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24/10/2013

Le Livre des ombres

Gerald BROUSSEAU GARDNER : « Le Livre des Ombres »

 

Quatrième de couverture : En 1949, Gerald Brousseau Gardner, fondateur de la Wicca, en rassemblait les principaux préceptes et rituels dans son Livre des Ombres, et synthétisait ainsi la mystique de ce qu’il voyait comme un « art des sages ».

Après un itinéraire initiatique qui démarra avec le spiritualisme anglo-saxon et la théosophie, pour l’emmener jusqu’à l’étude des croyances de plusieurs peuples orientaux, Gardner revint en Angleterre et se plongea dans les mystiques païennes proto-indo-européennes, les secrets de la sorcellerie du Moyen Âge, qui pour lui en étaient l’authentique persistance, et créa son propre coven de Wiccans.

Sabbats, rituels d’initiation, obtention de visions, descente de la lune, psalmodies, sortie hors du corps, fouet et baiser, manière de consacrer les outils, pouvoir et voie octuple, sont, entre bien d’autres, dûment renseignés et détaillés dans ce Liber Umbrarum devenu mythique.

Camion Noir – 2007.

 

157 pages – 21x15 cms – 300 grammes.

Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’… mais rien de bien notable ! Intérieur sain et propre, état général entre bon+ et très bon !   

>>> 16 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.

 

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Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 22 €uros.

Ailleurs = 15 à 18 €uros sur Priceminister 

26/08/2013

Nous sommes les sorciers...

« Nous sommes les sorciers, les druides, ceux qui savent… Depuis la nuit des temps, nous appartenons à la plus ancienne organisation du monde. Quand l’homme apparut, nous étions là. Nous avons chanté les premières berceuses. Nous avons soigné les premières blessures. Nous avons calmé les premières terreurs. Nous étions ceux qui veillaient dans la pénombre. Les grottes ornées des Pyrénées se souviennent de nous, comme les premières statuettes de glaise que nous avons modelées à l’origine du monde. Nous étions présents dans les cercles de pierres, près des monolithes, des dolmens et du chêne des druides. Lorsque les Romains puis les chrétiens nous ont chassé à mort, nous nous sommes abrités dans les bois ancestraux, dans nos chaudes cavernes qui sont le ventre de notre terre maternelle. Merlin était des nôtres, comme l’étaient Gauvin et Arthur, Rabelais et Catulle, Bertrand de Born, Gilles de Retz et Jehanne d’Arc, Jacques de Molay, John Dee, Cagliostro, Nostradamus, Francis Hepburn et Gellis Duncan, Swinburne et Eliphas Lévi, Leconte de Lisle, Péladan et Maurice Magre, Fédérico Garcia Lorca, Otto Rahn, Savitri Devi, Delteil, Saint-Loup, Giono et Vincenot, et de nombreux autres bardes, mages, poètes, martyrs connus et inconnus qui ont porté notre bannière contre l’ennemi multiforme et omniprésent, l’Église et l’État. Et quand cette vermine de l’enfer que l’on nomme le christianisme soumettait tout l’Occident à l’esclavage du péché, de la mort et de la terreur, nous, et nous seuls, apportions de l’espoir au cœur de l’homme, malgré les geôles et les bûchers… »

 

Pierre Gillieth : Ombre, Éditions Auda Isarn.

 

Via : Le chemin sous les buis

http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/2013/08/20/nous-etions-la-2/

 

pierre gillieth

pierre gillieth

16/08/2013

Catalogue Livres - Août 2013

Les 5 chapitres du nouveau « catalogue livres » sont en ligne depuis hier.

 

Cliquez ici > Catalogue livres août 2013 

 

Bonne lecture et bonne chasse !

 

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03/08/2013

Science Fiction

Le premier chapitre du nouveau catalogue "Livres" et en ligne.

Science Fiction, Fleuve Noir Anticipation, Heroic Fantasy, Star Trek, Star Wars, etc…

Et c’est sur notre Bouquinorium ! 

 

Les 4 ou 5 chapitres suivants dans le courant de la semaine.

 

Bonne lecture… et bonne chasse ! 

 

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22/05/2013

Dominique Venner / 16 avril 1935 - 21 mai 2013

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Dominique Venner / 16 avril 1935 - 21 mai 2013

 

Avant de se donner la mort, hier, mardi 21 mai à 16 heures, devant l’autel de la cathédrale de Notre-Dame de Paris, l’écrivain et historien Dominique Venner a fait  parvenir une lettre à ses amis.

 

La dernière lettre de Dominique Venner.

 

Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre-Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.

Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.

Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.

Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits récents la préfiguration et l’explication de mon geste.

Dominique Venner.

 

Dominique Venner sera à jamais présent à nos côtés.

>>> http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/

 

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Blog de Dominique Venner - 21 mai 2013.

 

Les manifestants du 26 mai auront raison de crier leur impatience et leur colère. Une loi infâme, une fois votée, peut toujours être abrogée.

Je viens d’écouter un blogueur algérien : « De tout façon, disait-il, dans quinze ans les islamistes seront au pouvoir en France et il supprimeront cette loi ». Non pour nous faire plaisir, on s’en doute, mais parce qu’elle est contraire à la charia (loi islamique).

C’est bien le seul point commun, superficiellement, entre la tradition européenne (qui respecte la femme) et l’islam (qui ne la respecte pas). Mais l’affirmation péremptoire de cet Algérien fait froid dans le dos. Ses conséquences serraient autrement géantes et catastrophiques que la détestable loi Taubira.

Il faut bien voir qu’une France tombée au pouvoir des islamistes fait partie des probabilités. Depuis 40 ans, les politiciens et gouvernements de tous les partis (sauf le FN), ainsi que le patronat et l’Église, y ont travaillé activement, en accélérant par tous les moyens l’immigration afro-maghrébine.

Depuis longtemps, de grands écrivains ont sonné l’alarme, à commencer par Jean Raspail dans son prophétique Camp des Saints (Robert Laffont), dont la nouvelle édition connait des tirages record.

Les manifestants du 26 mai ne peuvent ignorer cette réalité. Leur combat ne peut se limiter au refus du mariage gay. Le « grand remplacement » de population de la France et de l’Europe, dénoncé par l’écrivain Renaud Camus, est un péril autrement catastrophique pour l’avenir.

Il ne suffira pas d’organiser de gentilles manifestations de rue pour l’empêcher. C’est à une véritable « réforme intellectuelle et morale », comme disait Renan, qu’il faudrait d’abord procéder. Elle devrait permettre une reconquête de la mémoire identitaire française et européenne, dont le besoin n’est pas encore nettement perçu.

Il faudra certainement des gestes nouveaux, spectaculaires et symboliques pour ébranler les somnolences, secouer les consciences anesthésiées et réveiller la mémoire de nos origines. Nous entrons dans un temps où les paroles doivent être authentifiées par des actes.

Il faudrait nous souvenir aussi, comme l’a génialement formulé Heidegger (Être et Temps) que l’essence de l’homme est dans son existence et non dans un « autre monde ». C’est ici et maintenant que se joue notre destin jusqu’à la dernière seconde. Et cette seconde ultime a autant d’importance que le reste d’une vie. C’est pourquoi il faut être soi-même jusqu’au dernier instant. C’est en décidant soi-même, en voulant vraiment son destin que l’on est vainqueur du néant. Et il n’y a pas d’échappatoire à cette exigence puisque nous n’avons que cette vie dans laquelle il nous appartient d’être entièrement nous-mêmes ou de n’être rien.

 

Dominique Venner

( http://www.dominiquevenner.fr/2013/05/la-manif-du-26-mai-et-heidegger/ )

 

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« Quand j’étais gamin, petit Parisien élevé au gaz d’éclairage et au temps des restrictions, mon père m’avait envoyé prendre l’air à la campagne, aux soins d’un vieux couple. Lui était jardinier, il bricolait çà et là, entre les plants de carottes et les rangs de bégonias. Le bonhomme était doux et tendre, même avec ses ennemies les limaces. Devant sa femme, jamais il n’ouvrait la bouche, à croire qu’elle lui avait coupé la langue et peut-être autre chose. Il n’avait même pas droit aux copains c’est-à-dire au bistrot. J’étais son confident, le seul, je crois, qui eut jamais ouvert le cœur à sa chanson. Il me racontait le temps lointain quand il avait été un homme. Cela avait duré quatre années terribles et prodigieuses, de 1914 à 1918. Il était peut-être un peu simple d’esprit mais son œil était affûté et son bras ne tremblait pas. Un officier avait repéré les aptitudes du bougre et fait de lui un tireur d’élite, un privilégié. Armé de son Lebel, li cartonnait ceux d’en face avec ardeur et précision, sans haine ni remords. Libre de sa cible et de son temps, exempté de la plupart des corvées, il était devenu un personnage ; Il tirait les porteurs d’épaulettes et de galons en feldgrau. Il me cita des chiffres incroyables qui avaient sans doute gonflé dans sa petite tête radoteuse en trente ans de remachouillis solitaires. Avec lui j’ai découvert cette vérité énorme que la vie d’un homme, ce ne sont pas les années misérables qui se traînent du berceau à la tombe, mais quelques rares éclairs fulgurants ; Les seuls qui méritent le nom de vie. Ceux que l’on doit à la guerre, l’amour, l’aventure, l’extase mystique ou la création. A lui, la guerre, généreusement, avait accordé quatre ans de vie ; Privilège exorbitant au regard de tous les bipèdes mis au tombeau sans jamais avoir vécu. »

« Mes choix profonds n’étaient pas d’ordre intellectuel mais esthétiques. L’important pour moi n’était pas la forme de l’Etat –une apparence- mais le type d’homme dominant dans la société. Je préférais une république ou l’on cultivait le souvenir de Sparte à une monarchie vautrée dans le culte de l’argent. Il y avait dans ces simplifications un grand fond de vérité. Je crois toujours aujourd’hui que ce n’est pas la Loi qui est garante de l’homme mais la qualité de l’homme qui garantit la Loi. »

« J’ai rompu avec l’agitation du monde par nécessité intérieure, par besoin de préserver ma liberté, par crainte d’altérer ce que je possédais en propre. Mais il existe plus de traverses qu’on ne l’imagine entre l’action et la contemplation. Tout homme qui entreprend de se donner une forme intérieure suivant sa propre norme est un créateur de monde, un veilleur solitaire posté aux frontières de l’espérance et du temps. »

 

Dominique Venner, Le cœur rebelle. 1994.

( http://hoplite.hautetfort.com/archive/2008/12/07/rebelle.html )

21/03/2013

Le Prince de ce monde

Mars & avril, mois du collector…

Et non, il ne va pas y avoir que de la musique !

 

NAHEMA-NEPHTHYS et ANUBIS : Le Prince de ce monde.

 

Quatrième de couv’ :

Le Diable connaît, à l'heure actuelle, un regain d'intérêt qui va de la fascination à l'inquiétude, de la curiosité à une certaine terreur. Car celui que le Nouveau Testament nomme "Le Prince de ce Monde" semble être plus présent que jamais. L'Eglise catholique a augmenté le nombre de ses exorcistes et des groupes sataniques et lucifériens se dévoilent au grand jour, tandis que les sorciers ont pignon sur rue.

Pour comprendre et appréhender ce phénomène, pour savoir vraiment ce qui est en cause et de quoi ou de Qui l'on parle, un ouvrage sérieux manquait. Il fallait un livre parfaitement documenté, complet, capable de clarifier le discours démoniaque, et qui fût l’œuvre non pas d'un théologien ou d'un historien, mais de véritables initiés, spécialistes en démonologie, en magie et sorcellerie, et pratiquant eux-mêmes ces arts. C'est le cas de Nahéma-Nephthys et d'Anubis.

 

"Le Prince de ce Monde" comble cette lacune et va même au-delà de toute espérance. A côté d'une analyse approfondie sur l'existence des démons, sur leur histoire, sur les pactes, les Messes Noires, les Envoûtements, cet ouvrage nous entraîne dans l'univers même de ces démons, qui s'y trouvent répertoriés les uns après les autres avec leurs apparences, leurs prescriptions magiques et leurs fonctions.
Les sorciers, les mages, les spécialistes, mais aussi les lecteurs profanes, chacun y découvrira avec une curiosité mêlée d'inquiétude ces légions terrifiantes. Outil indispensable aux travaux occultes pour les uns, lecture passionnante et pittoresque pour les autres, ce livre est indispensable pour tous ceux qui s'intéressent, de près ou de loin, aux sciences occultes.

 

Edition originale de 1993 !!!

Parue aux éditions du Savoir pour Être, collection La Grande Initiation Secrète.

360 pages – 24 x 15 cms – 612 grammes.

Etat = quelques petites marques de manipulations, mais vraiment trois fois rien ! Tranche non cassée, intérieur sain et propre, un exemplaire en bel état !

 

Pas de prix…

Nous ne désirons pas le vendre, mais l’échanger !

Et pour ce faire, nous attendons vos propositions.

 

Livre échangé, n'est plus disponible !

 

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C’est en 1993, que paraissait la première édition de cet ouvrage. Elle fut immédiatement considérée comme étant celle d’un ouvrage essentiel qui comblait des lacunes importantes dans l’étude des Sciences Occultes. Cette édition est aujourd’hui épuisée et seuls quelques rares bouquinistes en possèdent encore quelques exemplaires qu’ils mettent de côté pour les réserver à des clients passionnés. Le seul livre complet en français reprenant un documentation exhaustive qu’on aurait dû rechercher dans une multitude d’ouvrages sur le Satanisme, les magies et les sorcelleries.

 

Anubis (de son vrai nom Francis Desmedt) est né à Ixelles (Bruxelles) en 1946 et décédé en 2006. Ce fut, à la fois, un sorcier héréditaire et un sorcier par initiation. Dans la branche maternelle, sa trisaïeule était à la fois blanchisseuse et sorcière, son arrière-grand-mère magicienne "blanche" et sa grand-mère connaissait des tas de "remèdes de bonne femme". Une autre ancêtre, appelée la "Glaude", était réputée pour connaître les secrets des Meneurs de Loups et la magie des bergers. Le Maître Anubis a suivi sa propre quête ésotérique. Initié à 18 ans au Satanisme par un adepte du pays de Liège (Belgique), il a ensuite suivi quelque temps l'enseignement des Rosicruciens, des Martinistes et des Compagnons d'Isis, puis il a été initié à la sorcellerie Wicca et à la Gnose. Il s'est ensuite associé à Nahéma-Nephthys pour fonder l'Institut Abrasax (dissout en 2006) et former à son tour de nouveaux détenteurs des traditions sorcières et initiatiques. Son Coven (groupe) Wicca a été reconnu par la Wicca occidentale française et la Wicca germanique et il fut lui-même membre de la Satanic Church d'Anton Szandor La Vey (USA).

 

Grand Maître 10ème Degré de la Wicca Belgique. Grand Maître Suprême de l'Église Belge de Satan. Grand Commandeur de l'Ordre Luciférien Initiatique et de l'Église Gnostique L+C.

Décédé en 2006.

 

Nahema-Nephtys (de son vrai nom Dominique Kindermans), est née à Uccle (Bruxelles) en 1950. Elle s'intéressa très tôt à l'ésotérisme et à la spiritualité. Initiée à de hauts grades dans divers cénacles, elle se consacra pendant de nombreuses années à l'étude de l'ésotérisme hellénistique et principalement aux courants gnostiques, ainsi qu'aux antiques religions à Mystères. Sa rencontre avec le Maître Anubis lui ouvrit de nouveaux horizons plus spécifiquement sorciers, et tous les deux créèrent l'Institut Abrasax, dédié à l'enseignement de toutes les formes de magies et de sorcelleries. De formation scientifique, passionnée par les phénomènes encore inexpliqués, elle dispose aussi de vastes connaissances en philosophie, en théologie, en démonologie, en histoire et en psychologie. Elle a participé avec le Maître Anubis à diverses émissions télévisées et radiophoniques.

 

(Amazon.fr, à l’occasion de la ré-édition de l’ouvrage en 2012). 

 

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Ailleurs = de 25 à 46 €uros sur abebooks.fr pour cette édition originale de 1993. 

 

>>> https://sites.google.com/site/themysbox/rue-des-petits-papiers/travaux-articles-et-autres-textes/etude-sur-le-luciferisme-contemporain-en-france 

02/03/2013

De l’art de la sidération

Extrait de « La guerre des mots », d’Ivan Karpeltzeff

( Les Éditions de la Forêt / 2005 )  

 

De l’art de la sidération

 

Pour décourager les velléités de regroupement contre ses premières menées subversives, on s’efforcera par ailleurs d’insuffler aux individus le sentiment de leur impuissance : il faut les « sidérer » (disait Babeuf), les inhiber, les rendre isolés, déroutés, ridicules. Dans cette optique, le « Peuple » n’est plus qu’une vague silhouette de carton sans visage, qu’on brandit habilement pour engendrer une race de bovins apathiques et craintifs, ceux que Bernanos appelait les « décolorés »…

(…)

Isolés, déroutés, ridicules ? Qu’on aille pas croire qu’il faut pour cela de sombres et subtiles manipulations machiavéliques d’intellectuels pervers, à l’usage d’intellectuels tout aussi pervers de l’autre camp, comme les médias aiment à caricaturer – dans le registre « feuilletons », mais bien sûr surtout pas dans le registre « information » – la guerre des services secrets. Au contraire, la manipulation s’en prend au cadre de la vie quotidienne, et des exemples sont hélas indispensables pour montrer à quel point deviennent nocives des fabrications, admises comme des évidences, qui devraient tout au plus faire rire, ou hausser les épaules, les citoyens d’une culture qui aurait échappé à la gangrène constructiviste :

– Citons d’abord les « journées mondiales » de ceci ou de cela, en observant, en une sorte de pléonasme surréaliste, qu’il y en a plusieurs chaque jour ; et en soulignant que les journées mondiales de ceci ou cela sont passées de mode : il n’y a plus guère désormais que des journées mondiales contre ceci ou contre cela… même si le « contre » peut encore être retournée en « pour » par les techniques de trafiquage du vocabulaire examinées plus haut. N’y a-t-il pas une « Journée mondiale pour le refus de la misère et de l’exclusion » ? Toujours l’incantation totémique : comme si « militer pour le refus » de la misère avait le moindre lien avec la suppression de cette dernière… On nous pardonnera aussi – ou pas – de rappeler qu’il y a quelques années, la première « Journée mondiale contre le SIDA » fournit l’occasion d’innombrables lapsus qui la transformaient en « Journée mondiale pour le SIDA »… mais étaient-ce réellement des lapsus ? On pourra remarquer enfin que le choix des thèmes met parfois en exergue l’incohérence essentielle de la pensée politkor, à laquelle il arrive de « se prendre les pieds dans le tapis » : ainsi par exemple de la « journée mondiale de la femme » : les « chiennes de garde », qui devraient hurler à la mort leur indignation que 364 jours par an (365 les années bissextiles) soient dédiés à l’homme, sont pourtant les premières à encenser cette manifestation « sexiste »… Et vous rappelez-vous le « développement durable », épinglé plus haut dans cet ouvrage comme un chef-d’œuvre de perversion ? Voici qui est confirmé, puisqu’il va avoir droit non pas à sa journée, mais à une semaine entière… distinction qui mériterait une place d’honneur sur la scène de la « Journée mondiale du rire » qui, curieusement, ne figure pas dans la collection.

– Voyez ensuite la technique qui consiste à culpabiliser, voire à diaboliser, un acte social en lui-même complètement neutre ; une application caricaturale en est en ces temps très à la mode : « l’automobiliste, voilà le Grand Satan ». Il roule trop vite ? Qu’on le pende ! Il a bu un coup de trop ? Qu’on le fusille ! Il lui manque une vignette, une pastille verte, une carte grise, verte ou arc-en-ciel ? Qu’on l’écartèle ! Le pauvre conducteur est transformé en un ahurissant avatar du « salaud » au sens de Sartre. Nous ne serions plus étonnés que les pouvoirs publics lancent une campagne sur le thème : « Faut-il rétablir la peine de mort pour le conducteur qui a passé à l’orange ? » ; et qu’elle recueille 90, voire 100 ou 110% de « oui »… Nous sommes même prêts à croire les pauvres automobilistes assez traumatisés pour accepter à plat ventre un aménagement du code de la route qui leur imposerait de ne rouler de jour qu’avec un casque (« d’un modèle agréé » et donc soumis à une taxe, bien évidemment), un gyrophare, tous feux allumés et klaxon bloqué ; ce ne seraient plus des capitaines, mais des généraux de gendarmerie auxquels les politiques intimeraient l’ordre de venir cautionner « dans le poste » de telles calembredaines… pendant qu’ils continueraient bien sûr, au nom de la liberté, d’avoir des pudeurs de vierges effarouchées pour refuser le dépistage de la drogue au volant et, au nom de la lâcheté, de ne jamais citer dans les causes d’accidents les insuffisances des infrastructures routières ; sans que cela les empêche, bien sûr, d’empocher avec une prestesse de vieilles professionnelles le fric des amendes.

– L’automobiliste n’est pas le seul « salaud », loin s’en faut : il y a, en bonne place, le fumeur ; l’artisan obligé de travailler au noir pour retarder son assassinat par le fisc et l’URSSAF (pour celui-là une précision technique s’impose : il n’est salaud que s’il est blanc ; d’ailleurs sinon, le fisc et l’URSSAF ne le voient pas) ; le gosse – aussitôt puni par son instituteur, pardon son « professeur des écoles » – qui n’amène pas son paquet de riz à l’école pour les pauvres affamés du Tiers-Monde ; l’ignoble individu qui refuse de donner à toute la cohorte agressive des racketteurs humanitaires qui tendent leur sébiles à la porte du supermarché ou de la station de métro ; celui, encore plus infect, qui ne se laisse pas dépouiller par des « jeunes qui expriment leur mal-être » ; le paysan qui ose se plaindre que des « ravers » aient saccagé sa récolte ; la jolie fille et la petite vieille, qui – même si leurs raisons sont bien différentes – ont le culot de se boucler chez elles au coucher du soleil… Bref, le miroir déformant des médias renvoie à tous l’image d’une caricature de « salaud » : quand tous les miroirs renvoient cette image aux « pauvres gens » tous les jours, comment ne finiraient-ils pas par craquer, et y croire ? C’est bien le but recherché…

L’efficacité de cette technique de « salopage » est grandement renforcée par son matraquage incessant ; mais il faut avoir bien présent à l’esprit qu’elle est fondée à l’essentiel sur une réalité biologique : le courage est une vertu rare chez les hommes. Dans leur immense majorité, ceux-ci, quand ils sont confrontés à des comportements qu’au fond d’eux même ils réprouvent, « s’écrasent » dès lors que la manifestation de cette réprobation peut être dangereuse pour eux… Qu’on songe seulement aux incessantes agressions des voyous ethniques dans les transports en commun, pour lesquelles les médias soulignent complaisamment la lâcheté des témoins (« dans le wagon, personne n’a bougé ») : on doit certes s’en désoler, mais aussi constater que cette veulerie, outre qu’elle est souvent inexplicable au regard des risques physiques encourus, n’a pu se banaliser qu’après l’aboutissement d’un long processus de désagrégation morale. Il faut être réaliste, et surtout ne pas penser qu’on pourra transformer, d’un coup de baguette magique, des moutons en héros ; on doit par contre s’inspirer de la valeur d’exemple du héros (dont le caractère fondamental a été remarquablement mis en lumière dans les œuvres de Jean Haudry), chacun à la mesure de ses moyens : c’est par de petits gestes de résistance, même s’ils semblent au début dérisoires, que commence le « déconditionnement » des moutons ; et c’est en les multipliant, puis en les amplifiant progressivement, qu’on refera des moutons des hommes.

 

Ivan Karpeltzeff

( La guerre des mots / Les Éditions de la Forêt – 2005 )

> http://www.leseditionsdelaforet.com/  

  

Ivan Karpeltzeff, La guerre des mots, Les Éditions de la Forêt, cartouches, identité

 

Acheter le livre : http://www.leseditionsdelaforet.com/content/view/16/27/

 

29/01/2013

Gisors et l’énigme des Templiers

Jean MARKALE : « Gisors et l’énigme des Templiers »

 

Pourquoi Philippe le Bel a-t-il ordonné la destruction de l’ordre du Temple ?

Quel rôle ont joué les Templiers à Gisors ? Des secrets, un trésor sont-ils enfouis dans les souterrains de l’ancienne forteresse ? Quels buts poursuivaient ces « pauvres chevaliers du Christ » ? Avaient-ils une mystérieuse mission et, si oui, laquelle ? Quel était l’inavouable secret pour lequel ils sont morts ? Pourquoi, tout en se prétendant chrétiens, reniaient-ils Jésus ? A quelles pratiques et rites pervers se livraient-ils ?

Dans le respect le plus total des sources historiques, Jean Markale s’efforce d’éclairer le lancinant mystère des Templiers en isolant les faits irréfutables des hypothèses trop souvent avancées sans fondement.

 

France Loisirs – 1987 – 317 pages – 23 x 14,5 cms – 550 grammes.

( Le plus grand des deux, à gauche sur la photo )

8 pages de photographies et reproductions (N&B) hors-texte. Reliure cartonnée bleue avec titre et nom d’auteur en blanc sur tranche + jaquette couleurs.

Etat = Excellent ! Sain et propre, jaquette en très bon état, c’est du tout bon !

>>>  5 €uros. / disponible.

 

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Egalement disponible dans la version 2006 :   

 

Jean MARKALE : « Gisors et l’énigme des Templiers »

 

Le mystère de la destruction de l’ordre du Temple décidée par Philippe le Bel, il y a près de sept siècles, n’a jamais cessé d’obséder les esprits. Mais depuis une vingtaine d’années, le problème soulevé par son anéantissement a rebondi et donné lieu à diverses interprétations, parfois sensationnelles, notamment à propos de Gisors et de son étrange château. Faisant œuvre d’historien, mais ne négligeant aucune source d’informations, Jean Markale traque l’énigme de Gisors et de ses occupants : qui étaient ces pauvres chevaliers du Christ ? Quels buts poursuivaient-ils ? Avaient-ils une mystérieuse mission et, si oui, laquelle ? Quel était l’inavouable secret pour lequel ils seraient morts ?

Et surtout, pourquoi le serment des Templiers les obligeaient-ils à renier le Christ ?

 

France Loisirs – 2006 – 313 pages – 22 x 13,5 cms – 420 grammes.

8 pages de photographies et reproductions (N&B) hors-texte. Reliure cartonnée noire avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs.

Etat = Un tout petit « choc » (2mm) en bas de tranche, ainsi que quelques assez nettes marques de stockage et manip’ sur la jaquette. L’extérieur est un petit poil moins bien que le précédent (la version de 1987), mais il est tout de même très bien, sain, propre, et tout et tout… bref : bon pour le service !

>>> 4 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible. 

 

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Jean MARKALE

15/12/2012

Camion Noir - Gardner, Lucifer & LaVey...

Octobre – décembre 2012 :

Trimestre de l'apocalypse ! ( J-6 )

Satan et Lucifer sortent de l'Ombre !

 

Gérald BROUSSEAU GARDNER : « Le Livre des Ombres »

 

Quatrième de couverture : En 1949, Gerald Brousseau Gardner, fondateur de la Wicca, en rassemblait les principaux préceptes et rituels dans son Livre des Ombres, et synthétisait ainsi la mystique de ce qu’il voyait comme un « art des sages ».

Après un itinéraire initiatique qui démarra avec le spiritualisme anglo-saxon et la théosophie, pour l’emmener jusqu’à l’étude des croyances de plusieurs peuples orientaux, Gardner revint en Angleterre et se plongea dans les mystiques païennes proto-indo-européennes, les secrets de la sorcellerie du Moyen Âge, qui pour lui en étaient l’authentique persistance, et créa son propre coven de Wiccans.

Sabbats, rituels d’initiation, obtention de visions, descente de la lune, psalmodies, sortie hors du corps, fouet et baiser, manière de consacrer les outils, pouvoir et voie octuple, sont, entre bien d’autres, dûment renseignés et détaillés dans ce Liber Umbrarum devenu mythique.

 

Camion Noir – 2007.

157 pages – 21x15 cms – 300 grammes.

Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’… mais rien de bien notable ! Intérieur sain et propre, état général entre bon+ et très bon !   

>>> 16 €uros. / Vendu !

 

Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 22 €uros.

Ailleurs = 15 à 18 €uros sur Priceminister

 

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Gavin BADDELEY : « L’essor de Lucifer »

 

Quatrième de couverture : Le satanisme est la religion du rebelle. Des premières messes noires aux spectaculaires blasphèmes antichristiques de Marilyn Manson, le satanisme est, depuis des centaines d'années, l'expression théâtralisée du véritable individualisme.

L'Essor de Lucifer est la première histoire populaire du satanisme : l'auteur se livre à une analyse fouillée et exhaustive, rendant accessible à la fois le texte de l'Ancien Testament et les paroles des groupes de Black Metal.

Largement illustré, cet ouvrage se propose d'explorer et d'éclairer les secrets les plus noirs de la culture populaire. Il livre enfin les interviews exclusives du défunt fondateur de l'Église de Satan, (Anton LaVey) ; du mage et réalisateur Kenneth Anger ; ainsi que des fondateurs démoniaques du Black Metal. Vous y trouverez, entre autres, les derniers mots enregistrés d'Euronymous, membre de Mayhem brutalement assassiné.

 

Camion Noir – 2006.

461 pages – 21x15 cms – 610 grammes.

Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’… mais rien de bien notable ! Intérieur sain et propre, état général entre bon+ et très bon !   

>>> 20 €uros. / Vendu !

 

Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 28 €uros.

Ailleurs =  10,70 à 25 €uros sur Priceminister / 19 €uros sur Amazon.fr

 

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Anton Szandor LaVey : « La bible satanique »

( Première édition / Avon Books 1969 )

 

Quatrième de couverture : Appelé Le Pape Noir par nombre de ses disciples, Anton LaVey a fait le premier pas du chemin qui allait le mener vers la Grande Prêtrise de l'église de Satan lorsqu'il avait 16 ans et qu'il jouait de l'orgue au cours d'un carnaval :

« Le samedi soir, je voyais des hommes convoiter des femmes en train de danser à demi-nues, et le dimanche matin, alors que je jouais de l'orgue dans la messe évangéliste à l'autre bout du carnaval, je voyais ces mêmes hommes assis avec leur femme et leurs enfants, demandant à Dieu de les pardonner et de les libérer des désirs de la chair. Et le samedi suivant, ils étaient de nouveau au carnaval ou dans quelque autre endroit permissif. C'est là que j'ai compris que l'Eglise chrétienne prospère sur l'hypocrisie, et que la nature charnelle de l'homme est indéniable ! »

Dès ce moment de sa vie, son chemin était tracé.

Finalement, au cours de la dernière nuit d'avril de l'année 1966 – Walpurgisnacht, la nuit du plus important rassemblement des personnes s'adonnant à la sorcellerie –, LaVey s'est rasé le crâne dans la tradition des anciens bourreaux et a annoncé la formation de l'Eglise de Satan.

 

Camion Noir – 2006.

319 pages – 21x15 cms – 490 grammes.

Etat = Quelques (inévitables, mais infimes) traces de stockage/manip’… mais rien de bien notable, si ce n’est un petit « choc » en haut de tranche. Intérieur sain et propre : bon+ …

>>> 18 €uros. / Vendu ! 

 

Prix neuf / indiqué sur le livre – quatrième de couv : 26 €uros.

Ailleurs =  24 €uros sur Priceminister / 15 €uros sur Leboncoin.fr

 

>>> http://www.obskure.com/fr/dossier-kulture.php?id=59

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10/12/2012

Robin HOBB : L’Assassin royal

Robin HOBB

 

Cycle de « L’Assassin royal »

 

Collection « Piment » de chez France Loisirs.

13 volumes… pas loin de 5700 pages

d’une fantasy « baroque » à la fois sombre et « haute en couleurs »

qui ne pourra qu’envoûter tout amateur du genre !

 

 

Le cycle de L'Assassin royal est une série de romans de Robin Hobb, parue entre 1995 et 2004, qui se déroule dans un monde médiéval-fantastique.

Cette série de treize romans (dans la version française) est en fait la fusion de deux énormes trilogies bien distinctes. The Farseer Trilogy (que l'on pourrait traduire par La Trilogie des Loinvoyant) et The Tawny Man (soit L'Homme fauve ou L'Homme doré).

Hobb n'avait (en fait) pas prévu de suite à sa première trilogie, et croyait les aventures de Fitz et de ses compagnons terminées, après leur premier cycle d’aventures. Mais elle écrivit un autre cycle (Les Aventuriers de la mer) se situant dans le même univers (bien qu’en des lieux et avec des personnages différents)… et de là, décida finalement (en 2001), de donner une suite à L'Assassin royal, sous la forme d'une nouvelle trilogie intitulée The Tawny Man.

(Ces derniers romans reprenant la plupart des personnages du premier cycle et se déroulant, d’un point de vue chronologique, après le cycle des Aventuriers de la mer).

 

Le pitch…

Dans un monde différent du nôtre, un univers médiéval-fantastique de rois, de guerriers, de pirates et de chevaliers, le peuple est en paix. Heureux, malgré les assauts occasionnels des « pirates rouges » sur leurs côtes. Mais voilà qu'on découvre le jeune Fitz, fils « bâtard » de Chevalerie, prince-héritier de la famille royale des Loinvoyant.

Il grandit sans père (Chevalerie abdique lorsqu'il apprend son existence), à la garde de Burrich, maître des écuries… Le monde de la cour du roi, dans lequel il évolue, n'est pas sans danger : au milieu des complots et des trahisons, Fitz n'a souvent que peu de liberté. Il doit allégeance (et vie sauve) au roi Subtil Loinvoyant, son grand-père…

Un jour, un mystérieux vieillard fait irruption dans sa vie et commence très vite sa formation d'assassin royal. Car Fitz n'est pas n'importe qui : il devient une arme au service du pouvoir, il est celui qui peut changer le monde par ses actions… C'est du moins ce que lui affirme l'étrange Fou, son ami. Mais Fitz est-il prêt à exécuter sans discuter des ordres qu'il ne comprend pas ? Fitz doit aussi apprendre à maîtriser ses deux magies. La première est autorisée, louée, même si elle entraîne une dépendance : c'est l'Art. La seconde doit rester cachée, car elle est honteuse, et ses détenteurs souvent poursuivis et exécutés par le peuple : il s'agit du Vif, qui lui permet d'établir des liens privilégiés avec les animaux.

Très vite, d'autres questions se posent. Comment faire comprendre au roi que son fils préféré, Royal, le trahit ? Et Fitz peut-il aimer Molly, son amie d'enfance, même si la raison s'y oppose ? Au même moment, grandit sur les côtes la menace des Pirates venus du nord, des hommes sanguinaires qui détruisent tout sur leur passage, et qui laissent derrière eux des hommes qui sont à peine plus que des animaux, privés de tout sentiment… Comment mettre fin à ces massacres ? Le jeune homme devra apprendre à garder sa place au sein d'une société qui peut aussi bien l'idolâtrer que le haïr, l'aider ou le tuer.

( Wikipedia )

( http://fr.wikipedia.org/wiki/Cycle_de_l%27Assassin_royal )

( http://fr.wikipedia.org/wiki/Robin_Hobb )

 

IMPORTANT !!!

Voir ici >>> http://bouquinorium.hautetfort.com/archive/2012/12/10/robin-hobb-les-aventuriers-de-la-mer.html

Pour ce qui en est du (très complémentaire) cycle Les Aventuriers de la mer.

Se déroulant dans le même univers et à la même époque que L'Assassin Royal.

 

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Robin HOBB : « L’apprenti assassin - Tome 1 »

Dans le royaume des Six-Duchés battu par les vents, Fitz, bâtard d’un prince, rejeté par sa famille, est élevé à la cour par le maître d’écurie de son père. Mais le roi décide de lui enseigner une science redoutable, don de sa lignée, les Loinvoyant : l’art de la magie. Et qui plus est, dans l’intérêt du royaume, il devra également apprendre à devenir un assassin…

France loisirs – 2001 – 566 pages – 380 grammes.

 

Robin HOBB : « L’assassin du roi - Tome 2 »

Fitz, le bâtard royal, a survécu à sa première mission meurtrière qui a failli lui coûter la vie. Revenu à la cour, il retrouve celle qu’il a aimée mais ne peut lui déclarer sa flamme sous peine de la condamner. Autour du trône s’élaborent de complexes intrigues dont il pourrait être la victime. Fin stratège, il parvient à contrer certains desseins malveillants alors que les pirates rouges menacent le royaume.

France loisirs – 2001 – 437 pages – 310 grammes.

 

Robin HOBB : « La nef du crépuscule - Tome 3 »

Dans le château de Castelcerf, la lutte pour la succession du vieux roi Subtil est ouverte. Le prince héritier, Vérité, consacre ses forces à éloigner les pirates rouges. Son frère, le prince Royal, cherche à l’éliminer à son profit. Mais dans sa conquête du trône, il doit affronter le courageux Fitz, la reine et le maître assassin qui connaît tout de l’âme humaine. Leur loyauté au prince Vérité suffira-t-elle à sauver le royaume des Six-duchés.

France loisirs – 2001 – 497 pages – 350 grammes.

 

Robin HOBB : « Le poison de la vengeance - Tome 4 »

Au royaume de Castelcerf, le prince Royal est parvenu à s’emparer du pouvoir, au détriment de l’héritier légitime, son frère aîné, le prince Vérité. Partagé entre des valeurs civilisatrices et la Nature qu’incarne son vieux complice, le loup  Œil-de-Nuit, Fitz décide de tuer l’usurpateur. Mais au palais où il s’introduit, ses ennemis lui tendent un piège.

France loisirs – 2001 – 414 pages – 290 grammes.

 

Robin HOBB : « La voie magique - Tome 5 »

Fitz, « l’assassin royal », a fini par échapper aux soldats du cruel prince Royal. Parvenu à Lac-Bleu, il traverse le fleuve, mais est repris par ses poursuivants. Il réussit à s’évader et n’a plus qu’une idée en tête : retrouver son maître, le prince Vérité, l’héritier légitime du trône.

France loisirs – 2001 – 404 pages – 290 grammes.

 

Robin HOBB : « La reine solitaire - Tome 6 »

Dans les montagnes, Fitz, la reine Kettricken, le fou, Astérie la ménestrelle et la mystérieuse Caudron, poursuivis par le clan de Royal, cherchent désespérément Vérité. Est-il encore vivant ? La contrée, habitée par d’étranges présences, est de plus en plus difficile à pénétrer. Et quelles sont ces statues gigantesques qui jalonnent leur route et paraissent vivantes ?

France loisirs – 2003 – 396 pages – 280 grammes.

 

Robin HOBB : « Le prophète blanc - Tome 7 »

Quinze années ont passé et Fitz, réfugié dans une chaumière isolée, espère avoir enfin trouvé la paix. Mais c’est sans compter sur son destin. Car on a besoin de lui à Castelcerf, où règne la reine Kettricken, pour retrouver le prince héritier mystérieusement disparu. Les obstacles ne vont pas tarder à surgir de tous côtés…

France loisirs – 2003 – 442 pages – 310 grammes.

 

Robin HOBB : « La secte maudite - Tome 8 »

Rude mission que Fitz Chevalerie accepte de la reine Kettricken : ramener à Castelcerf le jeune prince héritier, disparu en des contrées lointaines dans de mystérieuses conditions. La tâche n’est pas aisée, car le prince a été envoûté par une secte qui poursuit de sombres visées sur le royaume. Une nouvelle fois, Fitz, le bâtard royal, va servir jusqu’au péril de sa vie ces princes auxquels l’attachent les liens du sang.

France loisirs – 2004 – 448 pages – 320 grammes.

 

Robin HOBB : « Les secrets de Castelcerf - Tome 9 »

Après avoir ramené sain et sauf le prince Devoir au château de Castelcerf, une nouvelle mission attend bientôt Fitz. Car les fidèles insoumis du prince Pie menacent le royaume des Six-Duchés d’une terrible guerre civile. Mais, cette fois, Fitz, toujours prêt à défendre la cause du royaume, doit se démultiplier…

France loisirs – 2004 – 472 pages – 380 grammes.

 

Robin HOBB : « Serments et deuils - Tome 10 »

A Castelcerf, rien n’est apaisé dans la forteresse ancestrale où la menace des Pie se fait toujours plus pressante. Ceux-ci, pétris de haine, ont réussi à introduire des espions à la Cour même. Fitz est également tourmenté : son fils délaisse son apprentissage pour une belle jeune fille et le vieil Umbre, autrefois si lucide, semble perdre la tête : il dévoile l’ambition insensée d’entrer dans l’héritage royal. Entre inquiétude, colère et désespoir, Fitz doit constamment jongler pour sauver l’avenir du royaume tant sont nombreux les dangers qui les menacent, lui et la dynastie.

France loisirs – 2005 – 453 pages – 320 grammes.

 

Robin HOBB : « Le dragon des glaces - Tome 11 »

Pour épouser Elliania des îles d’Outre-mer, le prince Devoir doit lui rapporter la tête du dragon Glasfeu, prisonnier de la glace sur l’île d’Aslevjal. Mais à peine le campement installé, des évènements inquiétants mettent en péril l’expédition. Fidèle parmi les fidèles, Fitz Chevalerie fait  partie du voyage. Son dernier, car il est écrit que si Fitz entreprenait ce voyage… il mourrait.

France loisirs – 2005 – 404 pages – 290 grammes.

 

Robin HOBB : « L’homme noir - Tome 12 »

Sur Aslevjal, Fitz retrouve le Fou venu mener à bien sa mission – et dans laquelle le bâtard royal doit perdre la vie. Fitz devra livrer son plus terrible combat, écartelé entre la fidélité qu’il voue aux Six-Duchés et l’amour qu’il porte au Fou. Tout à la fois, il devra affronter Burrich et le poids de ses remords, Umbre qui veut le contraindre à obéir, les Outrîliens manipulés par la femme pâle, et la puissance effrayante de Tintaglia, la femelle dragon, prête à tout pour ramener au jour l’unique mâle survivant de son espèce… Mais qui est-ce mystérieux Homme noir qui hante le glacier ?

France loisirs – 2006 – 394 pages – 280 grammes.

 

Robin HOBB : « Adieu et retrouvailles - Tome 13 »

Sur l’île d’Aslevjal, nos héros se retrouvent face à leur destin. La mort moissonne, les énigmes se résolvent, les serments se dénouent. Une fois encore, Fitz affronte de terribles épreuves qui l’emportent au seuil de l’extrême douleur et du renoncement. Impuissant, il doit dire adieu à certains de ses plus vieux amis. Pourra-t-il au moins sauver le Fou, enfoui dans les cachots du palais de glace ?

France loisirs – 2006 – 366 pages – 260 grammes.

 

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Collection « piment » de chez France Loisirs.

5693 pages / Poids total = environ 4,100 kg.

Nous n’allons pas vous faire une description détaillée de l’état de chaque livre, et ce volume par volume ! Mais plutôt vous faire un descriptif global de la série… et – de là – vous dire qu’hormis quelques petites marques de lecture et manip’, ainsi qu’une ou deux (très) fines cassures sur la tranche de 3 des 13 tomes ; les livres sont en excellent état, les intérieurs sont sains et propres… et l’ensemble tout à fait bon pour le service !!!

et l’ensemble tout à fait bon pour le service !!!

 

Les 13 volumes = 50 €uros. / Vendus !  

 

( Rappelons, pour mémoire, qu’il vous faudrait débourser 9,95 €uros par volume – et donc pas loin de 130 €uros – si vous vouliez vous offrir l’intégralité de ce cycle chez France Loisirs !!! )…

 

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Pour ce qui en est du (très complémentaire) cycle Les Aventuriers de la mer.

Se déroulant dans le même univers et à la même époque que L’Assassin royal.

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