29/10/2012
Belle Gunness
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l’apocalypse ! ( J-53 )
La brune Gunness…
Tueuse en série !
Philippe CHASSAIGNE :
« Belle Gunness, la première tueuse en série des Etats-Unis »
Le 28 avril 1908, entre 4 et 5 heures du matin, un violent incendie détruit une ferme située en périphérie de La Porte, petite ville de l’Indiana. En fin d’après-midi, on dégage les corps calcinés de deux fillettes et d’une femme, tenant un petit garçon dans ses bras. A l’évidence, la propriétaire des lieux, Belle Gunness, a péri dans les flammes avec ses trois enfants. Mais pourquoi son cadavre a-t-il la tête coupée… et où est donc la tête ?
Ce ne sera toutefois pas la seule question à laquelle le shérif Smutzer devra tenter de répondre, car en fouillant les décombres on découvre des fosses, et dans les fosses des cadavres ! L’enquête se resserre alors sur Belle Gunness : ses origines norvégiennes et pauvres, sa soif d’argent, ses deux veuvages suspects, son talent à piéger ses proies comme une araignée dans sa toile ! Entre 12 à 18 victimes avérées et 40 supposées…
Dans un récit précis et palpitant, l’auteur relate l’incroyable périple assassin de la première tueuse en série des Etats-Unis.
Editions Larousse – Collection « L’histoire comme un roman » – 2011.
252 pages – 21 x 14 cms – 370 gammes.
Broché / reliure souple.
Quelques petites traces de stockage et/ou manip’ sur plats, ainsi qu’un petit choc en haut de tranche… mais rien de grave, l’exemplaire est entre bon+ et très bon !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Prix neuf / en librairie = 18 €uros.
15:27 Publié dans Livres, Serial Killers | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philippe chassaigne, belle gunness, tueuse en série, serial killer, enquêtes
25/10/2012
Le pendule de Foucault
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l’apocalypse ! ( J-57 )
Keep your secrets secret !
Umberto ECO : « Le pendule de Foucault »
A paris, le soir du 23 juin 1984…
Dans le Conservatoire des arts et métiers, où majestueusement oscille le pendule de Foucault, un homme observe avec révérence et crainte prémonitoire le prodige : c’est Casaubon, le narrateur, venu de Milan après l’appel angoissé de son ami Belbo qui se trouve en danger de mort. Casaubon se cache dans le gothique musée de la technique, s’y laisse enfermé, bien résolu à attendre que sonne l’heure du rendez-vous fatal…
C’est ainsi que commence ce thriller au souffle gigantesque. L’abbaye du Nom de la Rose a éclaté : notre terre entière est en jeu, à notre époque… Trois amis, travaillant dans une maison d’édition milanaise, ont publié, entre autres, des textes qui explorent le savoir ésotérique, hermétisme, alchimie, sciences occultes, sociétés secrètes… Et comme tous trois, jonglant avec l’histoire des Templiers, des Rose-Croix, des francs-maçons, les textes de la Kabbale, naviguant avec humour et ironie sur les courants souterrains qui parcourent la culture occidentale, sont beaucoup plus intelligents que leurs auteurs fanatiques, ils ont décidé, par jeu et pour déjouer l’ennui, d’imaginer un complot planétaire noué au fil des siècles pour la domination du monde. Mais un beau jour réapparaissent en chair et en os les chevaliers de la vengeance…
D’Europe en Afrique, du Brésil au Proche-Orient, des parchemins cryptés aux computers, de Voltaire aux Jésuites, de Descartes à Hitler, des druides aux druses, l’histoire, la science, les religions, tout notre savoir passe, avec une fluidité géniale, dans ce roman d’initiation aux mille mystères, où ne manquent ni les rites sataniques et les meurtres rituels, ni les passions et les amours que font naître les inoubliables Lia, Amparo, Lorenza ; ni les amitiés fortes fondées sur la noblesse et la liesse de l’esprit… Immense livre où, sous une érudition universelle frappée au sceau final de la sagesse, bat le cœur de l’auteur qui accompagne, à travers l’espace et le temps, les fascinants mouvements du Pendule, quand la réalité dépasse et précède la fiction…
Note de Kurgan : Absolument incontournable !!!!! Mais attention, mieux vaut avoir d’assez sérieuses connaissances en histoire, politique, occultisme et ésotérisme et (surtout) apprécier sincèrement ces divers domaines, avant que de se plonger dans ce livre…
Grasset – 1990 – 657 pages – 24 x 19,3 cms – 850 grammes.
Couverture souple.
Etat = D’assez nettes marques de stockage et/ou manipulations sur plats (notamment deux traces de pliures sur la couv), mais rien de foncièrement dramatique… et comme la tranche est intacte et l’intérieur propre et sain, l’exemplaire peut sans problème être estampillé comme « bon » ! >>> 4 €uros. / Vendu !
Prix éditeur ( pour un exemplaire neuf ) = 22,14 €uros.
N.B = Un seul exemplaire en stock en ce moment, mais à l’instar du tout aussi mythique Matin des magiciens (voir l’Antiquorium / Catégorie Jacques Bergier) c’est un ouvrage que nous essayerons de vous proposer plus ou moins en permanence…
Et donc, une note qui sera régulièrement (re)mise à jour !
15:04 Publié dans Esotérisme/occultisme, Historica, Livres, Primis Tenebris | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : umberto eco, le pendule de foucault, templiers, rose-croix, franc-maçonnerie, kabbale, troisième reich, politique, science, histoire, philosophie, sociétés secrètes, sociétés initiatiques, mystères, histoire mystérieuse, complots, etc...
23/10/2012
L’œil du sorcier
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l'apocalypse ! ( J-59 )
Du fond de sa tombe…
L’œil noir du sorcier vous regarde !
Philippe ALFONSI & Patrick PESNOT : « L’œil du sorcier »
Dans ce livre les auteurs ne prennent pas parti. A un dossier inépuisable, la sorcellerie, ils versent un nouveau témoignage. Car les faits qu’ils racontent, les personnages qu’ils mettent en scène, ont réellement existé. Au XXe siècle, dans notre Europe des ordinateurs, la sorcellerie intéresse aussi bien les esprits dits simples que ceux dits scientifiques.
De quoi s’agit-il ici ? De l’histoire d’un vétérinaire de grand renom, qui, fortune faite, quitte sa Normandie pour son Berry natal. Le docteur Lavaronnière est un vétérinaire apprécié. C'est un scientifique reconnu. Il sait qu'il n'est pas fou. Et pourtant, pour avoir vu ses brebis décimées, sa santé décliner, ses voisins pratiquer des incantations, il en a maintenant la certitude : les sorciers sont parmi nous. Au fil des jours, il partage avec nous sa véritable descente aux enfers, ponctuée de désenvoûtements, de rencontres avec des leveurs de sorts ou avec quelques curés exorcistes.
Son carnet de bord est entrecoupé d'une enquête menée par deux journalistes d'investigation, qui apportent leur propre éclairage à l'affaire en recueillant témoignages et points de vue. Un récit qui fait aussi la jonction avec cette âme paysanne parfois fruste qui tient comme acquis ce que d'autres n'osent envisager : la sorcellerie existe.
France Loisirs – 1974 – 447 pages – 15,5 x 25 cms – 800 grammes.
12 pages de photographies hors-texte. Reliure éditeur cartonnée, entoilée de noir, avec titre et noms d’auteurs sérigraphiés en orange sur tranche + jaquette couleurs.
Etat = La tranche est très légèrement « talée » sur le bas (2mm) / la jaquette présente un petit défaut de pelliculage (visible sur la photo) ainsi que quelques inévitables petites marques de manip’ et d’usage (mais rien de bien grave, ni déchirures ni taches) / et une dizaine de pages ont été légèrement humidifiées sur leur bord inférieur (3 à 4 mm, hors-texte)…
Mais bon, tout ceci n’est véritablement que vétilles ; l’ouvrage est sain, propre et en très bon état ! Tout à fait bon pour le service ! >>> 7 €uros. / Vendu !
Ailleurs = de 7,50 €uros ( jacquette abîmée ) à 18 €uros ( comme neuf ) sur Priceminister.
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L’œil du sorcier / entretien avec Philippe Alfonsi
( Revue Question De. No 38. Octobre 1980 )
Auteur de « L’œil du sorcier » (Robert Laffont, en collaboration avec Patrick Pesnot) et réalisateur d’une enquête télévisée sur la sorcellerie, « Légendaires », Philippe Alfonsi a approché le monde des sorciers en tant que journaliste, c’est-à-dire « par métier ». Parti sur le terrain — dans le Berry et en Normandie — en positiviste, il découvre progressivement un système culturel qui a résisté à des décennies de scientisme, un phénomène social profond, dérangeant, un univers où la pensée magique reste terriblement opératoire.
Comment avez-vous découvert la sorcellerie ?
Tout à fait par hasard ou plus exactement par métier. Dans le courant de l’été 1970, Pierre Dumayet nous avait demandé à Patrick Pesnot et à moi de mener une recherche sur la sorcellerie en France pour une émission télévisée. Nous sommes donc allés dans le Cotentin, en Normandie, dans le Berry, dans le Limousin, et nous avons découvert, à notre grande surprise, quelque chose que l’on ignorait totalement, un monde parallèle, un phénomène social souterrain dont l’ampleur nous a stupéfaits. Dans notre esprit, la sorcellerie ne touchait que quelques paysans attardés ; mais nous avons dû nous rendre à l’évidence ; il s’agit d’un phénomène qui touche également en profondeur des notables, des médecins, des commerçants, etc. Nous avons alors réalisé un premier sujet « Sorciers de village », composé d’une série d’interviews et de reportages sur les leveurs et jeteurs de sorts, sujet qui obtint un succès fou de curiosité et d’étonnement. Nous avions rencontré la même année dans le Berry un personnage fascinant, ancien vétérinaire, qui présentait un intérêt tout particulier dans la mesure où il venait d’un monde rationnel, scientifique, ce qui ne l’avait pas empêché de « tomber » véritablement en sorcellerie. A partir de son expérience, nous avons écrit « L’œil du sorcier », résultat d’une longue enquête de plus de deux ans dans le Berry et en Normandie. Nous avons essayé de réécrire son histoire à la première personne, en reconstituant son journal intime sur la base de longues interviews.
Quelle fut votre approche du monde du sorcier ?
Notre travail était un travail de journaliste. Nous avons une certaine conception de notre métier qui consiste à aller sur le terrain à intervalles réguliers durant deux ou trois semaines, à tisser un réseau d’informations en recoupant des témoignages, mais aussi en nous effaçant devant les certitudes de nos « acteurs », soucieux de restituer leur vérité sans toutefois épouser leur cause. Nous n’avions pas la prétention de faire de la sociologie, mais de manifester clairement que dans la France de 1970-80, il y a une forte survivance de la pensée et du comportement magiques, et ce dans toutes les couches de la société. Nous voulions montrer l’étendue de ce phénomène de la façon la plus directe, c’est-à-dire par le récit. Quant à savoir si c’est vrai ou faux, c’est un problème que nous n’avons pas attaqué de front et sur lequel nous ne voulions pas trancher.
Comment comprendre cette survivance des pratiques magiques
et du système de croyances qui les sous-tend ?
Il y a là certains éléments de réponse extrêmement intéressants. D’une part, le monde contemporain avec sa vitesse exponentielle de croissance qui laisse toutes les valeurs sur le bord du chemin, écrase les traditions, pulvérise les habitudes, ce monde angoisse terriblement les gens. Il n’y a pas aujourd’hui une seule province de France où l’on ne recherche pas ses racines, de la photo jaunie de son arrière-grand-père aux mariages d’antan. Les gens s’accrochent aujourd’hui aux choses stables, profondes et font retour vers leur passé magique, ce qui n’a pas toujours été le cas. La guerre de 14-18, par exemple, a constitué une cassure très nette dans le phénomène de la sorcellerie, lequel n’est réapparu de façon importante que dans les années 50, c’est-à-dire avec le décollage industriel du pays. Les campagnes se sont vidées à une vitesse extraordinaire, les gens ont perdu pied et se sont raccrochés au magique. Ce qui va de pair avec le « plongeon » de l’idéologie dominante, le catholicisme, dont la présence et la pratique se sont progressivement effondrées. Les gens sont déboussolés ; ils ne trouvent plus comme autrefois le contact avec leur curé de village. Quant au médecin de campagne, coincé entre les feuilles de sécurité sociale et les clients qu’il est obligé de faire au pas de course, il n’est plus disponible. L’élément le plus important de la thérapeutique, le rapport humain, a presque disparu. Ce rapport, ce besoin de communication, on va le chercher chez le rebouteux ou le sorcier.
Le recours au magique n’est-il pas aussi une sorte de résistance culturelle ?
Après avoir lu notre livre, une prêtresse vaudou nous a dit qu’il s’agissait d’un envoûtement tout à fait « classique » car la sorcellerie a toujours été l’arme des pauvres contre les riches. C’est exactement ce qui est arrivé à notre vétérinaire qui possédait le savoir et la richesse. Il a voulu jouer les fiers-à-bras chez les paysans. Le résultat ne s’est pas fait attendre ; ses affaires ont périclité, ses moutons sont morts inexorablement, sa femme est tombée malade, et lui-même a fini par mourir « de sorcellerie ». On sait, par ailleurs, qu’en Afrique, la sorcellerie a joué un rôle de résistance extraordinaire contre les Blancs.
Comment un médecin, qui vient d’un univers rationnel, peut-il tomber en sorcellerie ?
Vous savez, la sorcellerie est très contagieuse. Nous ne restions jamais plus de trois semaines dans le Berry pour ne pas basculer, parce qu’il faut le reconnaître, ça va vite. Tous les gens que j’ai vus tomber en sorcellerie vivaient des expériences dramatiques, parmi les plus épouvantables que l’on puisse faire. Il ne faut pas croire que les beaux esprits soient à l’abri d’une « culbute ». Je vous ai dit que le phénomène touchait également des médecins. La plupart des médecins (et des patients !) ont cru à la toute-puissance de la médecine. Je crois que c’est cette mauvaise approche de la science qui fait que beaucoup de médecins s’intéressent aujourd’hui au paranormal et à l’irrationnel. Ils n’ont peut-être pas su prendre la véritable mesure de la science, attendre de la voir évoluer par sa propre critique, en reconnaissant ses limites. L’envoûté de notre livre, le Dr. Lavaronnière, qui avait un terrible besoin de pouvoir sur la nature, sur les choses, n’a pas supporté de voir des sorciers de village guérir des bêtes qu’il avait condamnées. Sa curiosité maladive, élément fondamental de la psychologie du personnage, l’a poussé à passer de l’autre côté, à voir ce qu’il y avait derrière. Il y a là un péché d’orgueil d’un scientifique qui a mal compris sa science.
La sorcellerie n’a-t-elle pas également un aspect régulateur,
en canalisant l’agressivité sur un mode symbolique ?
Les gens qui se tournent vers la sorcellerie, dans les villes comme dans les campagnes, ont évidemment des problèmes sociaux et psychologiques graves. Le paysan dont les bêtes crèvent comme des mouches, avant d’avoir une réaction de désespoir, va se raccrocher à la vieille tradition et se faire rassurer par le leveur de sorts. En général, quand on se heurte à la dureté du monde environnant, on essaie de s’échapper par la voie magique, de faire intervenir des forces irrationnelles. Le sorcier joue nettement un rôle de régulateur social. Un cas, que nous citons dans notre livre, démontre de façon convaincante la fonction intégrante de la sorcellerie : une femme apprend que son mari a eu un « accident » incestueux avec sa fille. Au lieu de courir chez les gendarmes, elle dit à son époux : « Si t’as fait ça, c’est qu’on t’a jeté un sort ». Et ils vont rendre visite au sorcier qui donne une explication — « l’envoûtement » — à un comportement monstrueux. On cherche un responsable x et, une fois que celui-ci est trouvé, nommé, les choses rentrent dans l’ordre ; le comportement hors norme est « normalisé ». Il en va de même pour les conflits de voisinage qui ne se résolvent pas, la plupart du temps, par des coups de fusil, puisqu’il existe justement un médiateur, le sorcier. Bien sûr, la sorcellerie a également une fonction de déséquilibre dans la mesure où elle est noire. Mais, en fait, on ne trouve jamais de jeteurs de sorts. Les Berrichons ont une belle formule pour expliquer cela : « Qui peut le bien peut le mal ». La sorcellerie est toujours double : pour équilibrer M. A., on déséquilibre M. B. C’est une espèce de dialectique d’énergie où il n’y a jamais de premier responsable.
Le vétérinaire « envoûté » de votre livre dit « Ce qui est terrible,
c’est de savoir qu’un sorcier vous veut du mal. C’est là tout son pouvoir. »
N’y a-t-il pas autre chose ?
La sorcellerie est psychologiquement opératoire. A partir du moment où vous savez que quelqu’un vous veut du mal, vous commencez à être déséquilibré. Il se joue avec le leveur de sorts une sorte de psychanalyse sauvage, un transfert où celui-ci vous prend en charge, cherche à maîtriser, à nommer l’angoisse informe que vous avez en vous. Les névroses peuvent être guéries par la sorcellerie. Lorsque le leveur de sorts désigne un responsable, votre malaise informe « prend forme » et commence à se dissiper car vous avez quelqu’un contre qui vous battre. A la limite, ce n’est même pas la peine de savoir si la sorcellerie est opératoire au niveau de sa pratique rituelle, puisqu’elle l’est au niveau psychologique. Il ne me semble pas du tout impossible que les phénomènes dits occultes jouent sur des lois qui seront peut-être un jour formulées de façon scientifique, mais, à mon avis, la question est presque secondaire. Ce qui est certain, c’est que pour les gens qui y croient, ça marche.
Il existe dans certaines tribus africaines une maladie mentale tout à fait intégrée culturellement qui s’appelle la thanatomanie. Pour les médecins, c’est une maladie mentale, mais pour les Africains, il s’agit évidemment d’un comportement social, ou plus précisément d’une maladie de sanction. Quand vous avez transgressé un tabou, le sorcier vous ordonne d’aller dans votre case où vous vous laissez mourir en deux semaines. C’est une sorte de schizophrénie galopante qui a même été observée chez des Africains sortis de leur milieu depuis plusieurs générations, par exemple des servantes noires en Louisiane. L’intégration culturelle, le fait d’adhérer pleinement à un système fort — et la sorcellerie en est un — est donc fondamental.
Que peut-on dire sur le devenir de la sorcellerie ?
Je crois qu’elle est appelée à un bel avenir et qu’elle va même se renforcer. Le sacré institutionnel ne tient plus le coup, n’est plus en mesure de répondre à la demande spirituelle vigoureuse et massive des gens. Reste la poésie violente du sacré maudit, sauvage, noir…
Propos recueillis par Zeno Bianu.
http://www.revue3emillenaire.com/blog/loeil-du-sorcier-en...
17:59 Publié dans Esotérisme/occultisme, Livres, Primis Tenebris | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : philippe alfonsi, patrick pesnot, l’œil du sorcier, sorcellerie, ésotérisme, occultisme, terroir, livre, témoignage, enquête, livres
11/10/2012
Les Slaves et le Paganisme
WATRA est une organisation Polonaise de Wroclaw qui a pour but de faire découvrir ou redécouvrir la religion ancestrale et originelle des Slaves, mais également de défendre et de faire reconnaître celle-ci par les autorités. Forte de ses nombreux adhérents, WATRA a su s’imposer comme une valeur sûre pour la survivance du paganisme en Pologne… et, ce faisant, se faire l'égale des plus célèbres organisations rodnover des autres pays slaves.
Deux de ses membres sont également auteurs d'ouvrages ayant trait aux Dieux et pratiques anciennes du peuple slave. Le premier, intitulé : Rodzima Religia i Filozofia, a été écrit par Rafal Merski, fondateur et prêtre de l’organisation. Le second : Bogowie Slowian (Les Slaves et le Paganisme) a été écrit par Wieslaw Jagodzik, polonais vivant en France et membre de WATRA.
Ce livre, écrit en français (fait rarissime en notre pays, dont les bibliothèques ne comptent que très peu d’ouvrages sur le sujet), vous permettra de découvrir une religion souvent mal connue… en abordant tout autant l’histoire du peuple slave (de ses origines géographiques à son apparition dans les premières chroniques), que celle de ses Dieux ; la création de l’univers et de la terre, les différents rituels, les endroits sacrés ou la façon de concevoir le paganisme de nos jours…
Un ouvrage essentiel pour ce qui en est de la découverte de ce peuple et de sa foi originelle.
Par ces ouvrages, WATRA espère rallumer la flamme éteinte par plus de mille ans de christianisme imposé, rassembler toujours de plus en plus de personnes autour du feu sacré et des Dieux ; leur rappeler leur identité et leur appartenance à ce merveilleux héritage légué par leurs ancêtres.
Dans un monde où les valeurs se perdent, laissons les divinités païennes reprendre la place qui est la leur… et resserrons nos liens avec une Nature trop longtemps bafouée.
Pour vous procurer cet ouvrage (que je viens, en ce qui me concerne, de commander à l’instant… future chronique détaillée à venir !) rien de plus simple… contactez directement son auteur via l’adresse mail suivante : Wieslaw6@hotmail.fr
Ou, si vous êtes timide !? ( Haha ! )
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Dadźbóg
18:46 Publié dans Livres, Yggdrasil | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bogowie slowian, les slaves et le paganisme, watra, wieslaw jagodzik, svarga, livre, livres, paganisme
10/10/2012
Le dragon de Cracovie
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l'apocalypse ! ( J-72 )
Un nouvel Adolf !?
SAN-ANTONIO : « Le dragon de Cracovie »
Editions France loisirs - 1999.
328 pages – 24,5 x 16,5 cms – 550 grammes.
Reliure cartonnée recouverte d’un tissu rouge bordeaux + jaquette couleurs.
Quelques petites traces de stockage et de manipulation sur la jaquette, ainsi qu’une « pastille rouge » autocollante dans le coin supérieur droit…
Sans quoi il est nickel, comme neuf !
>>> 5 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
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Frédéric Dard a utilisé le pseudonyme San-Antonio pour signer un certain nombre de romans qui n'ont aucun rapport avec les aventures de San-Antonio et de Bérurier. C'est le cas pour ce roman, écrit en 1998. Point, donc, de commissaire, ni de Bérurier, pour nous aider à mener l'enquête…
C'est un imberbe et frêle Autrichien qui, en 1988, va conduire la danse, les danses plutôt, parce qu'il est spécialement doué pour les torgnoles et les effacements en tout genre. Pour connaître son ascendance, il faut remonter au 19 novembre 1937, à l'issue d'une longue journée de négociation entre Lord Halifax et le maître de l'Allemagne nazie. Une migraine tenaillait ce dernier et il fit appel aux services de l'infirmière de nuit. Cet homme qui « pensait les dents serrées pour être certain de ne pas se livrer », s'abandonna aux mains de la gretchen, puis entre ses cuisses, après avoir appris qu'ils descendaient tous deux de la même souche des « Hitler ».
La semence chancelière, neuf mois plus tard, se matérialisa en un Richard qui, lui même, procréa un fils, en 1970. La grand-mère Frida, certaine d'être l'unique femme à assurer la continuité terrestre de son exceptionnel amant d'une nuit et soucieuse d'immortaliser l'origine du gamin (qu'elle avait su garder secrète), exigea qu'il se prénomme Adolf.
1988… Adolf a dix-huit ans. Orphelin, il vit chez sa grand-mère.
« Le dimanche, pour peu que le temps ne fût point hostile, il aimait à flâner par les hauts lieux touristiques de la ville (Vienne), non qu'il prisât la foule, mais elle attisait en lui un étrange sentiment de haine qui le fortifiait ».
C'est une altercation violente avec un sexagénaire photographe qui scelle son destin : le vieil homme doit verser, pour son agression, une amende d'un million de schillings au jeune homme, au titre des dommages et intérêts. Adolf quitte Mutti Frida, pour s'installer à Munich…
Ce n'est que le début d'un périple, parsemé de cadavres de tous poils, qui s'achèvera à Cracovie. Chaque nouveau chapitre présente un rebondissement et jamais on ne peut prévoir où nous emmène San-A, ni chez qui ! Et la chute est pour le moins inattendue.
Pour les aficionados, point n'est besoin de détailler davantage cette épopée ; l'art de l'extermination est développé à grands renforts d'éléments tous plus « san-antoniesques » les uns que les autres. Et il est fécond, le bougre !
Bien sûr, le vocabulaire est savoureux : « J'ai fait carrière, dit Frédéric Dard, avec un vocabulaire de 300 mots. Tous les autres, je les ai inventés ».
Une pauvre femme paralytique sera traitée de tas de ferraille. Lola, la femme-singe, n'était qu'une guenilleuse. Certains ont le cœur chamadeur. Alfonso avec sa tête à impériale, n'a de cesse que de chausser sa voisine…
Fouinez, fouinez dans les pages… vous allez savourer ces vocables succulents !
Un petit bijou pas assez connu !
( http://livresouverts.canalblog.com/archives/2010/07/01/18462384.html )
14:51 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : san-antonio, le dragon de cracovie, frédéric dard, polars, hitler
08/10/2012
Franz BARDON
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l'apocalypse ! ( J-74 )
Magie Noire… Magie Blanche…
Où sont les limites ?
Franz BARDON :
« Le chemin de la vraie initiation magique »
Traduction française de Georges Fleury.
Dieter Rüggeberg Verlag / 1981.
346 pages / 20,5 x 13,5 cms / 450 grammes.
Reliure cartonnée recouverte d’un tissu bleu + jaquette couleurs.
Quelques traces de stockage et/ou manipulation(s) sur la jaquette (essentiellement des petits frottements, visibles sur les photos), mais rien de bien grave/notable. Reliure et intérieur en parfait état, bel exemplaire ! >>> 30 €uros. / Vendu !
Ailleurs = 33,30 €uros sur priceminister / 37 euros chez moryason.com
58,95 $ sur/chez biosfaire.com / entre 36 et 38 €uros sur amazon.fr
Introduction :
Celui qui ne croit trouver dans ce livre qu’une collection de recettes, grâce auxquelles il pourrait parvenir facilement et sans peine aux honneurs et à la gloire, à la richesse et à la puissance, ou qui voudrait y chercher le moyen de détruire ses ennemis, qu’il sache, dès ces premières pages, qu’il sera déçu et mettra ce livre de côté.
De nombreuses sectes et organisations concernées par Voie spirituelle croient que la Magie est synonyme de sorcellerie et un procédé tendant à conjurer les puissances de Ténèbres. Il n’est donc pas étonnant que certaines personnes soient effrayées rien qu’à ce simple mot de "Magie". Les joueurs de passe-passe, les prestidigitateurs, les charlatans et leurs émules usent à mauvais escient de ce terme et ceci a beaucoup contribué au mépris dont a été victime, à ce jour, le Savoir Magique.
Dans la plus haute Antiquité, cependant, les Mages étaient considérés comme de grands Initiés et de la Science que ceux-ci détenaient est issu le mot "Magie". Les prétendus magiciens ne sont donc pas des Initiés mais uniquement des imitateurs maladroits des Mystères et ils exploitent la plupart du temps l’ignorance et la crédulité d’un chacun ou de tous afin de réaliser leurs desseins égoïstes au moyen du mensonge et de l’imposture. Le véritable Mage méprise pareils procédés.
En réalité, la Magie est une Science Sainte. Elle est, dans le vrai sens du terme, la Science des Sciences car elle enseigne la connaissance et l’usage des Lois Universelles. Entre la Magie et la Mystique il n’existe donc pas de différence parce que, s‘agissant de la Véritable Initiation, les mêmes principes et les mêmes Lois s’appliquent et la façon dont celle-ci est nommée par les approches diverses qu’elle suscite, n’a, en conséquence, aucune importance. Toute Science, en fait, peut être employée à des fins aussi bien bonnes que mauvaises, selon l’usage que fait l’homme de la Loi régissant les polarités universelles, positive et négative, active et passive, porteuse de Lumière ou dépourvue de cette dernière. Il en est ainsi du couteau qui sert habituellement à couper du pain mais qui peut devenir une arme dangereuse dans les mains d’un assassin. Cette conduite dépend toujours de l’orientation éthique de l’individu. Dans ce livre donc, j’ai attribué à l’élève le nom de "Mage"car celui-ci représente le Titre qu’octroie la plus haute Initiation et la plus auguste des Sciences.
Par ailleurs, de nombreux lecteurs savent que le Tarot n’est pas un jeu de cartes destiné à la divination mais un livre recelant les plus grands Mystères et dont l’étude de son symbolisme conduit à l’Initiation. Le premier symbole de ce livre, le Bateleur ou Mage, représente la maîtrise des Éléments et donne la clé du premier Arcane: le Mystère du Tétragramme ou Nom Kabbalistique et ineffable de Dieu, le "Yod Hé Waw Hé". Dans cette compréhension réside la Porte de l’Initiation et le lecteur saisira par lui-même toute la signification de cette carte et la portée universelle de son application. Dans aucun ouvrage paru jusqu’à présent le véritable sens de cette Carte n’a été expliquée avec autant de clarté qu’ici.
Le système pédagogique que je divulgue dans ce livre, avec le plus grand soin et une circonspection extrême ; n’est pas le fruit d’une spéculation individuelle et intellectuelle ; il est le produit réel de trente années de recherches, de pratique d’exercices et de fréquentes comparaisons avec beaucoup d’autres systèmes expérimentés dans les Loges de diverses sociétés secrètes ou dans le cadre de la Science Orientale laquelle n’est ouverte qu’à de rares individus, particulièrement doués. Il se fonde aussi sur ma propre pratique et a été conçu pour que tous le mettent en oeuvre. Tous mes élèves le considèrent comme étant le meilleur et le plus accessible.
Cependant, cela ne signifie pas – et je ne le dirai donc pas – que tous les aspects de la Magie et de la Mystique ont été traités dans ce livre, car si l’on voulait mettre par écrit tout ce que représente cette haute Science, de nombreux volumes seraient nécessaires. Néanmoins, on peut affirmer à juste titre que cet ouvrage est réellement la Porte d’entrée de la Véritable Initiation, la Première Clé permettant d’appliquer les Lois Universelles. Je ne contesterai pas que certaines oeuvres de quelques auteurs offrent, çà et là, des passages révélateurs mais il sera difficile de trouver un livre où le Premier Arcane du Tarot soit décrit avec autant de précisions qu’ici. Dans la présentation de ces Leçons, je me suis efforcé d’être aussi clair que possible afin de rendre les plus hautes Vérités accessibles à tous bien que cela m’ait coûté parfois un travail ardu pour exprimer celles-ci en de mots simples. Mon effort a-t-il abouti ? Je laisse le lecteur en être juge. Dans certains cas je me suis volontairement répété afin d’insister sur des passages particulièrement importants et éviter ainsi au lecteur de revenir à des pages précédentes.
L’Humanité s’est souvent plainte de ce que les élèves des Sciences Secrètes n’ont généralement pas l’opportunité d’être initiés par un Maître ou Directeur de Conscience (Gourou) et de ce que la véritable Connaissance n’est offerte qu’à de rares individus ou des êtres doués. Beaucoup de chercheurs sincères durent parcourir des piles de livres avant de recueillir, ici et là, une petite part de Vérité. Aussi, celui qui s’adonne sérieusement à sa propre évolution et n’étudie pas cette Science Sacrée uniquement dans le but de satisfaire sa curiosité ou son avidité, trouvera-t-il dans cet ouvrage le Guide réel vers l’Initiation. En effet, aucun Initié, aussi élevé que soit le rang qu’il occupe, ne peut donner à un débutant plus que ce que le présent livre propose. Si donc, l’élève intègre et le lecteur attentif trouvent ici ce qu’ils ont cherché en vain ailleurs, l’auteur estime avoir atteint pleinement son but.
Franz Bardon.
15:25 Publié dans Esotérisme/occultisme, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : franz bardon, le chemin de la vraie initiation magique, initiation à la magie, magie, magie blanche, tarot, ésotérisme, occultisme
01/10/2012
Danse avec le diable
Octobre – décembre 2012 :
Trimestre de l’apocalypse ! ( J-81 )
Sabbats et sorcières !
Daniel LACOTTE :
« Danse avec le diable – Une histoire des sorcières »
« Le Malin pointe le bout de son nez dès que les premières peuplades préhistoriques tentent de se concilier les faveurs de l’au-delà ». En partant de cette approche inédite, Daniel Lacotte nous raconte comment le diable sut se métamorphoser et s’adapter à chaque période de l’histoire.
Devins, magiciens, sorciers et guérisseurs côtoient jeteurs de sort ou dieux cornus. De rumeurs en dénonciations et tortures, des innocents sont jetés au feu purificateur des bûchers qui ne s’éteindront qu’à la fin du XVIIe siècle. La Philosophie des Lumières et les avancées de la science finiront par détruire la version d’un diable réel, présent ici bas. Il sera aussitôt remplacé par un malin sournoisement chevillé au corps de chaque individu. Le monde change, mais d’immuables démons continuent de nous hanter.
Table des matières : Les métamorphoses de Satan (Devins, magiciens ou guérisseurs – Totem, amulette et religion – Cornes du diable contre dieux cornus – Magie d’Etat et sorcellerie populaire – Petits dieux convertis en démons – De Briançon à Lausanne en passant par Arras – Cherchez la femme) / A la gloire de Lucifer (La rencontre du malin – Messe noire et sabbat – Jeteurs de sort – Art divinatoire et magie blanche – Loups-garous) / La chasse aux sorcières (De la rumeur à l’accusation – La prison – Tortures pour un aveu – Le feu purificateur – Contagions névrotiques) / Destins tragiques (Gilles de Rais – Nicole de Vervins – Marthe Brossier – Louis Gaufridy – Urbain Grandier – Thomas Boullé – Les sorciers de La Haye-du-Puits – L’affaire des Poisons – Les sorcières de Salem) / Nouveaux tentateurs (L’ombre des Lumières – Les « modernes » – Immuables démons).
France Loisirs – 2003 – 249 pages – 20,5 x 13 cms – 300 grammes.
Reliure cartonnée brune avec titre et nom d’auteur en doré sur tranche + jaquette couleurs.
Etat = Quelques toutes petites marques de manipulation et/ou stockage sur la jaquette… sans quoi il serait « comme neuf » ! Très bel exemplaire, nickel !
>>> 6,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = 9 €uros sur abebooks.fr et livre-rare-book.com
10 €uros sur maremagnum.com / 11,99 €uros sur ebay
17:52 Publié dans Esotérisme/occultisme, Livres, Primis Tenebris | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : daniel lacotte, danse avec le diable, une histoire des sorcières, sorcellerie, sabbat, diable, sorcier, satan, lucifer, envoûtements, urbain grandier, loudun, gilles de rais, salem, messe noire, messes noires, magie noire
03/09/2012
Hajime Sorayama
Hajime Sorayama : Sorayamart
Hajime Sorayama, c'est la passion du corps féminin jusqu'aux excès les plus troublants.
Bondage, piercing, sado-masochime, fétichisme… qu'elles soient humaines ou artificielles, les créatures sublimes et soumises du peintre ne semblent connaître aucun tabou et se prêtent avec soumission à ses sulfureuses fantaisies.
Une galerie de corps mis à nu et parfois aussi à dure épreuve, qui nous entraîne dans un univers érotique inattendu où éléments technologiques et organiques se combinent jusqu'à l'extrême.
Editions Soleil / 2000.
30,5 x 24 cms / 860 grammes.
Reliure cartonnée + jaquette de protection / 96 planches couleurs.
Etat = Quelques infimes marques de stockage/manip’ sur la jaquette (mais alors infimes), sans quoi il est nickel ; pas totalement « comme neuf »… mais presque !
>>> 33 €uros. / Vendu !
Ailleurs = entre 28 et 40 €uros (selon l’état) sur priceminister (enfin non, y’a un cinglé qui le propose à 72 €uros, mais les fous ne sont pas pris en compte dans les statistiques D.U.K.E !)…
Entre 35 et 40 €uros sur abebooks.fr / 36,98 €uros sur amazon.fr
39,50 €uros sur bdzone.com / 37,50 €uros sur daipen.com / etc…
>>> http://www.bedetheque.com/album-63589-BD-Sorayamart.html
>>> http://hajimesorayama.com/
17:47 Publié dans Eros über alles, Livres | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : hajime sorayama, livres d'art, livres érotiques, érotisme, pin-up, illustration, peinture
20/06/2012
Science Fiction - Heroic Fantasy
Poul ANDERSON, Clark ASHTON SMITH, Jean-Pierre ANDREVON, Isaac ASIMOV,
BLADE, René BARJAVEL, J.G. BALLARD, Leigh BRACKETT, Carolyn J. CHERRYH,
Ray BRADBURY, Dan DASTIER, Arthur C. CLARKE, Fleuve Noir Anticipation,
Philip K. DICK, P.J. FARMER, Joe HALDEMAN, Robert HEINLEIN, Frank HERBERT,
L. Ron HUBBARD, Robert E. HOWARD, Gérard KLEIN, Aldous HUXLEY, Fritz LEIBER,
Jean-Louis LE MAY, Maurice LIMAT, Abraham MERRITT, Anne Mc CAFFREY,
Michael MOORCOCK, Pierre PELOT, Catherine L. MOORE, Daniel PIRET,
A.E. VAN VOGT, Hubert REEVES, Jacques SADOUL, Robert SILVERBERG,
Norman SPINRAD, Clifford D. SIMAK, Présence du Futur, Star Wars, Kurt STEINER,
Theodore STURGEON, Star Trek, J.R.R. TOLKIEN, Jack VANCE,
Jack WILLIAMSON, H.G. WELLS, Marion ZIMMER BRADLEY…
Si ces noms vous parlent… C’est ici :
http://bouquinorium.hautetfort.com/archive/2012/06/20/catalogue-livres.html
Pardon… ici :
http://bouquinorium.hautetfort.com/catalogue-livres-aout-2013
60 pages ( format A3 – Verdana taille 9 / 180.000 caractères, l’équivalent d’un livre
de poche ! ) de Science Fiction et d’Heroic Fantasy à des prix allant de 1,50 à 3 €uros !
Le rendez-vous pour le moins incontournable des fans de S.F !!!!!…
22:01 Publié dans Blog, Catalogue Livres - téléchargement .pdf, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : science fiction, catalogue livres juin 2012
24/05/2012
Divin Marquis
Donatien Alphonse François de SADE
SADE : « Journal inédit »
Les deux cahiers retrouvés du journal inédit de Sade datant de 1807-1808 et de 1814 nous permettent de compléter notre connaissance du « Divin Marquis ». Le second cahier se révèle particulièrement émouvant, puisque le marquis de Sade y consigne les derniers événements de sa vie jusqu’à l’avant-veille de sa mort.
Une importante préface de Georges Daumas situe ces cahiers dans la biographie de Sade. Et un appendice intitulé Notice sur Charenton ( par H. de Colins ) ainsi que des notes tirées de l’ouvrage Traité médico-philosophique sur l’aliénation mentale ( Philippe Pinel – 1809 ) nous font ( s’il en était besoin ) comprendre ô combien il ne devait pas être agréable d’être interné au tout début du 19ème siècle !!!…
Un ouvrage aussi rare que passionnant, pour qui s’intéresse à la vie et à l’œuvre de Sade.
Idées NRF – Gallimard / 1970.
184 pages au format « poche » / 120 grammes.
Une petite marque de style sur premier plat (visible sur photo), sans quoi il est en parfait état ; tranche non cassée, intérieur propre et sain !
>>> 3,50 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
Ailleurs = 7 €uros sur abebooks.fr
Entre 3 et 14,90 €uros (!?!?!) sur Priceminister
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SADE : « La marquise de Gange »
Si l'assassinat de la marquise de Gange est objectivement assez atroce, il est impossible de ne pas sentir, à travers les témoignages fragmentaires qui nous sont parvenus, que les âmes de ses criminels beaux-frères, dans leur secret, devaient l'être bien plus encore. C'est là où résidait l'intérêt psychologique et romanesque d'une affaire de cette nature. Et le marquis de Sade, pour s'en être avisé, et avoir su la revêtir de toutes les richesses de son imagination, a donné naissance à un pathétique récit, lequel, s'il ne peut être mis au rang de ses ouvrages capitaux, n'en constitue pas moins une manière de petit chef d’œuvre où son génie luciférien a emprunté à la pitié des couleurs nouvelles. ( G.L )
Livre de poche – 1974 – 293 pages – 160 grammes.
Une fine pliure sur tranche et quelques petites marques de stockage sur couv’ et quatrième, mais ça va, tout à fait O.K !
>>> 1,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
SADE : « La philosophie dans le boudoir »
Sade (1740-1814) reste l'homme de tous les scandales. Scandales provoqués par ses orgies et ses abus, scandales de ses emprisonnements arbitraires, scandales de son œuvre, où ce matérialiste, cet athée à la violence de pamphlétaire fait triompher le Vice.
La Philosophie dans le boudoir, récit, par des libertins dépravés, de l’apprentissage érotique d’une pure jeune fille, laquelle devient, en une journée, un monstre de lubricité, peut être considérée comme la somme de sa doctrine.
Cette exaltation de l’érotisme le plus débridé, de la cruauté la plus raffinée est l’un des textes les plus crus, les plus osés de la littérature française. Sade, génie sulfureux, aimait à allier luxure et philosophie, pornographie et psychologie, et pouvait décrire la plus noire débauche dans un style lumineux. Le « divin marquis » fut aussi grand débauché que grand prosateur.
Maxi poche / Classiques français – 1999 – 220 pages – 125 grammes.
Etat = Une fine pliure sur tranche et quelques petites marques de stockage / manip’ sur la couv’, mais rien de bien méchant, tout à fait bon pour le service !
>>> 1,80 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
SADE : « Les infortunes de la vertu »
Les Infortunes de la vertu (1787), première version de Justine…, contient, sans les excès pornographiques d'écrits ultérieurs, tout ce qui fait le génie sulfureux du Divin Marquis : spectacle complaisant de la luxure et de la perversité, imagination débridée mais aussi philosophie et psychologie, l'ensemble servi par la langue et le style lumineux d'un grand prosateur.
France Loisirs – 1975 – 221 pages – 18,5 x 12 – 270 grammes
Reliure cartonnée façon cuir bleu + dorures ( tranche et plats ).
Quelques infimes marques de stockage mais très bon état général.
>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
SADE : « Les crimes de l’amour »
Faxelange qui se signale par l'intérêt de sa fiction et la netteté de son style ; Florville et Courval où l'héroïne la plus vertueuse et la plus aimable est portée à de multiples crimes dont un seul suffirait à faire d'elle un monstre ; La comtesse de Sancerre, cette phèdre sans remords, au paroxysme du drame sombre ; Eugénie de Franval enfin, l'une des œuvres de Sade les plus fortes et les plus hardies : ces quatre nouvelles permettent d'embrasser d'un seul regard la surprenante variété du génie de notre auteur, dans un domaine où la littérature française n'offre rien d'aussi vigoureux ni d'aussi parfaitement original. ( Gilbert Lely )
Presses de la Renaissance / Club pour vous – Hachette.
1975 – 447 pages – 20,5 x 13 – 510 grammes.
Reliure cartonnée façon cuir vert + dorures – Une trace de choc en bas de premier plat ( visible sur la photo ) ainsi que sur le coin supérieur gauche de quatrième… mais rien de bien grave, intérieur sain et propre, tout à fait O.K.
>>> 3 €uros. / Vendu ! Temporairement indisponible.
16:02 Publié dans Eros über alles, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : marquis de sade, divin marquis, sade, journal inédit, la marquise de gange, la philosophie dans le boudoir, les infortunes de la vertu, les crimes de l’amour, livres érotiques, érotisme, psychiatrie, asile psychiatrique, charenton, libertin, libertinage, eros über alles, philosophie