenne de 12.829 € pour les 456 ronds de cuir de Ayrault, 10.098 pour les 61 de Peillon, 10.900 pour les 67 de Moscovici, 6141 pour les 252 de Valls, 5817 pour les 169 de Taubira (dont son mari tant qu'à faire), 7274 pour les 150 de Fabius, 10.142 pour les 57 écolos de Duflot

 

On ne s'étonnera donc pas d'apprendre que le gouvernement freinerait des quatre fers pour enrayer la fabrication et la mise en vente des rouges bonnets symboles de la résistance au racket fiscal et qui pourrait bien devenir une véritable insurrection contre la ripoublique et ses privilégiés.

 

Yves Darchicourt pour Synthèse Nationale

 

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